Chapitre vingt-cinq

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Bonjour, voici le chapitre 25 (ça avance dites donc) !

J'espère que vous l'apprécierez comme j'ai aimé l'écrire. En ce moment , je remarque beaucoup de changement pour cette histoire, plusieurs personnes commentent et votent, ça me fait vraiment plaisirs et surtout ça me motive à me plonger corps et âme dans ce récit. Continuez comme ça, vous êtes géniales !!

Bonne lecture !

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C H A P I T R E 25

Klaus connaissait enfin la personne qui osait menacer sa douce. Tout le monde devait être prévenue, maintenant. Kira allait lui passer un savon mais au moins ils savaient que ce n'était pas juste un simple accident, c'était intentionnel.

Après avoir mit au courant toute la meute que personne ne devait toucher à un cheveux de sa douce, il était rentré les méninges à mille kilomètre à l'heure. Sur le chemin du retour, il envoya un message groupé à toute la troupe en évitant bien sûr Kira, il se devait de lui annoncer en personne.

En arrivant au manoir, il sut, en entendant le cœur de sa douce battre de colère, qu'il allait devoir s'expliquer. Il entra dans le salon où était Kira. Il s'asseya près d'elle sur le canapé puis lui embrassa la joue sans qu'elle ne réagisse malheureusement pour lui.

-Où étais-tu ? Demanda Kira avec une voix faiblarde.

Cette question le fit doucement sourire, lui rappelant un petit souvenir. Voir cette lueur d'inquiétude dans les yeux de sa belle lui réchauffait le cœur.

-Je suis allé rendre une petite visite de courtoisie à ce cher alpha, ma douce ! Disait-il en prenant Kira dans ses bras pour la poser sur ses cuisses.

-Tu y es allé, alors que je ne le voulais pas ! Milles scénarios me sont passés dans la tête et toi tu étais parti fanfaronné dans la forêt pour jouer au grand méchant loup ! Éclata Kira pleine de reproches.

Klaus éclata, lui aussi, mais de rire contrairement à sa douce. Il n'était pas encore habitué au répondant farouche de sa belle, il en était étonné à chaque fois qu'elle était en colère. Il l'admirait encore plus pour cela.

-Je n'ai pas été « fanfaronner », je suis allé mettre les choses au clair, chérie.

Kira frissonna délicieusement en entendant ce surnom, plutôt simple mais de la bouche de son hybride, ça la rendait toute chose. Non, elle ne devait pas se laisser berner. Elle voyait bien que Klaus faisait tout pour qu'elle ne puisse plus réfléchir clairement : les câlins, les caresses, les petits surnoms enrobés de romantisme au chocolat, l'hybride savait très bien y faire pour manipuler ses proies se disait-elle.

-Alors les choses sont claires maintenant ? Demandait-elle malicieusement.

-Oh oui, très clair, mon amour, disait-il en rapprochant son visage à celui de Kira.

Il l'embrassa comme si c'était la dernière fois, leurs souffles se mélangeait avec désir et passion. Kira se colla le plus possible à Klaus qui se réchauffait doucement grâce à l'exquise chaleur corporelle de son humaine, jusqu'à ce qu'un grand vide remplaça le corps soyeux de Kira.

Il ouvrit les yeux et la découvrit debout, devant lui, les bras croisés sur sa poitrine, un air sérieux au visage. Il comprit rapidement que sa tentative de diversion n'avait pas fonctionné, sa belle était vraiment maligne.

-Je veux tout savoir Klaus, maintenant !

- À ce que j'ai appris aujourd'hui, il se pourrait qu'une femme, que j'ai peut-être fréquenté dans une vie antérieure, veut se venger sur toi, débitât-il très vite, lâchant la bombe.

-« Une femme que tu as peut-être fréquenté dans une vie antérieure », répétait-elle calmement, alors une de tes ex veut me faire la peau si j'ai bien compris ?

-Tu as parfaitement compris, chérie, répondait Klaus en rattrapant Kira par les hanches pour continuer leur petit jeu qu'il trouvait divinement satisfaisant.

-À quoi ressemble-t-elle ? Demandait-elle en croisant le regard de Klaus.

-D'après le peu de souvenirs que j'ai d'elle, elle est grande, rousse aux cheveux long, et ses yeux sont bleus si je ne me trompe pas, réfléchissait-il.

C'était tout le contraire de Kira qui, elle, était petite, les cheveux cours, clairs et les yeux verts, se disait-elle en sentant un amer sentiment de jalousie lui empoigner le cœur.

-Et tu l'as connais depuis longtemps ?

-Depuis quelques siècles mais je ne l'ai plus revue depuis beaucoup de temps, je l'avais oublié, je pensais qu'elle était morte, finit-il par dire.

Kira se sentait encore plus mal à l'aise, que pouvait-elle faire, face à une femme qu'il connaît depuis des centaines d'années alors qu'elle ne connaît Niklaus que depuis quelques mois. Elle avait peur que son hybride retourne dans les bras immortels de cette femme.

-Comment s'appelle-t-elle ?

-Nina mais elle répond au surnom de « renarde ».

« Nina » se répétait-elle à elle-même pour bien enregistrer que tout cela était réel et que sa vie était vraiment menacé. Ce sentiment d'impuissance ne dépassait même pas sa jalousie, tellement elle se savait en danger en fréquentant la famille Mikaelson.

Klaus la regarda avec toute la douceur dont il était capable. Il sentait que son humaine n'était pas dans sa meilleure forme et que quelque chose la tracassait. Il avait remarqué son énervement quand il avait parlé de la renarde, donc il pariait sur la jalousie. Et cela le fit doucement sourire, se faisant remarquer par Kira qui fronçait les sourcils d'agacement.

-Pourquoi souris-tu ? Demandait-elle sèchement.

-Parce que j'adore l'attention que tu me portes, chérie, je trouve ça super sexy que tu sois jalouse d'une femme que je n'ai même pas aimé, lui répondait-il avec une voix profondément grave, ce qui réveillait les capteurs corporels de l'humaine.

Kira se détendit en comprenant qu'il ne l'a portait plus dans son cœur. Avec Klaus, ses émotions faisaient des grands huit constamment. Elle passait du désir à la jalousie en quelques secondes. Son cœur allait vite fatiguer si cela continuait ainsi.

-À partir de maintenant, tu ne quittes plus la maison seule, tu sors à l'extérieur la seule condition est qu'un de nous t'accompagne. Si quelqu'un que tu ne connais déjà pas toque ou rentre, tu viens me voir directement, tu ne discute pas avec, c'est compris ? Demandait-il strictement. Promet le moi !

-Oui, chef, c'est compris ! Rigolait-elle en l'embrassant passionnément pour sceller leur promesse.

L'innocente  T1Where stories live. Discover now