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Ma maison se dressait devant moi, je franchis la porte dans un fracas des plus total. Des voix se mélangeaient au bruit incessant de la télé. Mon coeur ne fis qu'un tour, et je bondis vers le salon. Là se trouvais Noam, une personne était dos à moi, aucun des deux n'avais dû me remarquer car la discussion entre eux se continuait sans moindres hésitations. Je pris la parole.

- Qui êtes vous ?

Deux têtes se retournèrent alors vers moi.

-En fait je m'en fiche, sortez de chez moi tout de suite, ou bien j'apelle la police.

- Je ne suis que ton ancienne directrice et désormais celle de ton frère, m'aurais-tu sauvagement oublié.

Je la connaissais très bien, elle m'avais suivi de la petite section jusqu'au collège, et arriver au lycée je peux vous dire que j'eu enfin la paix. Elle était une de ces personne à vouloir aider le monde, trouvant à chacun un problème qu'elle se defiait de résoudre même si parfois il était inexistant. Elle a toujours cru qu'en moi se trouvait des milions de problèmes, que j'étais une petite fille bien "spéciale". Et depuis cet été, elle avait repris ses positions et ne cessais de me harceler de quelques manières qui sois.

- Comment vous obliez, vous êtes tellement collante et barbante.

-Qui t'as appris à parler de la sorte jeune fille, j'avais raison tes parents n'était pas conçus pour avoir des enfants, regarder moi ce que cela donne, des jeunes dépressifs, désagréable et plus ou moins agressif.

Elle n'avais pas le droit, elle n'avais pas le droit de me traiter ainsi, de traiter mes parents ainsi. Bien que je détestais mon père, bien que peut-être au fond elle avais raison, elle se croyait bien supérieure, avait-elle oubliée toutes ces années ou ma famille était souriante, aimante et pleine de bonne volonté, même si désormais c'était bel et bien du passé.


-Taisez vous, vous ne valez rien, vous voulez m'aider alors cassez-vous et vite, vous n'avez aucun droit de venir chez moi et d'insulter mes parents de la sorte. Et je n'hésiterais pas à vous frapper pour vous faire taire, est ce bien clair ?


-Sachez que suis je suis là c'est pour vous montrez que vos parents sont nuls, regarder Noam, il est le seul de l'école à avoir 1 heure de bus tout les matins et tout les soirs, le seul que l'on abandonne à la garderie jusqu'à 8 heures du soir sans donner de nouvelles, vos parents sont bien pitoyables enfin ton père, toi même tu est pitoyable regarde ce que tu as fais a t'as pitoyable mère.


Elle allais trop loin elle n'avais aucun droit, c'étais trop pour moi, tout ce qu'elle disais me montais au cerveau, et je la frappas du plus fort que je pus elle tombas par terre, le nez en sang. Heureusement, Noam étais monté à sa chambre ne supportant plus nos hurlements incessants. Elle se relevas avec difficulté, et je regrettais alors mon geste.


-Tu vas me le payer petite sote, je vais te coller un procès dont tu ne pourras plus jamais t'en sortir.

-Allez y je vous en pris, mais comment allez-vous expliquer le fait que vous vous trouviez chez moi sans autorisations, dites le moi tout de suite.


-Tu ne payes rien pour attendre, mais je t'aurais je te le jure.

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Voilà plus de 3 semaine que toute cette petite dispute était passée, je n'avais rien reçu m'envoyant devant le tribunal, aucun courrier, aucun mail, rien à signaler. Avec Aïden, les choses étaient néanmoins plus bizarres qu'avant, il était un connard avec tout le monde et d'auatnt plus avec moi mais au fond il étais le cadet de mes soucis. Une voix me fit sursautée.

- Ana, est-tu avec nous ?


-Euh oui, oui.


-Alors redis nous ce que ton cher camarade Aïden vient de nous expliquer.


-Euuuuh.............

Toute la classe ris sauf Aïden, son regard noir était plongé dans le mien de manière si forte qu'on aurais pu voir des éclairs jaillerent entre ceci. Cette fois se fut lui qui pris la parole.

-Ah mais c'est vrai Madame Ana n'écoute jamais ce qu'on lui dis, elle est beaucoup trop centrée sur elle pour écouter ne serais ce qu'un tout petit peu les autres.


- Qu'est ce qu'il te prends, désolé ne pas avoir écouter un tout petit peu le grand et l'unique Aïden, désolé de te dire que tu n'es pas le centre du monde.


-Ah ouais, et toi tu n'entends jamais ce que te dise les autres, tu les envoies juste bouler.


-Nuance il y a que toi que j'envoie bouler comme tu dis.

-A ce que je vois tes parents sont incompétent dans l'éducation de leurs enfants. D'un côté ton père as raison pourquoi vouloir d'une meuf comme toi en tant que fille, tu es tellement pathétique.


-Aïden calme toi, hurla Alex du fond de la classe.


-Tu prends sa défense maintenant, pfff regarde toi Ana tu changes les gens plus vite qu'il ne faut pour le dire, tu est une putain de manipulatrice.


-CALMEZ VOUS TOUS MAINTENANT. C'est au tour de la prof de hurler.


-Je suis désolé madame je ne peux retser avec des gens pareils, au revoir.


Je pris mes affaires et partis en courant vers la sortie, je pensais être tranquille de la sorte, mais c'était sans compter la détermination de ce putain d'AÏden.


-Ne pars pas si vite ma jolie j'en ai pas terminé avec toi. Tu sais que j'ai une putain d'envie de te défoncer la gueule.


-Bah vas-y ne te gênes pas. Après tout qu'est ce qu'elle diras ta mère quand elle apprendras tout ça, à bah non elle peux rien dire de sa tombe.


Je ressentis un violent choc au niveau de ma joue ce qui me fis tomber à terre, puis quelques autres coups. sur mon corps, plein de rage et de haine, au fond je ne sais pas si c'est à moi qu'il en voulait ou bien si c'était sa manière de faire son deuil, il faut dire que je l'avais provoqué. Pour tout vous dire je l'avais fais exprès, je l'avais manipulé de sorte à ce qu'il craque, de sorte à ce qu'il comprenne qu'il n'étais pas maître de ses réactions et je voulais lui prouver que j'arrivais à le contrôler. Ma tête cognait de plus en plus, j'avais mal partout la respiration coupée, quand soudain les coups se stoppèrent, il tombas à terre, juste à coté de moi pour me prendre dans ses bras ne cessant de s'excuser et de me murmurer à quel point il était désolé, mais c'était trop tard pour les excuses et je partis une fois de plus.

Désolé des fautes très présentes ici, ou même du retard, mais je n'avais aucun moment pour écrire avec les cours, le sport, le stress et la fatigue, et je m'en excuse sincèrement. Et j'espère que ce petit chapitre vous plairas néanmoins, et n'hésité pas à laisser un petit commentaire. Il se peux que des petites modifications soient faites sur cette partie.

That's why I love you, again.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant