CHAPITRE 29

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Narration Tiago Puns
J'avançais vers mes amis, sans baisser les yeux. Arrivé à leur hauteurs je les saluais et faisais une accolade a mon meilleur ami Julien.

- "On a tous finit le défi sauf toi Tiago." Je levais le regards et fixé André.
- "Pas la peine de me la rappeler." Crachais-je.

Il avait raison, j'étais le dernier. Elle me résisté et c'était pas bon. Je devais la faire tomber amoureuse, la rendre faible afin que je devienne fort. Je devais récupérer ma place de vainqueur au sein de mes amis.

- "Dans deux semaines elle est a moi." Dis-je en commençant à m'éloigner mais une main m'attrapa le bras.
- "Suit moi."

Je suivais donc mon meilleur ami et ont ce mit un peu a l'écart.

- "Tu n'est pas sérieux." Lâcha-t-il en mettant ses mains sur sa tête.
- "Je le suis, et tu le sais. Je déteste perdre et encore moins a cause d'une fille."
- "Elle ne mérite pas ça."
- "Tu ne me raisonnera pas Julien. Les filles ne serve a rien sur cette terre sauf nos créer des problèmes."
- "Mais écoutes-toi. Tu t'entend parler ? Ce que tu dit est complètement idiot."
- "Tu te souviens de comment a fini ma dernière véritable relation ? Je t'ai écouté et tu sais comment ça s'est fini ? Mal ! Ca s'est fini mal !"
- "Tu n'as pas eu de chance."
- "Ce n'est pas une question de chance ou pas. Je gagnerais ce défis, n'importe quelle manière je devrais utiliser." Et sur cette phrase je partis de l'enceinte du lycée.

Dès maintenant mon plan commencerait. Tout était programmé.
Je rentrais chez moi.

- "Bonjour Tiago." Dit ma mère.
- "Ce soir je sors." Répondis-je froidement.

Je pris mon blouson en cuir après mettre légèrement coiffée. Alors que j'allais franchir le pas de le porte mon prénom résonna dans l'ensemble de la maison.

- "Tiago tu attend !"

Ma mère se mit face à moi.

- "On doit parler de cette situation." Dit-elle.
- "Sûrement pas et encore moins maintenant, je suis en retard." Lachais-je.
- "Ce n'est pas toi qui décide Tiago ! Je suis ta mère ! Tu dois me respecter."

Je riais nerveusement et me tournais vers elle soudainement.

- "Ne me dit pas que je te doit du respect ! N'ose pas répéter cette phrase. Que je sache lorsque j'étais petit c'était toi qui ne me donné aucun respect."
- "Mais..."
- "Laisse moi finir." Je soufflais et repris. "Quand j'avais six ans, tu ne venais déjà pas me chercher devant le primaire alors que j'étais seulement au CP. Mes camarades de classe se bousculaient pour sortir rejoindre leurs mères qui les attendait avec le sourire aux lèvres et une barre chocolaté. Et lorsque mes camarades voyait leurs mère ils leurs sautaient dans les bras. J'étais toujours le dernier a sortir, j'aurais donné n'importe quoi pour rester au primaire dormir car je savais ce qui m'attendait le soir. Personne ne savait dans quoi je vivais. Notre famille Etait riche, mais riche ne signifie pas heureuse. L'argent ne fait pas le bonheur mais sa personne ne le comprenait. Selon eux, mes parents étaient riche j'étais donc heureux mais c'était tout le contraire.
Le soir, je savais que papa n'était pas à la maison mais au bars, je connaissait déjà la signification du mot soul alors que j'avais seulement six ans. Puis toi, maman, lorsque je rentrais je savais que tu m'attendait impatiemment prêt à savoir mes notes de la journée. Lorsque j'avais des bonnes notes, ton visage se renfermait mais tu ne faisait rien, mais lorsque j'avais seulement une note qui ne te convenait pas. Ton visage restait neutre, et tu me punissait. Tu me rué de coup jusqu'à que le douleur prenne le dessus de mes plaintes et que tu me laisse. Ca a durer jusqu'à mes douze ans maman. Puis tu as arrêter soudainement. Tu ne m'a plus jamais demandé mes résultats scolaires. Aujourd'hui, je n'ai plus de respect pour toi car tu en a jamais eu pour moi, tu ne m'a jamais donné de l'importance alors que j'étais ton fils." Je levais mon tee-shirt légèrement afin de lui faire voir une cicatrice qui trônait sur ma hanche. "Tu m'as fait ça quand j'avais Dix ans. Tu m'a frappé et tu as fait tomber le vase sur le sol qui s'est détruit en mille morceau puis tu m'a poussé et je suis tombé au sol, sur un Morceau de verre."

Les yeux de ma mère Etait écarquillé. Je rabaissais convenablement mon tee-shirt et je sortis en lâchant une seule et dernière phrase.

- "Ne me dit pas de te respecter si meme toi tu ne le fait pas."

Je montais sur ma moto et je partis à la fête d'un des élèves du lycée. Lorsque j'arrivais je me précipitais au bar et je pris énormément de verre pour oublier tout ce que je venais de dire, pour noyer tout ce sur j'avais endurer puis c'était accompagné de Mickaëla que je finissais ma soirée.

Différent mais pourtantOù les histoires vivent. Découvrez maintenant