Never Again Tome 2

Chapitre 7 - Niall

Deux heures et demie, ça nous a pris deux heures et demie. Bon ok, je râle mais je suis super content. J'ai rencontré les joueurs de foot de l'équipe de France, et c'était juste démentiel. Il y a eu tout le coté marketing avec les poignées de main, les photos et après nous avons pu faire quelques passes, avec Louis, nous avons passé un super moment, vraiment cool.

Mais ce qui me fait chier, ce sont les embouteillages, surtout pour rentrer. Parce que oui, je suis hyper impatient d'arriver à l'hôtel pour retrouver Ally.

Quand je l'ai laissé, elle se mettait au lit pour dormir et je tiens absolument à la réveiller. Elle a bien essayé de me faire craquer en se mettant nue devant moi pour que je lui donne mon t-shirt, la garce. J'ai bien failli céder mais j'ai résisté parce qu'elle était épuisée, mais là, rien ne me retiendra.

- Tu veux bien te détendre. Tes jambes n'arrêtent pas de trembler et ça devient casse couilles. C'est quoi ton problème ? T'as encore bu trop de café ? Me demande Louis.

Tout ce qui me manquait, Louis et son sarcasme.

- Je n'ai pas de problème. Fous-moi la paix ...

Il tourne complètement son visage vers le mien et me dévisage. J'essaie de garder mon calme en passant mes mains dans mes cheveux.

- Pourquoi souris-tu comme ça ?

Ah maintenant, il est perspicace, super ! N'importe qui d'autre m'aurait foutu la paix mais il a fallu que j'y aille avec Louis et ses yeux de fouine.

- Je ne souris pas.

- Bien sûr que si. Avec le genre de sourire que tu réserves à Al.

Je ne m'en rendais même pas compte. Mon cas est désespéré.

- Je vous dépose où ? Nous demande le chauffeur à l'avant du véhicule.

- Au stade, lui répond Louis.

- Pas moi, je vais à l'hôtel, dis-je en essayant d'adopter un air le plus neutre possible pour ne pas attirer l'attention du mec le moins discret de la planète.

- Pourquoi ? On a le concert ce soir.

- Je sais ça, merci Louis. Mais j'ai dit à Al que j'allais la récupérer et qu'on irait ensemble au stade.

Un fatras d'images toutes plus obscènes les unes que les autres s'installent dans mon esprit. Ce qui complique ma volonté de garder mon air détaché. Je passe ma main dans mes cheveux encore une fois, pour faire diversion tout en regardant par la fenêtre pour ne pas croiser son regard.

- D'accord, je comprends tout. Tu n'es pas énervé mais ... impatient. Même après deux ans de relation, tu n'es toujours pas calmé. C'est ...

- Je t'arrête tout de suite. Je t'interdis de penser ou d'insinuer quoi que ce soit. Il s'agit d'Al pas d'une vulgaire pétasse que je me serai levé.

Il s'enfonce dans son siège satisfait par ma colère. Aucun de nous deux ne dit un mot jusqu'à ce que l'on me dépose. Je suis ouvert d'esprit et je parle de tout librement. J'ai d'ailleurs très souvent raconté des anecdotes sur mes relations précédentes ou mes coups d'un soir mais les remarques des potes sur Al, je ne supporte pas du tout.

Bref une fois débarrassé de Louis, je me précipite dans les couloirs direction notre chambre.

Je ne trouve rien de plus sexy que ma femme qui dort, les cheveux emmêlés autour de son visage, allongée sur le ventre avec un de mes t-shirt et ses fesses bombées à l'air. Elle est carrément bandante.

Et quelle agréable surprise quand j'entre dans la chambre et que je la vois dos à moi, le t-shirt remonté dans son dos laissant apparaître son shorty en satin crème, les bras relevés au-dessus de sa tête autour de l'oreiller avec les cheveux éparpillés.

Bordel ! Il faut que je me répète plusieurs fois qu'elle dort et que je ne peux pas la pénétrer de suite, je dois d'abord la sortir un peu de sa sieste. Son cul remue doucement et ma queue frémit dans mon jeans.

Ok en moins de dix secondes, je suis nu et je me glisse dans le lit en passant une main sous le tissu pour atteindre sa poitrine. Mon paradis !

- Al, je lui chuchote à l'oreille en lui mordillant le lobe.

- ...

- Bébé. Il est l'heure de te réveiller mon ange.

Je pince doucement ses tétons qui semblent très coopératifs.

- Mmmm.

Elle se retourne mollement et lentement, avec les yeux fermés. Je dépose des baisers sur ses tempes, ses yeux, ses joues, ses lèvres. Rapidement, je disjoncte en collant son petit corps contre le mien et pétri ses fesses merveilleuses.

De toutes les situations dans lesquelles j'aime lui faire l'amour, au réveil reste celle à laquelle je ne peux résister. Je ne saurai pas l'expliquer mais c'est plus fort que moi. La tirer de son sommeil et abuser d'elle me rend fou.

Lentement, elle ouvre les yeux et me sourit. OK, j'interprète ça comme le signal, puisque je bascule sur elle et plonge ma langue dans sa bouche en gémissant.

- Putain, Bébé, je suis partie avec cette image dans la tête, j'ai eu un mal fou à me concentrer. Je suis revenu de suite après, avec la peur que tu te sois réveillée entre temps, lui dis-je la bouche collée à la sienne.

- J'aime quand tu me réveilles.

- Bouge pas alors. Je vais réveiller tout ton corps.

Elle presse ses hanches contre les miennes et ma queue s'impatiente en me faisant souffrir. Ça arrive, bon sang, du calme !

- Tu t'es déshabillé avant de te mettre au lit ? Me demande-t-elle l'air ingénu.

Elle griffe légèrement mes fesses pour souligner sa constatation, ce qui me donne la chair de poule.

- Ouais, pour ce que j'avais en tête, il ne me fallait pas de vêtements.

- C'est toi l'obsédé.

Je ris et rapidement je la déshabille. Mon attention est attirée par sa poitrine. Tout son corps est engourdi et lourd de sommeil, mais pas le mien. Je m'occupe avec beaucoup d'avidité de ses seins et bingo, elle se tortille en gémissant.

Après avoir tiré, sucé et léché ses tétons méticuleusement jusqu'à ce qu'elle soit essoufflée, ma main part explorer sa chatte.

- Je vois que je t'ai manqué, lui dis-je en introduisant deux doigts en elle.

Elle me rend fou parce qu'elle est déjà trempe.

Soudain, complètement réveillée, elle saisit ma queue, qu'elle frotte contre son clitoris pour se donner du plaisir, je n'ai aucune objection.

- Hé, tu ne dors plus, lui dis-je pour la taquiner.

- Non, maintenant j'ai envie de toi.

- D'après ta chatte, ça fait un moment même.

Elle fait de léger va et vient avec sa main, ce qui me fais gémir. Elle bascule son bassin et me positionne devant l'entrée de sa chatte.

Je prends le relais en la pénétrant doucement et surtout en reprenant les commandes.