Méfiez Vous Des Anges

Chapitre 21:

Je suis colérique alors quand on m'énerve je le reste un moment, et je suis comme fou. Une vraie tornade. La frustration et la colère ne font vraiment pas bon ménage en plus. Je maudis Lottie et je crève d'envie d'avoir le corps de Payne sur le mien. C'est frustrant, c'est insupportable. N'en pouvant plus je me lève et cours à la douche, j'ai passer une nuit merdique a me tourner sans cesse dans mon lit et à somnoler douloureusement. L'eau fraîche à le méritte de me sortir la tête du cul. Je suis légérement bien quand je sors, une douce odeur de vanille m'envellopant. Je choisis un jean noir me moulant comme pas possible, compressant mes cuisses et mes fesses et met un pull en grosses mailles gris perle sans rien dessous, peau nue. Et je dévalle les escaliers qui mènent au hall d'entrée, aujourd'hui je ne veux pas prendre l'ascenseur. Je compte me faire le même début de journée que hier, un café, une clope et l'air frais de la rue le matin. Peut-être que ça aura le méritte de me relaxer quelque peu. Parce que si je ne fais rien je vais finir par exploser, et ce ne sera franchement pas beau à voir. Oui, il faut que j'aille dehors.
Mais bien sur mes plans sont stoppés, anéantis. Détruis quand j'aperçois la silhouette de Liam marchant d'un pas vif dans l'entrée. Une pointe de feu se fiche dans mon bas ventre, et c'est à la fois douloureux et délicieux. Je le veux. Il le le faut. Maintenant. Tout de suite. Immédiatement. Moi, complètement nu  couché sur le lit et lui, debout, me surplombant, habillé de son beau costard couleur chocolat noir. Sans réfléchir je cours dans les escaliers en marbres, manquant de me péter les deux chevilles. Mais je m'en fous, il faut que je le rattrape avant qu'il atteigne l'ascenseur qui mène à son bureau. Il ne m'entend pas, pourtant mes basket frappent contre le sol dur. Il est si près, je pourrai bientôt sentir son odeur de mâle, toucher son visage de Dieu, lécher sa peau au goût de musc, et me fondre en lui. Je le rattrape, et me place devant lui dans un dérapage bruyant sur les larges carrelages. Je suis éssouflé, mes longs cheveux tombent sur mes yeux brillants de désire, mon souffle est court et je le fixe d'un air si coulant, si chaud.
-"Liam..."
Murmurai-je, mes lèvres rouges et pulpeuses se faisant un plaisir de prononcer son si joli prénom. Quand ses prunelles glaciales et brûlantes à la fois se posent sur moi c'est un feu dans ma tête, dans mon corps. Il tend très doucement sa main vers mon visage, le caressant du bout des doigts. Traçant le contour de ma barbe brune, effleurant ma bouche, laissant un sillage de lave après son passage.
-"Que fais tu là petit Zayn?"
Sa voix et rauque et doucereuse en même temps, c'est un bonbon amère. Il n'a plus l'air si pressé, j'ai toute son attention. Attention si recherché par tant de gens important, et moi je l'obtiens en un seul regard fiévreux.
J'ignore la question et lève la tête hautainement, mon mentont vers le haut, impétueux et insolent.
-"Je te veux."
Susurai-je. Et je pose dans le même mouvement ma bouche avide sur la sienne, surprise. Là, en plein milieu du hall, sur la pointe des pieds, je l'embrasse à pleine bouche, entremêlant nos langues et me cramponnant dûrement à sa chemise immaculée. En moins de dix secondes il domine le baiser, m'emportant dans sa bulle et me pressant contre lui à l'aide de son bras musclé. Il me plaque ensuite contre un des murs boisés d'acajou du hall, appuyant son bassin sur mes hanches, me soulevant de terre. Je m'accroche à ses épaules droites et me frotte sensuellement contre lui alors que son muscle buccale bouge à toute vitesse en compagnie du mien.
-"Zayn, Zayn, Zayn...tu me rend fou...dés le matin tu es bandant pour moi..." Susure t-il en léchant mon oreille et en pressant de ses doigts ma verge emprisonné dans ce jean presque vulgaire tellement il me colle à la peau, épousant mes légères formes.
-"Et ce pantalon...Oh bébé, je suis taré, tu me rend taré avec ton indécence et ton corps...si magnifique et sexy à la fois..." Il mord mon lobe me faisant sortir un glapissement vraiment très féminin, j'aime tant qui m'appelle de cette manière. Si nous n'étions pas au milieu du hall nous serions déjà entrain de baiser à même le sol. Mais il me prend par les hanches, me portant à moitié, passe devant le portier qui ouvre des yeux comme des soucoupes, c'est vrai qu'on lui a donné une jolie petite exhibition. Ce qui est sur c'est que demain tous les employés de Liam Payne seront au courant que nous nous sommes à moitié dévoré au beau milieu du hall. Mais aucun n'aurait l'audace d'aller le raconter à la presse, ils ont bien tous trop peur de Liam Payne pour ça...
Et justement cet Apollon me traine jusqu'à l'ascenseur, appuit rapidement sur le bouton qui mène à mon étage et entreprend de mordre mon cou de baisers.
-"J'aime quand tu viens me chercher de cette manière, petit tentateur..."
Me dit-il d'une voix déjà éssouflé.
-"Je n'en pouvais plus d'attendre...c'est atroce, je veux que tu me baises correctement..."
Murmurai-je, les lèvres entrouvertes, les deux mains enfoncées dans ses cheveux doux. Sa respiration s'arrête un court instant avant de repartir encore plus hératique et désordonnée qu'auparavant.
-"Ce sera plus que correctement, tu sera tellement comblé que tu me suppliera de recommencer aussitôt."
-"Je n'en doute pas un seul instant."
Dis-je au moment où nous arrivons à mon l'étage. Il enfouis sa tête dans mon cou, me mordant violament aux endroits où j'ai déjà d'énormes traces de dents et de suçons, pousse la porte et la vérouille derrière nous. Il me saisit sous les fesses et avance jusqu'au lit où nous tombons. J'halette vulgairement, mais j'ai trop attendue ce moment, moi qui précipite toujours les choses il me semble avoir attendue une éternité avant de pouvoir ENFIN baiser avec Payne.
-"Je veux te faire du bien, comme tu m'en a fait hier, ta jolie bouche rose autour de moi, avec tes grands yeux innocents..."
-"Ou-oui..."
Il baisse ma braguette, baisse le bord de mon pantalon, soulève légèrement mon pull, il voit que je ne porte rien dessous.
-"Petit coquin..."
Son sourire carnassier me fait frissonner jusqu'à la moelle. Il embrasse mon ventre plat.
-"Je vais enfin pouvoir voir tous tes tatouages, j'en avais si envie."
Je lui sourit, le relève sur les coudes et retire mon haut. Il plisse les yeux et vient embrasser le tigre sur mon épaule.
-"Je n'ai pas besoin de regarder les autres, c'est lui mon préféré...il est comme toi..."
Je ne demande pas plus de précisions sur cette phrase, le laissant lécher les triangles à l'intérieur de mon biceps. Il retrace leurs contours en même temps qu'il me hôte mon pantalon, dévoilant mes jambes fines. Jambes qu'il caresse de ses grandes mains viriles. Il m'écarte les jambes avec lenteur et se place entre elles. J'agite les pieds pour faire descendre mon pantalon et il pose sa bouche sur mon boxer tendu. Je le crispe et ma tête pars en arrière sur les oreillers.
-"Liam..."
Une de ses canines m'effleure, je me mord la lèvre faisant assombrir son regard plongé dans le mien. Il jout quelques secondes qui me paraissent de longues minutes d'attente avec l'élastique de mon caleçon, puis passe son index dessous, effleurant les poils de mon pubis. Et je gémis, et il ferme les yeux pour contenir le désir immense qui monte en lui quand je produis ce son. Rien qu'avec ça je l'ai à ma merci. Rien que pour moi.
-"Ne t'impatiente pas trop mon joli Zayn, tu vas avoir ce que tu désire tant..."
En effet, il abaisse mon sous vêtement, dévoilant mon membre gorgé de sang et dréssé face à son regard chaud comme les braises.
-"N'importe quel saint se damnerai pour t'avoir quand tu es ainsi: bandant comme une bête, les cheveux en pétard, la bouche rouge comme un fruit et aussi soumis. Mais c'est moi qui t'es, qui te possède, n'oublie jamais cela petit Zayn."
À l'instant où je vais hocher la tête il me prend en bouche, je lâche un son aigu qui sors du plus profond de moi. Et ça lui plaît. Énormément vu son regard noir. Sa langue entoure mon gland, restant sur le bout de ma queue, je donne un léger coup de bassin, ce qui me vaut d'avoir ses grandes mains puissantes et tatouées préssés sur mes hanches, pour m'empêcher de bouger. Je bat des cils, le fixant toujours dans les yeux. J'aime qu'on est ce contact visuelle, c'est important pour moi. Il pompe mon sexe, me tenant fermement, faisant aller sa langue jusqu'à ma base. Et c'est là que je réalise qu'il est toujours en costume, sa cravate et un peu de travers ce qui lui donne un effet plus que torride. Je gémis son nom, il creuse les joues, me prenant plus dans sa bouche. La sensation est si délicieuse... Liam est parfait, il sait si bien y faire avec sa bouche. Je passe mes doigts dans ses cheveux bien coiffés, les mettant en bataille, dans tous les sens, mon plaisir est audible, je cris presque. Ma main appuie un peu sur sa nuque, touchant sa colonne vertébrale, le poussant encore plus. Je sens la jouissance arriver à grands pas, elle va bientôt me fouetter, m'emporter avec elle.
-"Han! Liam je suis au bord...je vais venir"
Haletai-je. Un grognement sourd sors de sa gorge, il accélère ses mouvements, caresse mes testicules et aspire doucement mon gland entre ses lèvres. Et là je ne peux plus me retenir, c'est quand même la meilleure fellation de toute ma vie, je me déverse dans sa bouche, c'est chaud, c'est bon...
Liam avale mon sperme en faisant un mouvement suggestif avec ses sourcils. Il se lèche les lèvres et se relève légèrement, me surplombant. J'ai les jambes écartées vulgairement, le regard fou et tremblant de tous mes membres. Cet orgasme m'a remué jusqu'au plus profond de mon être.
-"Te sucer, te faire perdre ainsi la tête est une des meilleurs sensations que je connaissent. Mais je suis sur que quand je serai en toi ce sera encore plus bon, petit Zayn."
Ronronne t-il à mon oreille, en me caressant la joue du bout de ses longs doigts. Sa voix soyeuse est comme un électrochoc pour moi, je me relève sur les genoux et me jette sur ses lèvres, le tirant contre moi par la cravate, l'entraînant au dessus de moi, sur le lit. Mon sexe commence déjà à rebander quand je sens l'étoffe de son pantalon cigarette frotter contre ma cuisse. Il me mord le cou, je gémis et lui lèche la bouche, l'embrassant fiévreusement. Je passe ma main sous sa ceinture, lui ôtant son pantalon.  J'enroule mes doigts autour de sa cravate, le plaquant contre moi, ressantant son érection.
-"J'ai tellement envie de toi..."
-"Moi aussi petit Zayn...Moi aussi..."
Je déboutonne sa chemise à la va vite, tremblant et suant. Je le veux. J'ai besoin de son corps. Je peux enfin explorer son torse de rêve, il est si bien gaulé... Ses tatouages sont magnifiques, J'embrasse le blason déssiné sur son beau biceps. Sa langue tête ma peau, son corps est brûlant. Je masse sa verge à travers son boxer pendant que son poignet s'enroule autour de mon membre endorlie.
-"Baise moi Liam! Je t'en supplie!..."
Chougnai-je d'une petite voix tentatrice, innocente et larmoyante à la fois.
-"Chut... ne sois pas impatient...tu seras comblé, ne t'inquiète pas pour ça."
Sans que je n'y comprenne grand chose je me retrouve les fesses en l'air, son souffle titillant mon entrée. Sa langue contourne mon anus, je pousse un cri digne de ce nom.
-"Tu es si beau ainsi, si soumis à moi..."
Sa voix est rauque, désireuse, et j'aime qu'il me dise ça.
-"Baise moi."
C'est la seule chose que j'arrive à dire. Il rigole doucement avant d'enfoncer sa langue en moi. OH.MY.GOD.
Je meurs. C'est délicieux, chaud et jouissif. Je le sens tourbillonner, sa bouche me mordiller. Et il introduit un de ses longs doigts dans mon cul exposé.
-"Oh Liam, tu es si bon...tu sais tellement me faire du bien..."
Haletai-je en m'agrippant de toutes mes forces aux draps de soie blanc. Quand il en rajoute un deuxième j'ai la tête qui tourne, sa langue retrace les bords de mon entrée. C'est humide, sa langue est bonne en moi. Liam Payne me manges le cul. Et j'adore ça. Puis tout s'arrête. Plus aucun mouvement. Je grogne de mécontentement. Mon anus se dilate, se serre et se desserre de frustration dans le vide. Il m'agrippe les cheveux, me balance la tête en arrière et m'embrasse langoureusement, vulgairement.
-"Petit impatient, tu vas morfler et en redemander je te l'assure."
Murmure t-il dans ma bouche, claquant ses lèvres contre les miennes.
Je sens qu'il va remettre un autre de ses doigts en moi mais je secoue négativement la tête.
-"Pas besoin de ça avec moi, je suis assez prêt comme cela, tu peux y aller."
Je ne le vois pas mais j'imagine très bien un sourire coquin prendre forme sur ses putains de lèvres.
-"Petit baisé. Comme je les aimes."
Je balance mes hanches en arrière, frappant son bassin et sa verge bandante. Il grogne et me retourne vivement sur le dos, face à lui, face à ses prunelles brûlantes.
Je noue automatiquement mes jambes autour de lui, croisant les chevilles dans son dos, crochetant son cou de mes bras.
-"Je veux te voir quand je vais te prendre, pouvoir admirer ta belle petite gueule."
Je lui souris à cette réflexion, ça me fait plaisir qu'il ne me prenne pas comme si j'étais sa pute.
Il se positionne face à mon entrée, accrochant nos regards l'un dans l'autre, pour ne plus que je le lache. C'est débile mais mon cœur fait un bond violent dans ma poitrine. Je me sens chamboulé. Une perle de sueur dégouline le long de ma tempe. Il est si viril avec son regard sombre, ses muscles bandés, son corps chaud et ruisselant, ses lèvres rouges, nu face à moi, son souffle hératique.
Sans que je ne puisse faire un geste il s'immisce en moi. J'ouvre des yeux énormes, me mordant la lèvre ( comme il aime que je le fasse ) jusqu'au sang. C'est douloureux, même si je suis loin d'être un puceau, il faut dire qu'il est gros et long en moi. Mais c'est bon. J'aime cela. Il n'attend pas bien longtemps pour se mettre à bouger. Et il n'y va pas de main morte. Ses coups de reins sont brutaux et sensuelles à la fois. Il me possède entièrement, faisant partie de mon être, me remplissant comme personne n'a aussi bien réussi à le faire jusqu'à ce jour. Il est en moi, c'est bon à en mourir. Je l'embrasse encore et encore, goûtant ses lèvres au parfum sucré et humide. Ses coups de butoirs me tirent d'intenses gémissements. Il grogne comme un animal, me faisant y crier encore plus fort, toujours plus fort. Il me pince les tétons et griffe mes pectoraux avant de m'entourer de ses bras, de me serrer contre lui.
-"T'es bruyant au lit, j'adore ça..."
Ronronne t-il en me clouant les bras au dessus de la tête pour pouvoir me soumettre encore plus à lui. Il aime ça. C'est tout ce dont j'ai besoin: ce beau mâle en rut au dessus de moi, me prenant, me dominant encore et encore, sans s'arrêter, sans se lasser. Tout à coup il change d'angle, touchant ma prostate, ce point de feu. Il sourit grandement à cette sensation, m'embrassant jusqu'à l'étouffement, s'escrinant à buter encore et encore sur cette boule si sensible en moi. Mon cul en prend plein, c'est délicieux. Je plante mes ongles dans ses jolies fesses bombées, m'y accrochant avec toute la force du désire. Je ne suis plus qu'une masse bouillante de gémissements et de frissons. Mais ça a l'air de lui plaire vu la façon dont il détaille mon corps du regard. Il lèche ma clavicule. Je suis au bord. Comme si je faisais une overdose, une overdose de plaisir. Il me soulève les fesses de ses grandes mains et me plaque contre la tête de lit en bois crème, contre le mur. Me décollant du lit de sa force phénoménale. Liam Payne me baise contre un mur et je trouve ça absolument divin. Je me saoul de son corps de rêve que je griffe et que je mords, de son souffle parfumé, de ses baisers fièvreux, de son corps  transpirant et puissant, de son sexe fiché en moi. Je presse nos front l'un contre l'autre, aspirant sa respiration, embrassant ses joues, son nez, son mentont, ses lèvres. Il bouge si fort en moi, me transperce jusqu'à la moelle de ses coups de reins, m'emportant loin, très loin...
-"Je-je...je...vais..jou-jouir..."
Balbutiai-je sans réussir à enchaîner deux mots à la suite. Il me mord la bouche et me murmure à l'oreille:
-"Non...Non, petit Zayn...pas tout de suite...en même temps que moi..."
Mes yeux se révulsent dans leurs orbites à cause de la sensation de chaleur qui remonte de ma prostate, de mon bas ventre à mon torse, et continuant son chemin jusqu'à mon visage en feu. Mais j'hoche tout de même positivement la tête. Et quand il enroule sa main autour de mon sexe, je balance mon visage dans le creux de son cou, au bord de l'implosion.
-"Re-regarde moi..."
Liam est à bout de course, et je veux me déverser entre nous deux en fixant ses belles prunelles noisettes foncées. Je l'embrasse et plonge mon regard chaud dans le sien. Il accélère ses mouvements, touche une dernière fois mon point le plus sensible et se lâche, brise toutes ses barrières, peut enfin assouvir sa soif de moi retenu et embrigadée en lui depuis si longtemps. Son visage se crispe puis se détend soudainement sous l'effet du plaisir, de la jouissance intense. C'est un spectacle magnifique à voir: Liam Payne dans toute sa splendeur. Je finis par le rejoindre au septième ciel quand son pouce appuit fortement sur mon gland. Du sperme macule son torse, le rendant encore plus beau qu'il ne l'est déjà. Mais comme c'est lui, qu'il s'agit de son désire impossible à assécher pour moi il continue de s'enfoncer en moi, me laissant retomber sur le lit. Je l'embrasse et laisse ma tête s'appuyer  sur les oreillers, à bout de souffle.
Au bout d'un certain temps de cette délicieuse souffrance il se relâche et sors de mon anus, sa semence coulant le long de mes fesses rougis par ses doigts. Je pose ma tête sur son torse, mordant son téton et lui susurant de ma voix rauque:
-"C'était parfait. Tu es définitivement mon meilleur coup. J'ai hâte qu'on remette ça."
-"C'est la même chose, tu es une vraie bête de sexe,  de toute façon dés que je t'ai vu débarquer dans mon bureau avec ta petite gueule d'ange arrogante à souhait j'ai su que tu serai le plus torride de tous mes plans. Dés que nous serons un peu plus reposés je remet ça."
Murmure t-il de sa belle voix virile et épuisé. Je me laisse tomber dans le sommeil, entre les bras d'un des hommes les plus influents d'Europe. Dans les bras d'un démon du sexe.

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