Chapitre 61 :

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KATLIJN

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KATLIJN

Je me regarde une dernière fois dans le miroir pour être sûr d'être bien habillé, je remets correctement ma chemise pour éviter que l'on voit ma poitrine.

Je souris en sentant les bras de mon copain autour de mes hanches, il pose plusieurs fois ses lèvres dans mon cou.

- T'es splendide.

Je lui souris avant de me tourner vers lui et d'encercler son cou de mes bras.

- Merci mon cœur, tu es très beau aussi.

Je pose mes lèvres sur les siennes avant de nous séparer, je pose mon doigt sur ses lèvres pour enlever la légère trace de rouge à lèvre que j'ai laissé.

- T'es sûr de vouloir faire ça ?, il me demande.

Après ma soirée avec les filles, où j'ai fini par éclater en sanglot dans ses bras, on a parlé de ma décision. Il m'a promis qu'on resterait tous les deux pendant quelques soirées.

- J'en ai marre d'être le souffre-douleur de ces deux pétasses. Je ferme ma gueule ça va pas, je l'ouvre ça va pas non plus. Alors, j'abandonne, elles ont gagné.

Il embrasse mon front avant de me serrer contre son torse. Je crois que je suis prête à supporter une dernière soirée sous leur mot. Je prends la main d'Idriss pour nous faire sortir de la chambre.

- Vous êtes prêt ?, nous demande Ambreen.

- Ouais.

On se rend à la voiture, je monte à l'avant avec Idriss qui pose directement sa main sur ma cuisse.

- ça va aller Kat' ?

- Ouais, c'est la dernière fois, la dernière soirée où je vais les voir, et où je vais entendre leurs voix horribles.

Je lui souris.

- C'est cool, ça va nous faire plus de soirées entre filles, on rigole tous les deux.

- Ouais bah, vous allez me laisser ma femme aussi un peu.

Je me tourne vers mon copain alors que je souris comme une idiote.

- Ah ouais, ta femme ?

- Bien sûr, tu crois, je suis avec cette folle pour jouer ?, il répond à Ambreen.

Je souris comme une conne, mais je peux pas m'en empêcher. Je trouve ça mignon comme mini déclaration.

- Je sais que non, t'as plutôt pas intérêt.

- Et tu vas me faire quoi ?

- Oh, tu sais, je suis pas toute seule hein. On est sûr quatre à te faire la peau, je me mets à rire avec ma meilleure amie.

TijdWhere stories live. Discover now