Tu es mon nouveau monde

By AnanasPower01

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« Je ne boirai plus jamais d'alcool » s'était dit Anna quand elle se réveilla devant la porte de Cul-de-Sac a... More

Prologue : Le passage
1 : Gueule de bois et nains surprises
2 : Finalement je vais peut-être rester... Non, non, y'a aucune raison à ça !
3 : Une longue soirée
4 : A l'aventure, compagnons !
5 : Première leçon
6 : Nuit agitée
7 : Une dispute et de la sauge
8 : Ils courent, ils courent, les p'tits nains...
9 : Convalescence
10 : La danse
11 : La surprise
12 : Le bal
13 : Frayeur
14 : Être une grande gueule en trois leçons
15 : Sensations fortes
16 : La petite maison dans la prairie
17 : Réveil, Beorn, Illusions et Tensions
18 : Accrobranche, Araignées et Arrestation
19 : Fuite en tonneaux
20 : Blessés
21 : Flammes
22 : Folies
23 : Les Cinq Armées
24 : Dernière danse, la marche de l'espoir
25 : Stratégies militaires non-conventionnelles
26 : Elle est mon Amrâlimê, mon Unique, mon Étoile
27 : Après tout ce temps...
28 : Les fantômes du passé
29 : La force de l'amour
30 : De retour
31 : Coucou c'est moi que v'là !
32 : Le retour des guerriers
33 : Le dîner de fiançailles
34 : Ordre de mission
35 : La délégation diplomatique
36 : Craquage des nerfs
38 : Une blessure profonde
39 : Un nouveau départ
40 : Une bonne nouvelle
41 : Une excellente idée
42 : Le plus beau jour de leur vie

37 : Déception et dangereuse mission

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By AnanasPower01

Hello mes p'tits chous ! Merci pour les commentaires, votes, ajout dans les listes de lecture, etc. ça fait toujours autant plaisir.

Bonne lecture !

Fili avait les poings serrés à s'en faire blanchir les phalanges. Anna soupira en passant une main sur son front. Ça n'allait pas être simple.

-Je suis allée faire un tour sur Tempête. Un des soldats de Bain m'a accompagnée.

-QUOI ?! Et pourquoi ?! Tu as dit que tu ne voulais pas d'escorte !

-Et j'ai changé d'avis, répondit calmement Anna.

-Je le savais ! explosa Fili.

-Tu savais quoi exactement ? répéta-t-elle en fronçant les sourcils.

-Anna, j'ai bien compris ce qu'il se passait !

Elle leva les yeux au ciel en expirant bruyamment.

-Mais qu'est-ce que tu as compris ?! Je veux bien qu'on se crie dessus mais j'aimerais au moins savoir pourquoi !

-J'aurais préféré que tu aies l'honnêteté de me le dire au lieu de feindre l'incompréhension !

Anna était de plus en plus confuse. Elle ne comprenait vraiment pas ce qu'il se passait, et encore moins pourquoi il était aussi énervé qu'elle soit partie en ballade.

-Fili, je jure sur la mémoire de mon frère que je ne sais pas de quoi tu parles ! Qu'est-ce qu'il y a ? Explique-moi !

-Cet humain ! C'est ton amant, n'est-ce pas ?!

Anna s'arrêta net. Elle cessa de bouger, de respirer, et elle aurait juré que son cœur avait cessé de battre. Elle restait figée là, à le fixer avec ses grands yeux bleus. Sa vue se brouillait à une vitesse vertigineuse à cause des larmes qui dévalaient à présent sur ses joues. Ses mains et sa lèvre inférieure se mirent à trembler. Elle inspira profondément pour réussir à parler mais sa voix se brisa dès la fin de sa phrase dans un sanglot déchirant.

-Tu crois sérieusement que je te trompe ?

Elle essuya ses joues mais les larmes revenaient sans cesse.

-Fili, je... je...

Elle eut encore besoin de quelques longues minutes pour arriver à maîtriser ses pleurs et sa respiration.

-Si c'est réellement ce que tu penses, je pars immédiatement. Je pars, tu ne me reverras plus et tu n'auras plus à t'embêter avec moi.

Un long silence s'ensuivit.

-Très bien, souffla-t-elle en baissant la tête.

Elle ramassa son sac qu'elle n'avait pas encore défait, et sortit rapidement de la pièce. Elle croisa Kili dans le couloir mais ne lui adressa même pas la parole et fila en quatrième vitesse malgré son ami qui l'appelait. Elle sortit en courant de l'hôtel de ville et ne s'arrêta pas avant d'avoir atteint les écuries. Elle accrocha rapidement son sac sur la selle de Tempête et sauta sur le poney avant de partir de la ville au grand galop. Elle se dirigea d'abord jusqu'au rocher où elle s'était perchée plus tôt dans l'après-midi. Elle l'observa depuis son cheval, et se souvint de la promesse qu'elle avait faite à Alkan à cet endroit. Elle essuya rageusement les larmes qui continuaient à couler et talonna abruptement sa monture. Elle fit le tour du Lac par l'Ouest en plus de deux heures malgré Tempête qui galopait comme le vent.

La nuit commençait à tomber quand elle arriva en vue du hameau de pêcheur, dont le principal bâtiment devait être les baraquements des soldats. Elle accrocha Tempête à un arbre sous le couvert de la forêt et ne prit que ses armes sur elle, ne se faisant pas voir des humains. Sur le qui-vive, elle fit le tour du hameau dans la pénombre, repérant les points forts et les défauts du lieu. Elle termina le tour du lieu et rejoignit la rive du lac. Elle suivit l'eau en se dépêchant, dans le silence le plus complet, afin de voir si les bandits n'avaient pas établi un camp dans les environs.

Son tour de reconnaissance se prolongea pendant encore plus d'une heure, avant qu'elle ne tombe sur quelque chose d'intéressant. Une flèche plantée dans un arbre. Cette flèche elle la reconnaissait, c'était le même modèle de flèches que celles que Bard avait. Donc une flèche de Dale. Quoique les bandits pouvaient très bien avoir volé des armes, dont des flèches. Elle décida néanmoins de se pencher sur la première option. Elle secoua la tête pour chasser ses autres pensées.

-Réfléchis Anna, réfléchis calmement, se dit-elle à voix basse. L'angle et la direction de la flèche... Elle a été tirée par quelqu'un qui était du côté du lac. Du lac, vers ce maquis. Un soldat qui tire sur un bandit... Le bandit prend la fuite et part dans le maquis. S'il part par-là, c'est qu'il espère croiser un endroit sûr ou des renforts sur le chemin. Donc j'ai une chance de trouver les bandits dans ce maquis. Logiquement.

Elle s'imposa un exercice de respiration pour garder son cœur et son esprit aussi calmes que possible. Elle avait besoin de sa concentration. Elle vérifia qu'elle avait toutes ses armes et retourna en courant vers Tempête. Elle détacha sa couverture et son sac, qu'elle cacha dans le creux de l'arbre, et mena son poney un peu plus loin.

-Écoute-moi bien mon gros, murmura-t-elle. Rentre à Dale, ou à Erebor. Mais rentre, tout de suite. Je ne rentrerai probablement pas, même si je m'en sors vivante après mon plan suicidaire. Alors sois gentil avec ton prochain cavalier, c'est d'accord ?

Le poney hennit doucement et lui donna un petit coup de naseau dans la main.

-Non, pas de ça. Rentre maintenant. Allez !

Elle lui donna une tape ferme sur la croupe et Tempête disparut au galop vers le Nord. Anna repartit à pas fermes en direction du maquis. Elle encocha une flèche et se mit à marcher à pas de loup, lentement, vers le centre du maquis. Un craquement sur la gauche la fit se figer. Elle tourna la tête au deuxième craquement. Un homme marchait entre les arbres. Dos à elle, il s'arrêta face à un arbre. Elle fronça le nez quand elle comprit ce qu'il faisait et rangea silencieusement son arc et sa flèche. Elle sortit une dague d'un fourreau sur le côté de sa cuisse droite, et s'approcha de l'homme.

Elle bondit derrière lui et plaqua une main sur sa bouche en même temps.

-Je suis vraiment désolée de te surprendre à cet instant, mais on va faire simple. Si tu ne fais pas de bruit, tu rallonges ton espérance de vie.

L'homme cessa de marmonner derrière sa main.

-Bien. Gentil humain. Si tu fais partie de cette bande de bandits qui terrorisent les hommes du lac, fais deux bruits. Sinon, un seul bruit. Et ne mens pas ou je te coupe tes attributs.

Deux bruits. Évidemment. Au moins il ne mentait pas.

-Très bien. Range tout ça dans ton pantalon s'il-te-plaît. Voilà. Maintenant on va se parler face à face mais comme je n'ai pas confiance en toi – ne t'en offusques pas – je vais garder mon couteau contre ton cou.

Elle le saisit fermement par le bras et le retourna vers elle en le plaquant contre l'arbre. Elle maintint la pression de son couteau et remit sa main sur sa bouche.

-Salut. Moi c'est Anna. Je vais t'appeler 'le bandit', ça sera plus simple. Dis-moi, le bandit, je vais retirer ma main de ta bouche parce que j'ai des questions à te poser et les réponses sont un peu plus longues et complexes que les précédentes. Si tu cries, je te tue. Si tu fuis, je te tue. Si tu fais un seul mauvais pas, je te tue. Saches que j'ai tué déjà pas mal de gens, donc tuer ne m'effraies pas. Et même si tu cries et que des renforts arrivent, je serai largement capable de leur botter les fesses, si je ne les tue pas purement et simplement. Est-ce que tu as compris ?

Il hocha la tête vivement. Anna fronça les sourcils. Elle garda le couteau sur son cou et une main sur sa nuque et le tira alors qu'elle reculait, pour l'amener à la lumière.

-Par les Valars, mais quel âge as-tu ? demanda-t-elle en retirant doucement sa main.

-J'ai dix-sept ans, dit-il sur le même ton.

-Quel est ton nom ?

-Dorian.

-Dorian, je ne sais pas grand-chose sur les agissements de ces bandits, mais j'ai besoin que tu répondes à ces questions. J'ai été envoyée à Dale pour aider à régler ce problème. Je ne tiens pas spécialement à tuer tout le monde, mais je ferai ce que je dois faire. Est-ce que tu es là de ton plein gré ?

-Non. J'aidais le père de ma fiancée à pêcher, nous étions tous les trois sur le bateau. Puis dès que nous sommes rentrés, nous avons été attaqués. Il a été tué, elle a été enlevée avec moi et si je veux la protéger, je dois obéir à Alrich.

-Alrich ? répéta-t-elle.

-Un vieux bandit. Il est fort, et rusé. Je ne peux pas faire un pas de travers. Ma fiancée, elle est enceinte. Il la tuera, et mon futur enfant avec. Et nous ne sommes pas les seuls dans cette situation.

-Calme-toi Dorian. S'il-te-plaît. Laisse-moi réfléchir.

L'humain hocha la tête. Anna se pinça l'arête du nez en soupirant. Alrich, le chef. Probablement quelques hommes de main. Des gamins comme Dorian, qu'on croit morts. Enlevés avec leurs fiancées ou leurs femmes. Certaines enceintes. Par les Valars, ça devenait compliqué.

-Dorian, j'ai besoin d'autres réponses. Alrich, il a des hommes de main ?

-Trois. Ses trois frères en fait. Je ne connais pas leurs noms. Mais ils sont forts aussi.

-Et qui d'autre ?

-Nous sommes plus d'une vingtaine de jeunes. On ne peut pas se rebeller, on ne sait pas se battre. Ils prennent quelques-uns d'entre nous à chaque mission pour le sale boulot.

-Très bien, d'accord. Vous avez un camp, non ? Où est-il ?

-Sur la partie sud-ouest du maquis. Plus on s'en approche, plus on peut voir de coquelicots. Vous ne pouvez pas vous tromper.

-Très bien. Merci pour tous ces renseignements, Dorian. Maintenant, tu vas retourner là-bas avant qu'ils pensent que tu t'es enfui. Il est important que tu agisses comme si tu ne m'avais jamais vue, et que cette rencontre ne s'était jamais passée, tu as compris ? Il y va de ta vie comme de la mienne. Même si je suis capturée, agis comme si tu ne m'avais jamais vue. Même si je suis tuée. Tu as compris ?

-Oui.

-C'est extrêmement important. Tu as bien compris ?

-Oui, j'en suis certain.

-Très bien. Prétends que tu as cru voir quelqu'un et que tu as suivi les traces mais qu'elles disparaissaient subitement au bord du lac. Ils ne te tueront pas. Réponds comme tu le peux aux questions, ne donne pas trop de détails. J'ai besoin de l'agitation. Quand j'interviendrai, et seulement si je t'en donne le signal, motive les autres et aidez-moi. Seulement si j'en donne le signal, et ne prenez aucun risque. Le but est de vous ramener chez vous, pas que vous soyez tués. Allez, maintenant file.

Dorian courut dans la direction dont il lui avait parlé plus tôt. Anna resta sans bouger un moment, réfléchissant à ce qu'elle pouvait faire. Elle rangea sa dague et reprit son arc avant de suivre les traces de Dorian. Elle entendit de plus en plus nettement des cris, alors elle continua à suivre la piste mais de loin, cachée dans les fourrés. Elle arriva rapidement en lisière d'un camp, et grimpa dans un arbre pour observer.

-Des traces, hein ?!

-Oui Alrich, j'ai suivi ses traces, répéta Dorian. La piste remontait vers le lac, puis d'un coup plus rien.

-Imbécile !

Alrich gifla violemment Dorian, qui se retrouva à terre, la lèvre fendue. Alrich était très grand et paraissait aussi fort qu'un bœuf.

-Prenez les trois plus forts, parquez les autres et les femmes dans la cabane. Toi, tu restes là, tu connais les ordres.

Trois grands hommes se levèrent et deux d'entre eux se postèrent près d'Alrich avec trois jeunes, pendant que le dernier poussait le reste du camp sans ménagement vers la 'cabane' et verrouillait la porte de l'extérieur. Un grand baraquement de bois entouré de paille. Il s'assit devant, une torche à la main.

-Oh non... souffla Anna.

Il mettrait le feu. Au moindre problème il incendierait la cabane, et ses habitant mourraient avant qu'elle n'ait pu les secourir. Il lui fallait donc redoubler de prudence.

Alrich et les cinq hommes qu'il avait choisis partirent du camp, chacun armé d'une épée. Anna attendit qu'ils soient suffisamment loin et siffla. L'humain sauta sur ses pieds.

-Qui est là ?

Anna resta silencieuse un instant. Il se rassit, et elle siffla une deuxième fois, les mêmes notes. Il sauta à nouveau sur ses pieds et regarda autour de lui.

-Pose ton épée par terre et envoie-la plus loin d'un coup de pied ! lança Anna d'une voix forte.

-Qui est là ? répéta l'humain, de plus en plus nerveux.

Une flèche qui se planta juste devant lui fut une réponse suffisante et il fit ce qu'elle avait demandé.

-Qui est là ? tenta une troisième fois l'homme, de moins en moins confiant.

-La vengeance des hommes de Dale.

Et avec ça elle lui tira une flèche dans la gorge, le faisant agoniser une dizaine de secondes avant qu'il ne se fige, mort. Elle descendit rapidement de son perchoir et tira son corps jusque derrière la cabane, ramassant les flèches au passage. Elle recouvrit les taches de sang avec de la terre, et remonta juste à temps dans son arbre alors que Alrich, ses deux autres frères et les trois jeunes revenaient.

-Aucune trace ! Ce gamin s'est bien moqué de moi ! gronda Alrich.

-Je lui ferai payer, lui assura son frère.

-Toc, toc, toc ! lança Anna d'une voix forte.

Aussitôt Alrich et ses frères sortirent leurs épées et inspectèrent les environs.

-Qui est là ? cracha Alrich, ne voyant personne.

-Le père Noël !

Elle tira rapidement six flèches, clouant les pieds d'Alrich et ses frères dans le sol. Elle mit sa capuche et sauta à bas de son perchoir. Elle encocha une flèche et arriva dans la clairière.

-Vous trois, allez ouvrir cette cabane. Vite ! dit-elle avec autorité.

Les trois jeunes se précipitèrent sur la porte et l'ouvrirent.

-Barricadez-vous à l'intérieur !

Alrich et un de ses frères venaient de se libérer malgré leurs cris de souffrance. Anna tua le dernier d'une flèche dans l'œil. Elle jeta son arc sur le sol et roula plus loin pour éviter un coup de taille. Elle prit un coutelas et le lança habilement sur le dernier frère avant de faire une pirouette en arrière pour éviter Alrich. Ne restait plus qu'eux à présent.

-Qui es-tu ? grogna Alrich.

-Considère-moi comme l'ange de la vengeance, même si ange n'est pas le meilleur terme pour me qualifier.

-J'aime connaître le nom des gens que je vais tuer. Je te torturerai pour l'avoir s'il le faut.

-Essaye pour voir ?

Alrich engagea le combat. Anna évitait, lançant de temps à autre une dague mais manquait toujours. Cet humain était effectivement fort. Très fort en combat. Bientôt elle n'eut plus que ses épées. Il la désarma sans problème. Anna recula, surprise. Cet humain était plus que doué pour l'art du combat.

-En difficulté peut-être ? ironisa-t-il.

-Je me passerai de tes commentaires, grommela-t-elle en évitant une énième attaque.

Elle le vit à peine bouger lorsqu'il se baissa et la faucha au niveau des chevilles. Elle s'étala sur le dos avec un grognement sourd. Elle tâtonna et chercha à se relever mais une main large et puissante enserra son cou.

-Je pourrai te briser comme une brindille... Si fragile. Mais je crois que je vais d'abord te marquer et m'amuser un peu avec toi. Puis je t'amènerai à Saruman, il voudra sûrement t'interroger.

A la mention de Saruman, les yeux d'Anna s'agrandirent d'horreur. Elle avait finalement lu et vu « Le Hobbit » après son coma, sur les recommandations de Marie. Si Saruman était derrière ces attaques, alors...

-AAAAARGH ! hurla-t-elle.

Elle ne put finir son raisonnement, car Alrich enfonça sa lame de quelques millimètres dans son front et continua à tracer une ligne sanglante jusqu'à sa mâchoire, ouvrant son arcade sourcilière gauche et marquant à peine la paupière. Elle pouvait sentir la coupure, nette et profonde. La douleur était intenable. Elle hurlait à s'en arracher les poumons. Elle sentait le liquide chaud et épais s'écouler hors de la blessure, poissant sa joue, ses cheveux et la terre. Des points noirs commencèrent à danser devant sa vision, la pression d'Alrich sur sa gorge commençant à l'étouffer. Elle était au bord de l'inconscience quand elle crut entendre un bruit, puis ce fut le noir complet et elle lâcha prise.

Ne tirez pas ! On dépose les armes par terre doucement, voilà... Je n'ai pas - encore un fois - tenté de tuer Anna, alors du calme.

Bientôt la fin, plus que quelques chapitres.

N'oubliez pas de laisser un commentaire, voter, tout ça tout ça, bisous et à vendredi prochain j'espère !

Chapitre relu et corrigé.

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