Partie 15

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Lui: C'est tous?

Moi: Oui

Lui: tu ma pas tous raconter La ..

Moi: Bah Si, tu veut que je te raconte les 24 heures passer ici aussi?

Lui: (à son collègue) Fait le rentrer.

Son collègue sort puis revient accompagné d'un homme menotté et tête baisser.
Il s'assoit et lève la tête..

Moi: Amir ?

Policier: Maintenant, raconte moi toute votre histoire

Je suis complètement chambouler, je fixe Amir qui me Regarde aussi dans les yeux, il attend que je parles.

Policier : MAYA PARLES !

Je sursaute, il a crier tellement fort, je comprends qu'il été aussi gentil pour que je coopère seulement.
Mes yeux deviennent des éclairs, aucune femme ne devrai avoir peur d'un homme Qui essaye de l'intimider.

Moi: je n'ai rien à dire

Une bataille de regard se joue entre nous.

Policier: Amir ?

Amir: Ne m'appel pas par mon prénom déjà .

Policier: Ta quelques chose à dire ?

Amir: Non

Policier : Elle à enlever ta fille..

Amir : Et ? Je lui fais confiance.

Je le Regarde avec des gros yeux, inconsciemment je souris. Au moins quelqu'un qui voit que je ne veux aucun mal à Firdaws

Policier: C'est ta femme non ?

Amir: Oué. Et ?

Policier: elle ? Mdr ta femme la pute

J'ai même pas eu le temps que l'information monte à mon cerveau que Amir lui met un coup de tête violent, le policier saigne du nez en criant..

Plusieurs d'entre eux rentre dans le bureau, sautent sur Amir et moi, il nous plaque au sol.

Amir se débat, j'ai La tête écrasée contre le parquet.
Je le Regarde dans les yeux, mes larmes coulent.

Le policier (en criant) : LEVEZ CETTE SALOPE.

Je cris en me débattant, mais un noir musclé me lève d'un seul bras, il me met en face de l'autre Qui à le visage en sang.

Il me Regarde droit dans les yeux, je lui sourit.

Lui: Y'a quoi de drôle salope ?

Moi: Ta tête

Je me tape un fou rire, alors que trente secondes plutôt je pleurais.
Plusieurs de ses collègues rigolent discrètement.
Il nous Regarde tous, puis s'arrête en face d'Amir.

Policier: Elle est comique ta femme dit donc

Amir: Ta même pas intérêt à t'approche d'elle.

Policier : Ah ouais ?

Je les regardes sans rien dire, par contre je ne comprends pas grand chose la.

Le policier s'approche de moi, m'attrape le visage, par les joues très fortement.

Amir lui crit de me lâcher en se débattant, je ne peux rien faire, je suis Toujours menottée et l'autre vendu me tient Toujours.

Le policier me lâche enfin mais tire sur mon débardeur et s'essuie le visage avec.

Maya: Une pute mariée de force à un veuf Où les histoires vivent. Découvrez maintenant