Ses parents : un homme et une femme, mariés, séparés, l'un mort/absent ou tous les deux morts
-si Marcelle-Madeleine en a, le père est sévère, la mère douce (l'inverse est possible) mais ils sont cool pour certains événements douteux (laisser par exemple leur enfant de 15 ans aller chez un inconnu vers 23h du soir)
-si elle n'en a pas (cliché de l'orphelin.e against the fukin' world !), elle aura vécu dans un orphelinat toute a vie jusqu'à ses 18 ans où on la battait avec des roseaux ardents sans que ça ne fasse sourciller les associations contre la maltraitance des enfants ou elle aurait vécu avec des oncles et/ou des tantes peu aimants
Enfant unique ou a une fratrie (généralement un grand frère souvent protecteur, un.e petit.e frère/sœur pénible, une grande sœur qui sert de modèle...)
La meilleure amie de l'héroïne :
- soit plus futée et plus émancipée mais tout le monde s'en fout
- soit plus stupide et superficielle et qui force la protagoniste à faire des choses qu'elle ne souhaite pas faire
Le meilleur ami gay : Comporte les critères de la gay box : efféminé, qui parle d'une voix nasillarde, qui s'intéresse exclusivement à la mode et à la coiffure, qui se déhanche, etc. Mais pourquoiiii ? Y a plus que ça bon sang...(*pleurs*)
L'héroïne seule : en début de roman, lorsqu'elle arrive dans son nouveau collège/lycée ; plus rarement tout du long parce qu'elle n'est pas populaire et trop timide pour voir les autres (ou harcelée)
Les cousins : soit ils sont petits, soient ce ne sont que des cousines du même âge que l'héroïne ou plus vieilles mais en tout cas, elles ont toujours une petite astuce de maquillage pour aider Marcelle-Madeleine à plaire à son soupirant pour la fête de ce soir
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La culture du cliché
RandomOu comment repérer et éviter les bêtes noires trop souvent présentes dans nos récits. Salutations distinguées à tous.tes ! Sans surprise, on aborde les clichés récurrents et mal utilisés dans nos livres (ainsi que sur Whattpad, hum hum). Ici vous tr...