Smooth Criminal [ Michael Jackson ]

Chapitre 34

[ Liberian Girl ]

🔥

-          Je t'ai vu avec le mec. J'croyais que tu voulais pas de lui mais ton corps disait le contraire !

J'étais en train de me faire engueuler par un Michael pas content. Et très sexy au passage.

-          Mais j'pensais que c'était toi, et en fait c'était lui c'est pas ma faute ! T'étais sensé les faire fuir ! me défendis-je avec une mine de petite fille boudeuse.

J'étais un peu éméchée. C'était une conversation sérieuse et moi j'étais en train de faire le bébé. Mais sa tête était vraiment rigolote.

-          T'avais pas l'air de vouloir le faire fuir Anna, lança-t-il, toujours furax.

-          Sois pas jaloux, tu sais qu'y a que toi qui compte, murmurai-je en lui grimpant dessus.

Wait, j'avais vraiment dis ça ? Bizarrement, j'en avais très envie. Et j'avais aussi très envie de pleins d'autres trucs. Michael était trop sexy, même énervé. Surtout énervé.

-          Tu vas me donner la fessée ? demandai-je avec un petite voix alors que je venais m'assoir sur ses cuisses.

-          Quoi ? Qu'est-ce que tu racontes ? dit-il en fronçant à nouveau les sourcils. Anna, t'es bourrée ? Tu sens l'alcool à fond, t'as pas les idées claires.

-          Oh si, elles sont très très claires je te jure !

Je glissai mes bras autour de son cou, et je voyais ses yeux se mettre à briller. Oh oui, je l'excitais pour sûr. Me mordant la lèvre inférieure, je penchai mon visage dans son cou pour l'embrasser et y faire des suçons.

-          Anna, arrêtes-toi c'est pas bien, murmura-t-il.

Son corps disait le contraire, je le sentais. Il glissa ses mains sur mes hanches pour tenter de me repousser, mais je venais onduler mon bassin contre le siens dans des mouvements très explicites. Je sentis sa respiration dans mon cou s'accélérer, me faisant frissonner de toute part.

-          Anna, je...

-          Chhhhuut...dis-je en posant mon doigt sur ses lèvres.

Son regard était si intense. J'adorais ça, ses yeux me dévoraient. Même bourrée je lui faisais trop d'effet. Je me mise à rire à cette pensée, et avant qu'il ne se remette à parler je plaquai mes lèvres contre les siennes. Il fut surpris, et n'y répondait pas pendant quelques secondes avant de finalement se laisser aller.

Sa main se glissa sur ma nuque alors qu'il me collait à lui. Oh mon Dieu, ça faisait tellement longtemps que je ne pensais pas être en manque à ce point. Ses lèvres, une perfection. Ses mains, une merveille. Son corps tout entier était d'une magnificence, un brasier qui m'enflammait en quelques secondes.

Mes mains vinrent défaire sa chemise qui partie plus loin dans la tente. Et je les glissaient ensuite sur son torse, cette peau doré qui m'avait tellement manquée. Et alors que je rompais le baiser pour reprendre mon souffle, je le vis hésiter.

-          Michael, s'il te plait, retire moi cette robe, chuchotai-je contre son oreille.

-          Tu vas m'en vouloir demain si je fais ça... dit-il avec une voix semblant culpabiliser mais pourtant rauque.

-          Crois-moi que non. J'ai bu, mais mon corps réclame juste ce qu'il lui faut à tout pris, toi Michael. Je t'en pris, enlève moi cette robe ou je vais l'arracher...

Je l'entendis gémir et ses mains glissèrent sur la fermeture de mon vêtement, me faisant lâcher un sourire victorieux. Il la fit glisser avec lenteur vers le bas, et mes yeux ne faisaient que soutenir son regard sombre. Même si la tente était plongée dans la pénombre, je pouvais distinguer les traits de son visage magnifique, et ses yeux briller d'excitations.

                Il fallait qu'il me fasse l'amour. S'il ne le faisait pas, j'allais probablement pleurer et me jeter dans la mer. J'en avais trop besoin, de son corps magnifique qui me faisait tant vibrer. Une fois la fermeture en bas, je levai les bras pour qu'il me retire se fichu tissu qui m'irritait un peu trop. Rapidement, mes mains glissèrent vers son pantalon noir que je déboutonnai à toute vitesse.

                C'est là qu'il me renversa sur le dos, me faisant sourire alors que je gardais mes bras autour de son cou.

-          Michael... murmurai-je en me cambrant, comme pour le réclamer.

Je l'entendis grogner alors qu'il se jetait sur mes lèvres. Mes sous vêtements valsèrent dans la tente, et je baissai légèrement son pantalon ainsi que son boxer pour délivrer l'objet de mes désirs. Puis ses mains caressèrent ma poitrine, empoignant mes seins, me faisant me cambrer et gémir sans arrêt.

Il entra en moi, et c'était tellement bon que j'en lâchait presque un cri, tout comme lui grognait. Je pouvais sentir son corps trembler au dessus de moi, ses muscles se contracter, et sa virilité grossir en quelques secondes. C'était mon paradis à moi, c'était Michael qui me faisait l'amour.

-          Oh merde, ça faisait trop longtemps... gémit-il en fermant les yeux.

Il était prêt à exploser autant que moi je l'étais. J'ondulai déjà mes hanches contre lui pour qu'il continue, qu'il accélère, et il me suivit rapidement en ondulant son bassin au même rythme. Et je gémissais encore et encore alors qu'il faisait des vas et viens presque brutaux, ne laissant que nos gémissements et des bruits mouillés raisonner dans la tente. On s'était retenu trop longtemps, on était fais l'un pour l'autre. Si seulement c'était réciproque. Je l'aimais corps et âme, et même les effets de l'alcool ne pouvait pas me faire oublier ça.

Il me mordait le cou, la lèvre, et embrassait chaque parcelle de mon corps, le marquant autant qu'il le pouvait. Et j'étais à lui, et à personne d'autre. Il accéléra à nouveau, me faisant me cambrer un peu plus alors que la jouissance explosait en moi à chaque fois qu'il s'enfonçait, plus loin et plus fort. Je le voyais relever la tête, son expression de plaisir était une œuvre d'art, je pouvais le voir au bord de la jouissance. Je ne sais pas qui de moi ou de Michael avait gémit le plus fort, mais on avait été bruyant. Je m'en fichai complètement, ils étaient tous au feu de camp de toute façon.

Il éjacula lui aussi rapidement et je gémis de sentir son liquide chaud en moi, cette sensation était magnifique. Il s'écroula enfin à côté, en sueur, le souffle court. Puis il me fixa un instant et il caressa ma joue, se mordant la lèvre.

-          Magnifique, lâchai-je juste alors que je me sentais somnoler.

Il vint alors m'embrasser, dans un baiser très tendre qui me surprit, rien de brutale contrairement à notre échange. Et il me caressait les cheveux, collant à nouveau son corps au mieux.

-          Je t'aime, Anna, murmura-t-il contre mon oreille alors qu'il me tenait contre lui.

Je lâchai alors un énorme sourire, mais l'immense joie qui m'envahissait ne me garda pas éveillée. Je finis par m'endormir contre lui, mes bras autour de sa taille.

*

ERMAHGERD EL DECLARATION DÈ SIR MICHAEL.
J'espère que vous avez aimé ce chapiiiitre, hihi ! 🙈❤️

❣ L.O.V.E. ❣