La Lune de Miel (HB tome 4)

By Kaziski

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Alessio et Dani se sont dit " oui ". Certains leur disent " non ". Arriveront-ils à faire face aux défis de l... More

Note de Kaziski
Première Partie
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Hey... un à propos
Deuxième Partie
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Troisième Partie
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Tout le temps du monde - Incipit
Tout le temps du monde - suite
Tout le temps du monde - suite
Tout le temps du monde - suite et fin de l'extrait
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Après
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Remerciements

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By Kaziski

Alessio


Lorsque j'arrivai enfin au cinéma, vraiment en retard, tout le monde était déjà installé dans la salle, et le film sur le point de commencer. Je saluai tout le monde, notai avec étonnement la présence de Dennis en bout de rangée, et me laissai tomber à côté de la place que m'avait gardée Dani.

─ T'es super sexy, lui dis-je, lui coulant un regard admiratif.

─ Tu me vois même pas, il fait presque noir, plaisanta Dani.

─ J'en vois assez. Viens ici.

Je passai le bras sur ses épaules et plongeai dans son cou, le humant avec délectation. Lorsque je refis surface, Dani m'embrassa immédiatement, pressant ses lèvres contre les miennes sans la moindre discrétion. Sa langue se frotta contre la mienne, joueuse, taquine. Je glissai les doigts dans ses cheveux pour qu'elle incline la tête et mordillai son menton. Je tirai sur sa lèvre inférieure avec mes dents, avant de glisser de nouveau ma langue dans sa bouche. Son rouge à lèvres avait un gout de cerise.

J'eus un peu de mal à me concentrer sur l'intrigue du film, puisqu'on passa une bonne partie à se câliner. Je ne l'avais pas vue de la journée, j'avais l'impression d'une prise après un long moment de vide.

En sortant dans l'air froid de la nuit, je vis Antoine sur le trottoir qui fixait son téléphone d'un air béat.

─ Qu'est-ce qui t'arrive, Toinou ? m'inquiétai-je. On dirait que t'as trop fumé.

─ La plus jolie fille du monde passe chez moi ce soir, commenta-t-il, fringuant. J'suis refait.

Alors elle n'avait pas rompu avec lui.

Super mais SUPER QUOI

Soraya secoua la tête avec une exaspération à peine dissimulée. Elle inspectait son maquillage, miroir de poche à la main.

─ Quel cœur d'artichaut, Antoine, tu t'entends ? Les filles n'aiment pas ça, je te l'ai déjà dit. T'es beaucoup trop à fond, comment tu peux espérer la garder ?

─ Ca vaut mieux que d'être aussi cynique que toi, à mon avis, riposta Antoine.

Soraya leva les yeux au ciel, guère impressionnée, et fit claquer son poudrier d'un geste du poignet.

─ Où est Paul ? demanda-t-elle, frottant ses mains gantées l'une contre l'autre.

─ Il est pas venu, dit Antoine. Trop de révisions, il a du mal.

─ Ah, c'est pour ça qu'on se marre pas, ce soir ! Bon, qui veut prendre un verre et discuter de ce film à la noix ?

Pas Dani à mon avis. L'ambiance entre Soraya et elle était très froide, elles ne se regardaient même pas.

─ Comment ça un verre ? On y va, non ? demanda Jules à Soraya.

─ On y va où ? fit Soraya, sourcils froncés.

─ Ben, à la maison, banane. Tu dors bien à la maison, ce soir ?

─ Heu... non.

─ Tu m'avais dit que si, hier.

─ Ben, désolée, apparemment, j'ai changé d'avis.

Jules parut mécontent.

─ On rentre ? me glissa Dani, mettant sa petite main dans la mienne.

Je l'embrassai sur le front.

─ Je pensais rester le temps d'une bière. Je te ramène, si tu veux.

─ Non, c'est pas la peine, t'inquiète pas. Je vais rentrer avec les filles, si tu restes.

─ En métro ?

─ Sûrement.

Il était tard. J'aurais préféré qu'elles prennent un Uber, ça me semblait plus sûr, mais bon, j'essayais de ne pas lui casser les pieds.

─ Soyez prudentes, hein ? Je t'écris tout à l'heure.

Dani me sourit et m'embrassa rapidement sur les lèvres.

─ Tu sais le plus drôle ? se moquait Soraya, juste à côté. C'est que ma mère m'a encore alpaguée ce matin au sujet du MARIAGE. Elle veut que je me marie comme, je cite, « ma copine Dani ».

Elle regarda Dani, l'air mauvais. Celle-ci resta de marbre.

─ J'ai bientôt 32 ans, tout ça, tout ça. Quel désastre ! Quel âge canonique ! Elle me saoule avec sa culture Tchadienne, moi je suis née en France, je m'en fous de ces principes, et elle, évidemment, elle veut pas changer de disque.

─ Ta mère a raison, répliqua Jules froidement. Dire que je ne l'ai jamais vue. Tu trouves ça normal qu'on se connaisse pas, après quatre ans ensemble ?

Sa remarque, le fait qu'il donne raison à la mère de Soraya plutôt qu'à cette dernière surprit tout le monde, Soraya y compris. Elle ouvrit tout grands ses jolis yeux noirs.

─ Qu'est-ce que tu racontes, Julou ? Ne me dis pas que tu veux qu'on se marie comme ces deux-là ?!

Tout le monde savait de qui elle parlait, mais joignant le geste à la parole, Soraya nous désigna, Dani et moi.

─ Pas forcément, mais pourquoi pas ? fit Jules, un peu gêné. Ca fait mille ans qu'on est ensemble. Il est temps qu'on avance, non ? On devrait vivre ensemble, à mon avis. Depuis longtemps, Sora.

Soraya fixait le trottoir d'un air si mécontent que je crus que de la fumée allait lui sortir des oreilles.

─ On s'aime, non ? insista Jules, sur sa lancée. Tu voudrais te marier avec qui ? Vivre avec qui ?

─ Julou, on devrait en parler ailleurs...

─ Non, coupa Jules, incisif. Parlons-en maintenant.

Personne n'osait dire un mot, ni bouger. Soraya s'en aperçut et s'énerva davantage. Je la connaissais depuis assez longtemps pour savoir qu'elle détestait être le centre de l'attention.

─ OK, fulmina Soraya. Comme tu voudras, tant pis pour toi si y'a tout le monde ! Tu vois, c'est précisément le truc. C'est ce que je lui dis à ma mère. Je ne veux pas me marier. Avec personne. Et vivre avec... personne non plus.

Jules pâlit d'un seul coup. Toute couleur sembla avoir quitté son visage.

─ Donc on est ensemble pour quoi au juste, si tu veux te poser avec personne, on va où comme ça ? C'est quoi cette relation ?

─ J'en sais rien. J'aime être avec toi, bien sûr, mais...

Soraya fixait toujours le trottoir, ses longs cheveux de jais dépassant de sous son bonnet en laine multicolore. Je vis Jules prendre une inspiration.

─ Tu me le dis ici et maintenant, Sora. Ras-le-bol, merde.

─ ... tu vas le regretter, Jules. Arrête, putain.

─ Non. Je veux une réponse. J'en peux plus de tes allers-retours. Décide-toi. Je t'aime, je veux qu'on vive ensemble. C'est oui ou c'est non ?

─ C'est non.

─ Alors, c'est fini.

─ Très bien.

─ Très bien.

Magali fondit en larmes à la surprise générale.

─ Mais qu'est-ce que vous faites ! hoqueta-t-elle, horrifiée. Vous ne pouvez pas vous séparer. Ca fait très longtemps que vous êtes ensemble, vous êtes Julou et Sora ! C'est pas possible.

─ Toi, tu peux parler, lui asséna Jules, inhabituellement agressif. T'as bien lâché Valentin. Il boit comme un trou à cause de toi, maintenant.

Magali se mit à pleurer encore plus fort.

─ Ne t'en prends pas à elle, intervint aussitôt Dani, agacée. Elle a le droit de passer à autre chose. Valentin ne la traitait pas bien.

Jules fixait un point loin dans la rue, et Soraya serrait les dents.

Je croisai le regard de Jules.

─ Julou...

─ Ca va, j'me casse, marmonna Jules.

Et il s'éloigna à grands pas, le cou rentré dans le col de son manteau, les mains enfoncées dans les poches. Tout le monde tourna la tête vers Soraya. Elle croisa les bras sur sa poitrine et releva le menton d'un air bravache.

─ Eh bien ? Le spectacle est terminé. Qui veut boire un verre ? J'ai déjà posé la question.

─ Tu vas changer d'avis, hein, Soraya ? supplia Magali, reniflant. Déjà que tu t'entends plus avec Dani...

─ Arrête, Magali, ça ne te regarde pas. Je suis d'accord avec lui sur ce point.

─ Mais... mais tout est en train de changer ! ulula Magali, l'air totalement bouleversé. Plus rien n'est plus pareil.

Soraya regardait Dani, comme si elle voulait son soutien ; je vis dans ses yeux que cette rupture avec Jules la faisait souffrir. Dani ne dit pas un mot, se contentant de frotter le bras de Magali pour la réconforter. Résultat, Soraya détourna le regard. Elle était blessée.

─ Alors ? Un verre ? Personne ? poursuivit Soraya, de plus en plus en colère. OK. Allez vous faire foutre, dans ce cas. Ciao !

Et elle s'éloigna dans la direction opposée à celle de Jules.

─ Encore une super soirée, entendis-je Dani marmonner.

**

Les filles parties en métro et Antoine rentré retrouver Margot, on se retrouva en très petit comité : juste Dennis et moi.

─ Tu veux quand même le boire, ce verre, ou pas ? me lança Dennis, passant la main dans ses cheveux.

Je le fixai un instant. C'étaient les premiers mots qu'il m'adressait de la soirée. Pour être franc, j'étais surpris de le voir là ce soir. On s'était beaucoup vu au début, quand je sortais avec Chloé, puis, brusquement, il avait disparu. Ca correspondait à la période où on s'était fiancé.

Et voilà qu'il réapparaissait.

Je n'étais pas idiot.

Dennis s'était pointé exprès pour me parler, apparemment.

─ Ouais, j'ai quand même envie de boire un verre, répondis-je avec méfiance.

─ Allons-y, alors.

On marcha en silence jusqu'au premier bar qui se présenta. Les vitres en étaient embuées, il était très animé. On se retrouva assis au comptoir.

Est-ce que Dennis était encore un ami ? Plus vraiment. Je l'appréciais toujours, simplement, j'avais l'impression de ne plus le connaitre. Ce n'était plus comme à l'université où je l'avais rencontré, et où on passait du temps ensemble, Chloé, lui et moi. Chloé était proche de sa sœur, et, de fil en aiguille, elle en était venue à fréquenter Dennis. C'était bien avant qu'on sorte ensemble.

Je pris une gorgée de ma bière. Le liquide glacial parut m'éclaircir les idées.
Je décidai de jouer franc jeu.

─ Si tu es venu t'en prendre à moi parce que j'ai rompu avec Chloé, sache que ce ne sont pas tes affaires.

Un éclat surpris dansa dans les prunelles sombres de Dennis. Il me fit un faible sourire.

─ Tu as bien fait de rompre avec elle. Mais pourquoi tu la revois ?

A moi d'être surpris. Je déglutis, mal à l'aise, mais continuai de le fixer droit dans les yeux.

─ C'est ce que Chloé t'a dit ?

─ Elle m'a dit que tu étais passé chez elle. Elle est très contente, à croire que tu vas la récupérer.

J'étais dépité.

─ On s'est baladé, je l'ai ramenée, rien de spécial. Non que ça te regarde mais je n'ai aucune intention de reprendre quoi que ce soit avec Clochette.

─ Alessio. Je sais que tu t'es marié avec Dani. J'ai détesté comment tu as fait ça, je t'ai peut-être même détesté tout court de blesser Chloé, mais je peux comprendre qu'une fois au pied du mur, t'avais pas d'autre choix. S'il te plait, ne l'encourage pas. Vous vous reparlez, vous vous voyez... Chloé est dans tous ses états.

─ On ne se « reparle » pas. Je ne lui écris pas, je ne l'appelle pas. Je te l'ai dit, je n'ai pas l'intention de l'encourager de quoi que ce soit.

─ Mais tu as l'intention de la revoir, non ? C'est pas une forme d'encouragement, ça ? Me prends pas pour un con.

Je ne répondis pas. J'avais moi-même demandé de l'aide à Chloé concernant les cadeaux de Noël. C'était un peu limite comme demande, j'aurais dû faire ça avec Dani et je le savais. Mais si on devait être amis... je sais pas, j'avais voulu... lui remonter le moral.

─ Fais gaffe, me menaça Dennis, les yeux plissés. Vraiment, fais gaffe. Chloé est fragile. Ne la fais pas souffrir encore ! T'en as assez fait !

─ Tu dis ça comme si je jouais avec elle, alors que tu sais que je ne suis pas comme ça. Tu l'aimes encore, bien sûr. Ca c'est entre toi et elle. Je suis avec Dani, tu l'as dit toi-même. As-tu la moindre idée d'à quel point je tiens à Daniela ? Ouais, j'ai brisé le cœur de Chloé pour me remettre avec elle. A ce point. Et bien sûr que je me suis détesté. Mais je ne regrette rien. Je regrette juste de ne pas l'avoir fait avant, ça aurait été... mieux.

Dennis gonfla ses joues et expira en se passant de nouveau la main dans les cheveux. Il fixait sa bière d'un air lointain, perdu.

─ Tu l'aimes encore, répétai-je. Tu lui as dit ?

Dennis haussa les épaules et but une gorgée de son verre.

─ Pourquoi je ferais ça ?

─ Elle t'adore, Chloé.

─ Comme si ça suffisait.

─ Tu as tes chances. Elle t'aime vraiment beaucoup.

─ Arrête, aboya Dennis, furieux. Le problème, c'est qu'elle ne parle que de toi, Alessio. Que de toi. Je n'existe pas, pour Chloé, pour Chloé, il n'y a qu'un mec sur terre, et ce mec, c'est toi. Tu devrais... tu devrais la laisser tranquille, c'est tout.

Je terminai ma bière, d'humeur sombre.

**

La moto filait vers la maison dans les rues calmes, les lumières des réverbères rendues floues par la vitesse.

Je profitai d'un feu rouge pour sortir mon portable et écrire à Dani, comme promis.

Alessio

Tu fais quoi, ma puce ? Je suis en chemin, tu me manques.

En arrivant à la maison, je trouvai Dani assise en tailleur sur le canapé, en train de rire au téléphone. Voilà pourquoi elle n'avait pas répondu à mon message : elle ne l'avait même pas vu. Elle parlait d'un ton très excité en portugais et j'étais à peu près certain qu'elle discutait avec Lula.

J'étais de mauvaise humeur et ça ne fit rien pour arranger les choses, même si je n'avais rien contre leur relation. Ils étaient bons amis. Je ne pouvais pas en dire autant concernant Chloé !

J'allumai la console et m'assis près de Dani, qui passa sa petite main dans mes cheveux en continuant de parler. Elle avait troqué la robe dans laquelle je l'avais découverte tout à l'heure pour un pull à capuche blanc et des leggins noirs. Elle s'était démaquillée et avait attaché ses cheveux bouclés en queue de cheval. Je la trouvai terriblement belle et lui en voulus un peu plus.

Je jouais depuis quinze minutes quand Dani raccrocha.

─ Hey, fit-elle.

─ Hey.

─ Je ne savais pas que tu rentrerais si tôt.

─ Je pensais que tu dormais, vu que t'as pas répondu à mon texto.

─ Excuse-moi, je parlais à Lula. Avant ça, j'ai appelé ma mère. Je suis contente que tu sois déjà là.

Elle prit mon visage entre ses mains et m'embrassa tendrement. Je n'étais pas d'humeur à parler, mais je me sentais déjà mieux d'avoir son attention, de l'avoir tout contre moi. Je lui rendis son baiser.

Elle appuya la tête contre mon épaule.

─ C'était bizarre, ce soir, non ? dit-elle, caressant mon avant-bras du bout des doigts.

─ Un peu.

─ Paul n'était même pas là.

─ Y'a pas que ça. Tout le monde en veut à quelqu'un, on dirait. On s'entendait mieux cet été.

─ Ta mère m'a appelée, tu sais.

Mon cœur s'emballa. Chloé. Chloé avait dû lui dire qu'on avait parlé. Eh bien... au moins, Maman avait tenu parole.

─ Ah ouais ? fis-je, mal à l'aise.

─ Oui. Elle a proposé qu'on mange chez ton père et elle le week-end prochain. Tu es d'accord ?

─ Evidemment. Enfin, si tu veux bien.

Dani haussa les épaules.

─ Il faut bien qu'on y mette tous du nôtre, on est une famille, maintenant. Et puis... elle s'est excusée.

─ C'est vrai ? Tant mieux.

Dani me regarda d'un air songeur.

─ Je te trouve silencieux, ça va, amor ?

─ Pas vraiment à vrai dire. Drôle de soirée.

Les reproches de Dennis étaient bien clairs dans mon esprit confus.

─ Tu es triste pour Jules et Soraya ?

─ Aussi, reconnus-je. Mais c'est la vie, tu sais. Ca n'allait plus tellement entre eux. Peut-être que c'est mieux comme ça. Et toi ?

─ Je connais Soraya, ça doit être terrible pour elle. Elle a peur de l'engagement mais elle aime vraiment Julou. Enfin, la dernière fois qu'on a parlé de leur couple, c'était le cas. J'aurais aimé lui dire quelque chose, j'avais l'impression d'être inhumaine mais bon... on est toujours tellement en froid, bref.

Dani haussa les épaules. Je l'embrassai sur la joue.

─ Soraya est une grande fille, Dani, ne t'en fais pas. Elle sait où te trouver.

Elle me fit un sourire.

─ Alessio, pour ta mère... je ne sais pas comment tu as fait pour la convaincre de faire un effort, mais... tu as bien fait.

Achevez-moi.

─ Tu vois... j'ai toujours eu peur de cette discussion avec elle. Mais maintenant que c'est fait, on peut passer à autre chose. Il n'y a plus de non-dits gênants. Alors... c'est peut-être pas plus mal que ça ait enfin eu lieu.

Si. C'était plus mal. Parce qu'à cause de tout ça, j'avais accepté de revoir Chloé sans pouvoir lui en parler.

Je détestais ce non-dit là.



─ ─ ─ ─ ─ ─ ─ ─ ─ ─ ─ ─ ─ ─

Oh ! Je n'ai rien contre Jamie de « C'est pas sorcier », en fait, Jules ne lui ressemble pas du tout. Je trouvais juste cette réplique très drôle, j'ai bien ri d'ailleurs. J'aime beaucoup Jules. Ca va faire bizarre de l'écrire sans Soraya comme partenaire.

Magali a raison, tout change.

Ca vous fait quelque chose cette rupture ou, tant que Alessio et Dani sont à l'abri, vous vous en moquez ? XD

Eh bien, personne n'est à l'abri, il me semble.



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