17 • Fournaise

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*Attention média ! Je préviens comme toujours hihi*

Pdv Eren

Comment, mais comment j'ai fait pour me retrouver dans une situation pareille ?

Y a de ça vingt minutes, je m'endormais sur le canapé, et en me réveillant j'étais dans les bras de Livaï. Déjà ça c'est un scoop, alors avec sa putain d'odeur qui règne dans son appart tout entier ET le fait qu'il me fixait en se tenant à cinq centimètres de mon visage, bah...

J'ai craqué.

Il est debout juste devant la porte de sa chambre et me tient dans ses bras, et moi comme un con je viens de l'embrasser limite par surprise.

Je recule lentement, mais je reste accroché à son cou. J'essaie de jauger sa réaction, là il a juste l'air complètement figé. Je l'ai paralysé ou quoi ?

Il a les yeux grands ouverts et sa respiration s'est coupée, c'est comme si il venait de voir Casper en personne. J'ai peut-être bien fait une connerie...

Je songe à reposer les pieds par terre, parce que le malaise continue de s'agrandir à mesure que je reste dans cette position.

Mais j'ai même pas le temps de faire un mouvement qu'il se jette sur mes lèvres en resserrant sa prise sur moi. Oh putain de bordel de merde.

Bon bah vous savez quoi ? Changement de plan !

Mes mains restées dans sa nuque lui agrippent les cheveux. Je tente de me redresser pour renforcer le contact entre nous pendant que ma respiration accélère dangereusement, tout comme la sienne d'ailleurs.

Je lui mordille la lèvre inférieure et il lâche un minuscule gémissement de surprise. À ce rythme, je vais flancher. Ce bruit est carrément joussif, c'est dingue.

Sans me lâcher, il avance un peu et cherche la poignée de la porte à l'aveuglette, sans succès. Il rompt précipitamment le baiser pour pouvoir ouvrir.

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Et zé parti pour le médiaaaaa !

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Il entre en trombe dans la chambre pendant que je suis occupé à lui mordiller le cou.

Livaï : Putain Eren... Pas ça...

Il halète et je souris contre sa peau. Visiblement, ça ne lui déplaît pas.

Il referme violemment la porte avec le pied. Il avance encore de quelques pas et me jette sur le lit, m'arrachant un minuscule cri de surprise.

Je n'ai même pas le temps de me redresser qu'il me surplombe déjà, plaçant ses genoux de chaque côté de ma jambe droite. Il immobilise mes épaules contre le matelas en se jetant sur ma nuque.

Le contact de ses lèvres humides sur cette zone, juste en dessous de mon oreille, me fait frissonner avec une violence à la limite du supportable. Par réflexe, je place mes mains dans son dos en serrant son tee-shirt.

Il suçote tout doucement ma peau avant d'y faire glisser sa langue, et je suis pris d'un spasme lorsqu'il vient mordiller mon lobe. Rien que ça me fait complètement perdre la tête.

Ses mains descendent jusqu'à ma ceinture et passent sous mon tee-shirt. Ses doigts froids glissent sur mes abdos, me hérissant les poils. Il ne l'a fait qu'une fois, mais je peux déjà affirmer que j'adore quand il me touche.

Old memoriesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant