Ils se connaissent depuis presque toujours.
Katlijn est une jeune maquilleuse, elle est talentueuse mais le malheur de sa vie c'est d'avoir perdu celui l'homme qu'elle aimait.
Idriss est un jeune homme plein de vie, mais pour une raison que personne...
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KATLIJN
Je regarde Idriss écrire, on est au studio tous les deux. À vrai dire, on attend Hakim, à ce que je sache Ken ne doit pas venir.
- Tu vas te faire iech.
- Non, c'est pas la première fois que je viens vous voir enregistrer.
- Je sais, mais je suis aps sûr qu'on enregistre grand-chose aujourd'hui.
Je me lève et pars m'asseoir sur ses genoux.
- Est-ce que tu es gentiment en train de me virer du studio ?
- J'oserais jamais te mettre dehors d'où que ce soit, il me sourit.
Je change de position pour monter à califourchon sur ses cuisses.
- C'est aps une bonne idée de te mettre comme ça bébé, il souffle.
- Pourquoi ?, je demande innocemment avec un petit sourire en coin.
Ses mains se posent sur mes fesses, je le sens me tirer un peu plus contre son torse.
- Tu sais très bien pourquoi.
- ça peut être amusant, nous deux, je pose doucement mes lèvres sous son oreille, nues, mes lèvres prennent le chemin de son cou, plein de sueur.
- Mon, il commence difficilement, frère va arriver.
Je continue de déposer mes lèvres dans son cou, mon visage est vite rattrapé par ses deux mains, il sourit avant de m'embrasser. Ses mains glissent sur mon corps, et reprennent leurs places sur mes fesses un court instant avant de glisser sous mon haut.
- Tu vas me rendre ouf ..., il souffle dans mon cou.
- Peut-être que c'est le but, mes mains s'aventurent à leurs tours sous son t-shirt, ou peut-être pas.
Je pose à mon tour mes lèvres sur les siennes, et très vite nos langues commencent à danser ensemble dans un duel très chaud.
- Arrêtez toute suite tous les deux !
Je me sépare des lèvres d'Idriss avant de poser ma main sur mon cœur qui vient de faire un bond énorme dans ma poitrine.
- Faut prévenir les gens quand on rentre dans une pièce, je me tourne vers mon ami et futur beau-frère, ça évite de les tuer.
- J'ai frappé à la porte, mais vous étiez en train de faire vos saloperies sur le canapé.
Je lève les yeux au ciel et me laisse tomber à côté de mon copain, alors que ce dernier est mort de rire.
- Rit bien, parce que quand tu vas devoir te servir de ta main, tu vas moins rire, je lui dis tandis qu'il se tourne vers moi, horrifié.
