La Lune de Miel (HB tome 4)

Galing kay Kaziski

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Alessio et Dani se sont dit " oui ". Certains leur disent " non ". Arriveront-ils à faire face aux défis de l... Higit pa

Note de Kaziski
Première Partie
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Hey... un à propos
Deuxième Partie
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Troisième Partie
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Tout le temps du monde - Incipit
Tout le temps du monde - suite
Tout le temps du monde - suite
Tout le temps du monde - suite et fin de l'extrait
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Après
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Remerciements

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Galing kay Kaziski

Alessio

Je poussai la porte et allumai la lumière.

─ Il fait pas chaud, ici, grelotta Dani.

Thomas avait dû baisser le chauffage avant de sortir. Il était pas du genre frileux, lui. J'augmentai le thermostat.

─ Retire ton manteau, ma puce, je vais te préparer un truc pour te réchauffer.

─ Merci.

Elle l'ôta et je le suspendis pour elle à la patère. Puis elle retira ses bottines. Je souris en la voyant perdre dix centimètres sous mes yeux et elle me rendit mon sourire.

─ Quoi ? fit-elle, se dirigeant vers la cuisine.

Je la suivis.

─ T'es mignonne, lui dis-je, mes yeux parcourant sa délicieuse chute de reins pour s'arrêter sur ses fesses, très tentantes dans cette jupe.

─ Juste mignonne ? rétorqua Dani, un sourire dans la voix.

Coquine. Je me pris au jeu.

─ Tu es irrésistible. Thé ou chocolat chaud ?

─ Thé, s'il te plaît. Et merci. T'es bien mon genre toi aussi.

Ça nous fit rire.

Dani s'assit à table, les coudes sur la table, les mains posées sur les joues. Elle m'observait, un sourire tendre au fond des yeux. Elle était si belle avec ses cheveux qui lui tombaient dans le dos, ses joues rougies par le froid, ses yeux sombres. Je ne pouvais pas m'empêcher de la regarder, en fait, de la dévorer des yeux.

Je mis la bouilloire en route et sortis une tasse du placard.

─ T'as dîné, en sortant du boulot ? me demanda-t-elle, soupçonneuse.

─ Nan. Pas dîné.

─ Je te prépare quelque chose à manger ?

─ Non, ça va, je te remercie. J'ai grignoté toute la soirée.

On discuta de choses et d'autres tandis qu'elle buvait sa tasse. Je la fis rire à plusieurs reprises, ce qui me rendit tout guimauve.

Je m'appuyai contre le comptoir et regardai Dani passer un coup d'éponge sur le plan de travail.

─ Alors, comment tu as trouvé Sutan ? demandai-je pour briser le silence.

─ C'est un gars sympa. Il m'a beaucoup parlé de l'Indonésie, c'est très intéressant.

─ Oui, j'imagine. Il a l'air cool, mais on le connaît pas. J'espère qu'il va pas déconner avec Mag.

─ Je ne pense pas, dit Dani. Il a l'air... très respectueux. Très amoureux.

Je m'approchai d'elle, posai mes mains sur ses hanches et l'attirai contre moi. Je sentis son souffle s'accélérer.

─ Il ne l'aime sûrement pas autant à moitié que je t'aime, moi. Aucun type sur cette terre n'aime sa copine autant que moi je t'aime. Promis. Alors tant mieux pour Magali... mais toi, tu m'as.

Je glissai les mains jusqu'à ses cuisses, avant de les remonter sur son charmant petit cul, passant sous sa jupe. Dani sourit. Elle essaya de me repousser, mais je ne lâchai pas prise. Elle jouait à m'émoustiller. Elle adorait que je la veuille, forcément.

─ Alessio... je suis en train de ranger ce bazar.

─ Je m'en fous, lui dis-je en la serrant encore plus fort. Viens là. J'ai besoin de toi.

Dani me sourit, une petite lumière coquine dans les yeux. Je ne pus m'empêcher de l'embrasser, m'emparant de ses lèvres avec passion. Elle cessa de résister et se mit à m'embrasser avec autant de fougue, poussant sa langue dans ma bouche.

─ Dani, je t'aime, lui murmurai-je.

─ Je t'aime, répondit-elle en me mordant la lèvre.

Je la soulevai et la posai sur le comptoir. Je glissai ma main sous sa jupe et caressai la peau nue de ses cuisses, au-dessus de ses bas. Elle frissonna. Oh oui, putain.

─ Alessio...

─ Oui ?

─ Pas ici.

─ Si, fis-je en la regardant droit dans les yeux. Je n'ai pas la patience qu'on aille dans la chambre.

Et puis, pourquoi pas. Elle aimait le sexe acrobatique autant que moi, sinon plus.

─ Ton père a une soirée avec sa copine, lui murmurai-je à l'oreille, traçant des formes abstraites sur ses cuisses. Tu es toute à moi jusqu'au petit matin et je compte bien en profiter. Tu ne vas quand même pas t'en plaindre...

─ Non, gémit-elle.

Ca m'excita un peu plus. Je l'embrassai avec passion, ma langue se mêlant à la sienne. Je sentis ses petites mains se faufiler sous mon pull pour caresser la peau de mon torse.

─ N'empêche, Valentin était vraiment mal, dis-je, glissant les doigts entre ses boucles.

Dani fit la moue. J'embrassai le petit froncement entre ses sourcils.

─ Il l'a un peu cherché, quand même, me dit-elle, le ton un peu froid.

─ Je suis au courant de rien de ce qui s'est passé entre Mag et lui.

─ Il la négligeait, d'après Magali.

─ Oh... en tout cas, pour moi, se séparer après toutes ces années, ça laisse des traces.

J'enroulai ses cheveux autour de mon poignet et tirai doucement pour qu'elle lève les yeux vers moi.

─ Si tu devais me quitter, je pèterais un câble, avouai-je, le souffle court. Surtout pour un autre. Je le tuerais. Tu te rends compte ?

Dani sourit.

─ Oui, je me rends compte. Paul dit que tu es trop possessif.

─ Ca va pas non ?! râlai-je, agacé. Qu'il aille se faire foutre !

Non pas de ce qu'il disait, parce que c'était vrai je crois, mais qu'il le dise à ma femme. Il en avait déjà assez fait avec son petit numéro de ce soir.

Je l'attrapai par la taille et la plaquai brutalement contre mon érection, me frottant contre elle.

─ Ne me quitte jamais, grognai-je sur son oreille. Dani, je te préviens. Je n'accepterai ni divorce ni séparation d'aucune sorte.

L'espace d'une seconde, alors que je faisais tout mon possible pour qu'on ait chacun notre espace, je le jure, j'eus peur qu'elle me dise que j'étais étouffant. Je savais que j'avais l'air d'un fou, mais je pensais ce que je disais. Heureusement, elle le prit bien. Elle s'était montrée vraiment rassurante avec mes inquiétudes cette semaine.

─ Je n'ai pas l'intention de te quitter..., murmura-t-elle, et elle frotta son nez contre ma joue.

─ Mais après avoir parlé avec Maman, tu y as pensé.

─ Je ne sais pas si je l'aurais vraiment fait. Je t'ai laissé le choix. Je voulais que ça s'arrange pour toi.

On avait cette conversation pour la cinquantième fois cette semaine. Je ne vivais pas bien le contrecoup de tout ça, et lui demandais sans cesse de me promettre qu'elle n'irait nulle part. J'étais pitoyable quand je voulais mais je n'arrivais pas à m'en EMPECHER ARGH

─ Hey... Tu te souviens quand tu m'as vue danser en soirée, la première fois ? demanda Dani, un sourire dans la voix. J'en parlais à Clémentine.

─ Oh, putain, ouais. J'en ai pas dormi de la nuit. Je t'en voulais à mort.

Je lui retirai son haut. Ses seins étaient moulés dans un soutien-gorge rouge qui me mit dans tous mes états.

─ Putain, marmonnai-je, les yeux écarquillés. Jure que tu ne me quitteras jamais.

─ Je ne te quitterai jamais.

─ Encore, Dani. Dis-le encore.

─ Alessio, je ne te quitterai pas.

Mais ce n'étaient que des mots. Ce n'était pas suffisant. Je pris sa mâchoire entre mes mains pour mieux l'embrasser, approfondissant notre baiser. Je la voulais tout entière.

─ Promets, soufflai-je contre ses lèvres.

─ Je promets...

Ses yeux étaient emplis d'amour.

Apaisé, je détachai son soutien-gorge et pris ses seins dans mes mains, tandis qu'elle cambrait le dos, les offrant à mes caresses. Je me penchai et embrassai sa poitrine avec adoration tandis qu'elle nouait les jambes autour de ma taille. Mes lèvres se refermèrent sur un téton et je suçai fort, assez pour lui arracher un halètement de plaisir. Il m'en fallait plus. Je glissai les doigts sous l'élastique de son string et le retirai, le faisant glisser le long de ses jambes.

─ Parfaite, murmurai-je, admiratif.

J'embrassai son ventre plat et doré, puis son sexe.

L'odeur de son excitation me fit grogner comme un animal.

Je me redressai, retirai mon pull pour être plus à l'aise, puis je l'embrassai dans le cou. Je lui fis un petit suçon et souris en la sentant frémir contre moi.

─ J'ai envie d'être en toi tout de suite, soufflai-je. On peut sauter les préliminaires ?

─ Oui. Prends-moi.

Je n'allais pas me le faire dire deux fois.

Je dénouai ma ceinture, pressé de me fondre en elle. J'étais trop impatient ce soir et je savais que je n'allais pas tenir longtemps, mais tant pis. Je la pénétrai vivement, profondément, et me retrouvai entouré de sa chaleur, de sa délicieuse moiteur. On était entortillé n'importe comment mais je m'en fichais, seul comptait le réconfort et le plaisir d'être accueilli en elle.

─ Oui, Alessio, haleta Dani, remuant sensuellement des hanches sous moi.

C'était trop bon, si profond, si doux.

─ Moins vite, souffla Dani, agrippée à mon t-shirt. Doucement.

Je l'embrassai partout sur le visage en ralentissant sensiblement la cadence. Elle s'appuya sur le comptoir derrière-elle, respirant de plus en plus bruyamment, les yeux mi-clos. Je lui mordillai le menton et la pénétrai plus fort. Elle gémit, son sexe se contracta, aspirant le mien, et je n'y tins plus. Je déchargeai en balbutiant son prénom de façon incohérente. Essoufflé, je l'embrassai sur le front en lui souriant. Dani me rendit mon sourire. Ses cheveux étaient en bataille.

─ Incroyable, dit-elle contre mes lèvres.

─ Tu vois comme c'est bon entre nous.

Sans me retirer, je la soulevai dans mes bras. Elle m'embrassa de nouveau. Je traversai la cuisine et montai les escaliers à la hâte pour aller dans la salle de bains.

On acheva de se déshabiller l'un l'autre et on passa sous la douche, s'embrassant et riant. Le savonnage servit bien aux préliminaires, cette fois. Je la pris une seconde fois contre le mur de la douche. C'était encore meilleur de cet angle, si profond, si étroit. Je ne m'en remettais pas. Je lui mordillai l'oreille en m'enfonçant en elle, encore et encore. On était seul ce soir là et j'avais envie de l'entendre, qu'elle jouisse avec moi. Je glissai une main entre nous pour la caresser, me guidant à sa respiration. L'entendre atteindre l'orgasme en me disant je ne sais quoi en portugais suffit à me faire jouir une seconde fois. Je l'embrassai sur l'épaule, dans le cou, puis je me retirai de sa chaleur pour la retourner et pouvoir prendre ses lèvres.

─ Tu es merveilleuse.

Dani eut un air malicieux.

─ On verra si tu es encore du même avis demain matin.

Une fois propre, je sortis de la douche, laissant Dani profiter encore un peu de l'eau chaude. J'allai dans la chambre pour enfiler un t-shirt et un vieux bas de pyjama. A l'extérieur, juste en face, la moto dormait. La lumière orange des lampadaires révélait la neige qui tourbillonnait vers le sol.

Dani entra dans la chambre, les cheveux noués sur la nuque, les yeux pétillants. Mon cœur bondit. On se pelotonna sous la couette. Je lui fis plein de bisous.

─ On fait les courses, demain matin ? me demanda-t-elle, frottant son nez contre le mien.

─ Y'a déjà plus rien ?!

─ Toi et papa mangez comme quatre.

─ Tu devrais être contente qu'on aime autant ta cuisine.

─ Je n'ai pas envie que tu deviennes énorme ! dit-elle, posant la main sur mes abdos, sous mon t-shirt. Tu me plais comme ça, mince et... mince. Gare à toi.

Ca me fit marrer.

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