Chapitre 2

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Ile de Kona, sur Grand Line :

Une violente déflagration retentit. Les habitants se pressèrent, se bousculèrent sur le lieux d'où provenait cette explosion de peur d'une nouvelle attaque par les pirates. Mais, au lieu de trouver ce à quoi les villageois s'étaient persuadés de trouver, ils firent face à un énorme cratère. Intrigués, les habitants se dirigèrent vers le centre du trou avec une grande méfiance d'où s'échappait une étrange fumée violacée. Un des villageois prit la parole :

- « Regardez ! On dirait une forme humaine derrière la fumée ! »

Effectivement, à l'intérieur du cratère se trouvait une jeune femme au longs cheveux noirs corbeaux et aux yeux d'un rose pâle. Sa peau, pâle elle aussi, lui donnait un air angélique. Elle était seulement habillée d'un sweat-shirt rouge et d'un short en jean bleu.

- «Qu'est-ce qu'on fait d'elle ?

- Je propose qu'on la laisse ici.

- On va pas la laisser là ! Si les pirates tombent sur elle et la tue, nous aurons sa mort sur notre conscience.

- Qui te dit qu'elle ne fait pas partie de leur équipage ? Moi je ne lui fais pas confiance.

- Non mais c'est pas une raison ! »

Pendant que ces deux villageois se disputaient, un autre arriva, plus vieux que tout les autres.

- « Monsieur le maire ! Nous avons trouvés une jeune femme évanouis, que faisons nous d'elle ?

- Mmmh... Je ne pense pas que ce soit une bonne idée de la laisser seule ici. Mais je n'ai pas non plus confiance en elle. Vu l'endroit où elle a atterrit, ce n'est clairement pas quelque chose de naturel. Emmenons la au village et laissons la dans un endroit plus sécurisé.

- Compris ! »

Les habitants portèrent la jeune femme afin de l'emmener au village. Après plusieurs côtes montées, ils la déposèrent sous un arbre en hauteur du village avec de la nourriture et de l'eau, puis ils repartirent sans un mot.

Quelques heures plus tard :

N'as-tu pas toujours rêvée de vivre dans le monde de One Piece ?... L'impossible n'est pas impossible.. Un flash... Une douce chaleur...

Aïe, ma tête. Mes paupières sont terriblement lourdes et j'ai atrocement mal partout. Je tentais tant bien que mal de les ouvrir, tentative qui se solda par une réussite. La lumière m'aveuglait pendant quelques instants jusqu'à ce qui je m'y habituais enfin.
Je ne sais absolument pas où je suis.
Je tournais ma tête vers la gauche et la droite, mais tout ce que je voyais était un paysage verdoyant de vie. Je dois être sur le haut d'une falaise puisque je peux voir la mer s'étendre à perte de vue.
Ce paysage est magnifique, seulement, ce n'est pas du tout le genre de paysage que j'ai chez moi. Je suis hypnotisée par la mer. Le soleil reflété sur l'étendue d'eau salée la fait briller de milles feux.
Je me décidais enfin à me lever. Mes jambes me font toujours aussi mal mais j'essayais de ne pas y penser.

- « Bon bah c'est bien gentil d'avoir réussis à se lever mais maintenant il me reste encore à savoir où je suis. »

Je mangeais les provisions qui m'ont étaient offerte par je-ne-sais-qui puis, sachant que je n'ai aucun sens de l'orientation, décidais de me fier à mon instinct. Je partis donc vers l'entrée d'une immense forêt d'où les arbres semblaient atteindre le ciel. Je ne perdis pas plus de temps et entrais. Plus je continuais à m'enfoncer dans cette immense forêt, plus le silence régnait. Le bruit des animaux s'était tût depuis déjà un bon moment.

- « Note à moi-même, ne plus jamais écouter mon instinct. Bon bah de toute façon c'est trop tard. »

Je tournais à gauche, puis à droite, puis encore à gauche.

- « C'est bizarre, j'ai l'étrange impression d'être suivis... »

Je continuais à m'avancer sur mes gardes et en tendant l'oreille à chaque bruit étrange.

....

- « ÇA FAIT TROIS HEURES QUE JE MARCHE ! J'EN AI MARRE, ELLE EST OÙ CETTE PUTAIN DE SORTIE ??!!! »

Et ce fût pile à cet instant qu'un craquement retentit juste derrière moi. J'eus à peine le temps de me retourner qu'on m'assommais sans aucune douceur.
...

Le corps de la jeune femme tomba lourdement sur le sol, inerte, tandis que l'inconnue sortit de l'ombre sortit un objet étrange de sa poche en forme d'escargot.

Beulebeulebeule... Gatcha.

- «C'est bon capitaine, je l'ai.

- Très bien, amène la moi et en bonne état si possible.

- À vos ordre. »

L'homme rangea son objet étrange dans sa veste et prit le corps de notre héroïne en sac à patate sur son épaule avant de disparaître dans la forêt.

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Et voilà, le chapitre 2 est enfin sortit !!! Après une looooooooooooooongue période d'attente !!!
Donnez-moi votre avis dans les commentaire, qu'il soit positif ou négatif tant qu'il est constructif ! ( ça rime...C'est rigolo)

Sur ce, à bientôt !

Un monde parallèleOnde as histórias ganham vida. Descobre agora