Chapitre 67 :

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KATLIJN

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KATLIJN

Je profite des quelques rayons de soleil sur mon corps. Je suis heureuse d'être venue à Los Angeles maintenant, il va bientôt faire froid à Paris, et avec les filles, on profite encore du soleil.

- J'ai pas envie de rentrer, ricane Kania.

- Je t'avoue que mon mec commence à me manquer, lui répond Romane.

- Tiens, je m'attendais que ça soit Katlijn qui réponde ça, rit ma meilleure amie.

Je lève les yeux au ciel, elles ne peuvent pas le voir dû à mes lunettes de soleil plantées sur mon nez. Mais Ambreen a raison, mon copain commence à me manquer.

Je suis à L.A depuis presque un mois, les filles m'ont rejoint plus tard, dû à leur travail respectif, et les garçons eux sont au Japon.

- Avoue qu'il te manque ton chéri Katlijn.

- Parce que Ken te manque pas peut-être ?

Je la regarde par-dessus mes lunettes, je la vois sourire, et elle ne rajoute rien. Je sursaute quand ma sœur se relève, je mets ma main sur mon coeur.

- Désolé, elle me sourit, on va manger ? J'ai la dalle.

Je me relève sur mes coudes, avant de replacer mes lunettes sur le haut de mon crâne.

- J'ai faim aussi.

Elle se lève et me tend sa main pour m'aider à me relever, on aide ensuite Ambreen et Romane.

- Par contre je prends une douche avant Kania, je la prévient.

- On va tous prendre une douche Kat', me sourit Romane.

On quitte toutes les quatre le bord de la piscine, pour rejoindre chacune nos chambre, je prends des vêtements dans ma valise et me dirige vers la salle de bain. J'attache mes cheveux en un chignon, avant d'enlever mon maillot de bain. Je souris satisfaite en voyant la marque de bronzage bien présente sur mon corps.

Je rejoins ensuite ma chambre, et je profite qu'on ai pas une heure trop décalé pour essayer d'appeler mon copain.

Je souffle quand quand il ne me répond pas. C'est la première fois depuis qu'on est ensemble qu'on est séparé si longtemps. Je rejoins le hall de l'hôtel pour attendre les filles, j'en profite pour passer du temps sur Instagram. Je souris face aux publications des filles, je suis heureuse qu'elles puissent découvrir cette ville qui me plait tant.

Je sursaute une nouvelle fois quand une mains se pose sur mon épaule, je me retourne et lance un regard noir à ma soeur.

- Tu essayes de me tuer ?, elle rit en plus de ça, tu veux me tuer et avoir mon héritage en faite ?

- Totalement.

- Dommage pour toi, mon argent ne reviendra pas à toi.

- Et à qui alors ?

- Papa.

- Vraiment ?

- J'en ai aucune idée en faite.

On se met à rire, et on est rejoint par les filles qui nous lance un regard bizarre.

- Vous faites flipper, souffle Romane tandis qu'on lève toute les deux les yeux au ciel, on se relève avec ma soeur et on rejoins un petit restaurant pas trop loin, putain, dans dix jours on est déjà reparti, elle pousse sa lèvre en avant se qui la rend adorable.

- Et moi vingt.

- Ouais, mais ça fait déjà un mois que t'es ici frangine.

- Je sais, mais si vous voulez vous pouvez prendre ma place.

- Parce que t'es pas bien ici ?

- C'est pas ça. Juste que mon chez moi me manque, mes amis, mon copain me manque. Alors ouais, j'ai hâte de rentrer.

Elles me sourient, on commande et on mange toutes les quatre dans la bonne humeur, on rit beaucoup, et surtout on se moque beaucoup des gens autour de nous.

Romane se relève, le téléphone à la main.

- J'arrive.

Elle sort du restaurant et se met dos à nous.

- Quand j'y repense, on a quand même fait beaucoup de chemin en quelques années, je regarde Ambreen, depuis quelque temps ça tourne dans ma tête. Y a deux ans, que ce soit nous ou les garçons, on couchait à gauche et à droite, on s'amusait. Et vas-y maintenant, on est tous posé, ou presque, on est tous plus ou moins stable, et tu vas te marier, sourit Ambreen à Kania, ma soeur sourit mais je vois bien qu'il est forcé, j'ai juste l'impression qu'on a fait un putain de bon dans le temps en peu de temps.

- On a grandi, sourit.

Romane tarde pas à nous rejoindre le sourire au lèvre.

- C'était qui ?

- Deen. Il m'a fait chier parce que monsieur n'a pas trouvé un de ses bonnets. Un jour j'vais lui coller sur le crâne il me ferai plus chier.

On se met à rire alors qu'elle lève les yeux au ciel.

C'est au tour de mon téléphone de vibrer, mais c'est un simple message de mon père qui me prévient que quand je rentrerai à Paris, il veut qu'on vienne manger chez lui pour que l'on passe un peu de temps ensemble.

TijdOù les histoires vivent. Découvrez maintenant