xquarante-deuxx

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Bonjour à tous ! Alors voilà, j'en suis déjà à mon 42ème chapitre et j'ai tellement d'autres choses à faire vivre à Druna que deux choix s'offraient à moi : soit écrire une histoire de 70 chapitres, soit écrire un tome 2. La deuxième solution m'a paru plutôt évidente, donc voilà, il s'agit là du dernier chapitre de ce premier tome. J'ai pris cette décision soudainement, ce qui explique que je vous l'annonce aussi brusquement. Je pense que cette fin est assez appropriée, et ouvre concrètement une nouvelle histoire, avec de nouveaux rebondissements.

J'espère que vous aimerez cette idée et merci beaucoup de continuer à lire mon histoire. Je ne ferais pas de pause entre le tome un et le tome deux ;)

Bonne lecture pour cette finale !! <3

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-PDV Dean-

J'estimai que ça faisait assez longtemps que j'attendais pour aller la voir. Je retraversai le portail qui menait sur Terre et conduisis jusqu'à chez elle. Je ne pris pas le temps de frapper à la porte et entrai.

Ce que je voyais me scotcha, Druna était là, sur ce bâtard ! Il s'était permit de la toucher ! Je perdis mon calme déjà inexistant et le saisi par le col puis le plaqua contre le rebord d'une commode.

_Tu faisais quoi là !? Le menaçai-je, prêt à lui coller un coup de poing tellement puissant qu'il lui défoncerait sa boîte crânienne.

Marlon : _Hé oh, du calme mec, il ne s'est rien passé, me dit-il en levant les bras, innocemment.

Druna : _Il m'a proposé qu'on couche ensemble. Non attend, comment il a dit déjà ? Ah oui, il m'a demandé de confirmer la théorie qu'il avait une grosse queue, et d'aller vérifier ça dans ma chambre.

Marlon la fixa en lui demandant, dépité : « t'es sérieuse ? », et elle répondit avec un grand sourire. Mais quelle sadique, et tout en élégance, Abaddon est vraiment parfaite. En attendant, je devais me débarrasser de ce bâtard de prétendant.

Oh oui, Marlon allait le regretter. Je m'installai tranquillement sur le canapé et observait cette magnifique petite raclée en direct. Dean me regarda et secoua la tête avec un sourire comme pour dire « tu m'épate »*. Ca l'amusait de me servir de chien d'attaque ? Quoi qu'il en soit, il sera une de ses mains au niveau de la gorge du loup en libérant sa deuxième qu'il porta au niveau de ses couilles.

Dean : _Tu voulais qu'elle joue avec tes petites noisettes ? Et bien je vais la remplacer. Ah et Druna, la théorie est fausse.

Il venait de ruiner la réputation de Marlon à un point impensable, et il était impuissant, touché dans son orgueil. Le démon sera sa main, il allait lui faire exploser les boules ! Malgré le comique de la situation, je devais l'arrêter, le pauvre, il en aurait besoin à l'avenir.

_C'est bon, ça suffit, dis-je en me levant. Je pense qu'il a compris, n'est-ce pas Marlon ?

Marlon, qui se tordait de douleur, hocha la tête.

_Bien.

Dean le lâcha et il tomba au sol, en position fœtale, semblant soufrer le martyr. Et oui, les « bijoux de familles » sont particulièrement sensibles.

Dean : _Je sais que tu t'amuses de la situation mais fait attention tout de même, ce sont des alphas, pas des soldats. Tu risques de te brûler les ailes à jouer trop près des flemmes.

_Quelle belle prose, tu devrais être poète. Tu avais quelque chose à me dire pour être venu jusqu'ici ?

Dean : _Et bien... Je voulais savoir comment tu allais étant donné ta réaction face au sacrifice...

DrunaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant