Chapitre 28: Un espoir?

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Point de vue de Hope White.

Il est vrai que j'ai trainé uniquement avec mon frère durant cette semaine. Daiki, a mal pris le fait que je ne l'ai pas prévenu de mon retour et je le comprends.

Je suis restée chez moi, à me morfondre tout comme lui le faisait certainement. Seulement, voilà, je suis amoureuse de Daiki et ne parviens pas à l'oublier. Je pense, qu'il a une autre fille dans sa vie et cela pourrait expliquer la présence de Momoi la semaine ou moi je suis partie. Partir sans donner une seule explication, alors que cela aurait été plus simple. Je pense qu'entre Aomine et moi, le gros problème est que nous ne parlons pas. Cet après-midi m'a fait du bien, mais le savoir près de moi et ne pas oser agir, je dois être bête. Il m'a surpris par sa douceur, mais son jeu de basket était lui par contre plus agressif et j'ai suivi. Je suis seul dans mon ancienne chambre du collège et je m'ennuie, Tatsuya et Atsushi sont reste chez Daiki. Ce que je les envie. Mais trop tard pour moi, c'est comme cela.

Mon téléphone sonne, je décroche sans trop regarder qui m'appelle.

— Allo ?

— alors, comme cela tu va me morfondre toute seule dans ton coin

— Daiki ? Euh, je suis dans ma chambre, oui, pourquoi ?

— On est sur le chemin de chez toi et on vient chercher tes affaires. Me répond-il.

— Et si je ne viens pas ? dis-je en riant.

— Jamais je ne te croirais sur cette question. Alors, ouvre-nous, car nous sommes cinq à venir prendre tes affaires.

Il raccroche et on frappe à ma porte. Je vais ouvrir et je suis surprise de voir Momoi, mon frère, Daiki, Atsushi et Tatsuya.

— Je m'occupe de ses vêtements. Dis joyeusement, Momoi.

— D'accord nous faisons le reste dit Seijuro, mon frère.

Je regarde tout le monde et je ne comprends pas. Daiki vient près de moi et me dit :

— Viens avec moi, je dois te parler.

— Mais et les autres ? dis-je.

— Vas-y, on gère. Suis-le. On n'en a pas pour longtemps. Crie Tatsuya.

Je suis alors Daiki et ne comprends pas trop. Nous allons sur le campus et commençons à parler.

— Tu viens chez moi, car cela fait vide et que nous sommes quatre, et sans toi cela n'a pas le même sens. Mais j'ai une question. Est-ce que tu veux que Satsuki vienne aussi ? Je sais que cela est un problème pour toi, mais si cela peut arranger les choses, je n'hésiterai pas.

— Je sais qu'elle a besoin de toi, et j'ignore si elle est encore avec mon frère. Mais si tu préfères l'avoir auprès de toi, je comprendrais.

— Ce n'est pas moi, c'est toi. Est-ce qu'avoir une fille avec toi dans trois mecs te convient ? Préfères-tu que nous restions seulement nous quatre ?

Il me regarde, lui est resté debout alors que je suis assise sur le banc. Mais je monte sur le banc et me mets debout.

— Qu'est-ce que tu fais ? Me demande-t-il.

— Je te regarde en me hissant un peu plus haut que toi. Daiki, tant que je t'ai toi, qu'elle soit là ou non, je m'en fiche. Je t'aime toi et seule ta présence m'apaise.

Je le regarde, et je décide de me lancer.

— Je sais que je casse tous les codes du Japon, car on ne s'embrasse pas en public, mais moi si. Est-ce que tu m'aimes encore Daiki ?

Mes secrets de famille (Kuroko No Basket)Where stories live. Discover now