Partie 31

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Précédemment :

Je vous passe trois semaines, oui autant de temps car il se n'est rien passer tous ce temps, je suis restée dans l'appartement de Lunis à déprimer

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Je vous passe trois semaines, oui autant de temps car il se n'est rien passer tous ce temps, je suis restée dans l'appartement de Lunis à déprimer.

Mon frère est mort d'après ce que j'ai compris, ma famille m'a renié, Amir ne veut plus entendre parler de moi et Sarah à du me déclarer morte un a après que je sois partie, comme je lui ai demandé de faire.

Je longe les murs de ce grand appartement qui me paraît minuscule au fil des jours, Lunis m'adresse à peine la parole. Ce n'est pas parce qu'il a compris mon geste qu'il me pardonne, il ne me fait plus confiance donc je n'ai plus de mission.

Je suis complétement paumée et triste, ma vie n'a plus vraiment de but donc je laisse filer chaque jour.

Ce matin, j'allume la télé est un flash info passe, c'est le jugement de Monsieur Sanchez, qui dure depuis une semaine, c'est le dernier jour, sa peine est définie aujourd'hui.

Je prends mon téléphone en panique.

Moi : Rejoins-moi devant le grand tribunal de Sao Paulo, tout de suite.

Je ne perds pas une seconde, enfile un jean et un tee-shirt noir et prends ma voiture direction ce tribunal.

Devant, il a du monde, beaucoup veulent assistés à la descente au enfer de ce médecin corrompu qui a réussi à dévier toutes les polices du monde, jusqu'à qu'il fasse ma connaissance.

Je paye une personne tous devant de la file pour qu'il me laisse sa place, une fois à l'intérieur, je m'assoie au fond discrètement.

Le temps passe lentement, la salle se remplis, tous devant il y a une partie de la famille de Sanchez, je la connais par cœur mais comme indiquer, mon frère manque à l'appel mais aussi sa femme.

C'est une mine dépitée que je suis sans intérêt ce procès, plusieurs personnes viennent témoigner, c'est un bout de trois longues heures que je me décide de me lever et partir.

Je sors du tribunal et marche vers ma voiture, cherche dans mon sac mon paquet de cigarette, en relevant la tête, il y a trois hommes devant moi, qui me regardent et m'attendent.

Je me retourne, je trouve cinq autres qui me barre la route, je ne proteste pas et suit les hommes qui sont devant moi.

Dans ce pays, résister ne sert à rien, combien de personne ont voulus le faire et seul la mort à étaient leurs issues de secours ?

Nous marchons au moins trois minutes, ils s'arrêtent près d'une vanne et m'ordonne de monter.

Une fois à l'intérieur, je retrouve une femme, habillé très classe, des lunettes de soleil sur le nez, et des gants malgré la chaleur.

Elle : Bonjour Maya,

Elle enlève ces lunettes, elle doit avoir la cinquantaine mais reste très bien conserver, mais je devine qu'elle est passée par la chirurgie esthétique.

Elle : Tu ne me reconnait pas ?


SUITE ?

A votre avis qui est cette femme ?

Je reviens en force pour terminer ce que j'ai commencé, je m'excuse de ma longue absence..

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Maya: Une pute mariée de force à un veuf Où les histoires vivent. Découvrez maintenant