Partie 51

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Précédemment

Je m'endors dans les bras de la seule personne qui ne m'a toujours soutenu, jamais ne m'a jugé, je suis tellement heureuse d'être dans les bras de Lunis

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Je m'endors dans les bras de la seule personne qui ne m'a toujours soutenu, jamais ne m'a jugé, je suis tellement heureuse d'être dans les bras de Lunis.

Au réveil, il est toujours endormi, je souri tout en lui caressant les cheveux, il se réveille peu à peu, s'allonge presque sur moi en mettant sa tête sur ma poitrine qui est vêtue d'un soutien-gorge noir.

Moi : Merci

Lunis : Je t'ai promis d'être toujours présent pour toi.

Moi : Tu es le seul à tenir t'es promesses.

Lunis : Il est ou ton frère ?

Moi : Je ne sais pas Lunis, je ne veux pas en parler, j'ai assez pleurer

Lunis : Hmm d'accord.

Moi : Tu m'as trop manqué, ma vie au Brésil était plus agréable. Tu sais, j'ai l'impression de vivre un cauchemar éveillé depuis que je suis revenue en France.

Lunis : Je t'avais prévenue que trois ans et demi c'est long et que personne n'aller t'attendre pour faire sa vie. Maya, le soleil continue de se lever même si tu n'es plus présente et c'est valable pour tout le monde.

Moi : Oui mais je suis la maintenant, j'ai mal parce que mon retour leur ai égal, je ne suis plus la bienvenue près des miens.

Lunis : Sache que je serai toujours présent pour toi.

Moi : Je sais bien (...)

Passons quelques jours, je suis toujours à l'hôtel avec ce foutu plâtre, Lunis est toujours présent même s'il s'absente parfois pour des missions sur Paris.

Je ne fais absolument rien de mes journées à part dormir, manger, regarder la télé et fumer. Mon téléphone est éteint depuis que j'ai mis le pied dans cette suite, donc maintenant quinze jours. La seule personne qui s'intéresse à moi est près de moi, je ne veux absolument pas embêter Linda dans sa grossesse donc je ne préfère pas qu'elle ne m'appel.

Et mon frère ? Quelle déception, j'ai vraiment mal au cœur qu'il m'est tourné le dos car je l'ai laissé seul devant le palier de nos parents, j'ai mal qui m'ignore malgré tous ce que j'ai vécu pour le retrouver, il sait que je ne gère pas l'abandon, raison pour laquelle j'ai appelé Lunis, de peur de rester seule et de faire une bêtise.

J'en ai vraiment marre de ce plâtre donc je décide de me rendre à l'hôpital pour me le faire retirer. Lunis est à l'extérieur, tant mieux sinon il me dissuadera.

Je prends mes béquilles et attend mon uber devant l'hôtel en fumant une clope en entendant (...)

Hôpital privé de Marne Chantereines- Ramsay Santé 77- 14h25

Je sors du cabinet du médecin, il m'enlève le plâtre à contre cœur mais je ne lui ai pas laisser le choix, j'en ai marre d'être bloqué sur un lit. Il m'a quand même prescrit une attèle, que j'ai récupérer à la pharmacie de l'hôpital.

Je me retrouve donc devant l'hôpital avec une béquille et une attèle, je m'assoie sur un banc, rallume mon téléphone pour commander mon Uber. Au bout de dix minutes, je m'impatiente car le chauffeur n'est toujours pas là.

Mon téléphone se met à sonner, c'est sans doute lui car c'est un numéro inconnu.

Moi : Allo.

: Maya ?

Moi : Oui c'est qui ?

: C'est ta mère.

Moi : Ah n'nah (maman) ça va ?

Elle : Oui, ça fait des jours que j'essaye de t'appeler, j'ai même cru que ton frère m'avais passer un mauvais numéro, bon maintenant que je t'ai eu, passe ce soir à la maison. Je t'envoi sur WhatsApp la nouvelle adresse, à ce soir je vais faire les courses là.

Et elle raccroche, deux secondes plus tard, je reçois une notification, la nouvelle adresse de mes parents.

SUITE ?

Maya: Une pute mariée de force à un veuf Où les histoires vivent. Découvrez maintenant