Partie 2

601 31 6
                                    

Hello tout le monde !

Bon alors premièrement : 5000 lectures !!!!! J'arrive pas à y croire ! Merci beaucoup pour votre soutient, vos commentaires qui me motivent pour écrire la suite ! C'est toujours incroyable pour moi de voir que mon histoire est appréciée...

Du coup ça nous mène à la deuxième chose que je voulais vous dire. Je sais que je suis en retard d'un jour dans mes publications mais je voulais vous écrire un chapitre beaucoup plus long pour vous remercier !

En espérant toujours qu'il vous plaise... et n'hésitez pas à me laisser vos impressions !


Le lendemain après-midi, Lizzie se trouvait au beau milieu d'une autre réception en Allemagne. Elle était seule parmi une foule d'inconnu qui l'observait à distance.  Pour leur défense, c'était bien la première fois que Voldemort venait accompagné mais elle commençait sérieusement à se lasser d'être la bête de foire.

- Nous partons, l'informa soudain Voldemort en lui tendant son bras.

Lizzie qui ne l'avait pas vu s'approcher d'elle,  lui lança un regard inquisiteur. Cela ne faisait qu'à peine une heure qu'ils étaient arrivés. Où était donc l'intérêt de venir si c'était pour partir que peu après ?  Mais, ce n'était pas elle qui allait se plaindre. Ces gens commençaient sérieusement à lui donner la nausée. Ils souriaient hypocritement, riaient faussement, se piquaient cruellement, et répandaient des rumeurs comme une trainée de poudre.  Pour une fois, elle n'hésita pas une seconde pour prendre le bras de son cavalier et ils transplanèrent.

A sa plus grande surprise, ils n'atterrirent pas dans le château mais dans une salle de conférence  où seulement une vingtaine de personne était présente dont Jonathan et Eléonore. Pourquoi était-elle encore étonnée? songea-t-elle.

- Que faisons-nous ici ?

Voldemort ne put retenir un sourire.

- Crois-tu vraiment que ce sont des réceptions qui me permettent de diriger un empire ? se moqua-t-il arrogamment.

Elle ne prit pas la peine de répliquer et ils s'avancèrent vers les invités qui s'inclinèrent tour à tour. Puis, après les politesses habituelles, Lizzie fut pris appart par les femmes de ses puissants mangemorts de toute nationalités confondues même si elle remarqua que toutes provenaient d'Amérique : Etats-Unis, Mexique, Canada, Pérou, Argentine, Brésil... Elles passèrent dans la salle adjacente pour laisser leur mari « travailler ». Lizzie s'irrita de cette attitude sexiste ; elle qui avait été élevé dans l'idée qu'Homme et femme était égaux, elle ne pouvait comprendre cette soumission aveugle à ces mœurs qu'elle trouvait outrageantes.

Cette salle était assez intimiste, et elle fut ravi de constater la présence de musiciens qui la divertirait quelque peu des conversations peu intéressantes qui l'attendaient.

Eléonore s'empressa de la présenter à plusieurs de ses femmes de tout âge qui semblaient toutes être les mêmes à ses yeux : élégantes et aristocrate. Cependant une attira son attention. C'était une femme dans la vingtaine dont la beauté n'était plus à prouver.

Sa silhouette était parfaite souligné par une robe moulante. Ses lèvres pulpeuses étaient peintes de rouge. Ses cheveux blonds, légèrement ondulés dont une demi-frange dissimulé une partie de son front resplendissaient. Ses yeux gris accentuaient par un maquillage charbonneux avaient l'air d'hypnotiser ses interlocuteurs.

- Voici Lady Katherine Jefferson, femme du premier ministre américain, et une de mes anciennes élèves, la présenta Eléonore avec une certaine fierté.

- C'est un plaisir de vous rencontrer, Madame, dit Lizzie pour une énième fois.

- Grand Dieu ! Eléonore, qu'avez-vous pu bien faire à cette pauvre enfant ?

Princesse de GryffondorOù les histoires vivent. Découvrez maintenant