Prologue.

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–– Fluorine

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–– Fluorine.

アパタイト

La façon dont la gelée était incolore rendait le passage compliquer pour une silhouette d'y mettre son grain de sel. Les frissons arides de cette coulée opaque rendait le décore d'une nuit sans lune en un parfait décore fait au fusain.

La teinte des joues des passants s'étaient coloré en pourpres tant le froid avait le dons de bouleverser leurs pauvres peau abîmés. Les néons résonnait dans cette amas de noir plaqué sur ce blanc immaculé.

C'était en Décembre quand Naruto traçait ses pas dans la neige. La nuit sombre et terrifiantes était bercer dans le son de la circulation.

Le beau blond revenait enfin d'une de ses énièmes journées interminables. Sa tête forcé la migraine et ses jambes enrouillé se voulait forte contre la neige.Il revenait du travail et il ne pouvait cacher à quel point il était exténué.

Être enfermé entre les quatres coins d'un bureau exiguë , à la sonorité assourdissante sans même être payer justement était une chose à laquelle il était habitué ici. La personnification de se sentir de coton n'avais de sens que quand Naruto incarné la figure de style.

La condition de travail était insupportable, injuste et épuisante , mais Naruto en prenait l'entière responsabilité. Le bel homme compléter sa figure de chiffon par une envie qu'il gardait secrète.

Son but n'était pas de se traîner dans une boîte qui l'utilisait comme faire-valoir.
Mais bien de devenir écrivain comme son exemple et défunt parrain : Jiraya.

L'homme à la queue de cheval blanche était un énergumènes extravagant , déjanté , au pensées quelque peu ... spéciales.

Mais il était la seule personne à avoir accepter Naruto lorsqu'il était encerclé dans son cycle de haine.
Et sa mort provoqué toujours son chagrin dans la gorge serrée du blond. Incapable de faire son deuil de celui qui était le plus proche d'une figure paternelle.

En attendant d'avoir sa propre maison d'édition, l'homme au yeux d'une profondeur corallienne était bien forcé de ce pourfendre dans les locaux insalubre d'une agence. Espérant un jour ce faire remarquer par un quelconque éditeur sans visage.
Mais plus les années passées, plus ses espérances se réduisait.
Le bout du tunnel semblait maintenant loin pour le jeune homme.

Mais il continuait de s'attacher à sa conviction. Il juré chaque jours à sa femme que c'est par le fond de ses ongles qu'il ira gratter son rêve.

Car un Uzumaki ça ne cède pas face au chemins de croix.
Un Uzumaki persiste et creuse jusqu'à ce que l'effort paie.

Alors , voilà qu'une nouvelle journée s'était éteinte avec l'épuisement habituelle du blond.
Les fragments d'un incroyable bleu lumineux avait était saturé pour une simple couche de sommeil. La lumière s'était endormi.
Sa démarche n'avait rien de sublime , il avait un dos voûté , acceptant l'acharnement de la neige sur ses épaules. Poussant des cris de douleurs (un peu exagéré) à chaque fois que ses chaussures en cuire usés rencontrer un rocher.

SES APATITES ⇝ narusasuWhere stories live. Discover now