226. Bradley Simpson

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Thème : Amour

Nouveau concept ! Cet imagine est basé sur une chanson ! Seriez-vous la retrouver ? 😉
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Pensant que j'avais assez fait de choses aujourd'hui -les cours, le froid, la solitude, dispute avec ta meilleure amie- tout m'avait atteint jusqu'au crâne. Il était temps d'aller dormir. Demain était une autre journée.

Je prenais mon téléphone ainsi que mon chargeur. J'assemblais les deux bouts pour n'en faire qu'un. Puis je me tournais vers ma table de chevet pour le brancher sur le secteur. Mon portable se tenait pourtant bien, lui restant une trentaine en pourcentage.

Cela dit, même si c'était déconseillé, je le branchais quand même car ma journée se terminait. Demain était une nouvelle journée.

Avant que je puisse le brancher, mon portable vibrait, un son d'appel Skype en sortait pour remplir ma chambre.

L'image stupide de mon copain s'affichait sur mon écran. Je souriais en me replassant correctement. Je tâchais de rapidement me recoiffer avant de me racler la gorge et de décrocher.

Subitement, le soleil de l'Europe s'abattait sur mon écran. Puis l'écran bougeait avant de voir apparaître mon petit ami, lunette de soleil et t-shirt.

Son sourire rayonnait encore plus que le soleil que voyait Bradley.

- Salut mon cœur, me disait-il avec sa voix suave.

- Bradley ! Je suis heureuse que tu m'appelles, souriais-je de manière enjouée.

- Je suis heureux d'avoir le temps de t'appeler. Tu es en pyjama ? Me demandait-il en s'approchant exagérément de la caméra.

- Un peu mon n'veu. Je te rappelle qu'il est... Je me penchais pour voir mon réveil numérique. 11.43PM ici. On a pas tous la chance d'avoir le soleil comme veilleuse, le taquinais-je.

Bradley souriait, cela-dit un soupir assez poussé sortait de ses lèvres. Je ne pouvais m'empêcher de sentir que la discussion qui allait suivre me ferait mal.

- Tu me manques tellement Kelly.

- Toi aussi Bradley, si ce n'est plus, disais-je alors que ma voix se brisait du à l'émotion - comme à chaque fois.

Bradley passait sa main dans ses cheveux. Moi je me mordais la lèvre pour m'éviter de pleurer. Soudainement Bradley retirait ses lunettes. Je pouvais voir ses yeux marrons magnifique qui était assortis à une nouvelle couleur rougeâtre.

Comme s'il n'avait pas dormi de la nuit. Ou pleurer toute la nuit. Voir peut-être les deux.

- Je t'aime comme un fou. C'est triste de le remarquer que maintenant, quand je suis à des milliers de kilomètres de toi. Ce jet-lag... Je me lève quand tu te couches. Et pourtant je ne fais rêver de toi.

- Bradley.. soupirais-je alors que mes larmes brouillait la vue que j'avais de mon petit ami.

- Non, attend avant de pleurer, disait-il m'arrachant un sourire. Je veux que quand on rentre, on soit que tout les deux. Je veux faire ma vie avec toi. Peut-être que je pourrais te demander en fiançailles quand je rentre. On a l'âge et on s'aime vraiment. Et puis on ne se quittera plus jamais.

Je plaçais une main sur ma bouche, le souffle coupé par son culot. Il me disait tout cela dans mon lit pour deux personnes alors qu'il se trouvait à l'autre bout du monde. Cela-dit son sourire ne l'avait pas quitté.

Mes larmes commençaient à perler sur mes joues. Je relevais la tête pour tenter de reprendre une respiration normale mais mon cœur battait tellement vite que ma respiration s'était encrée sur les battements de mon cœur.

Je voyais Bradley qui commençait lui aussi à pleurer. Une main se posait sur son épaule. Puis trois nouvelles têtes se plaçaient derrière mon homme.

- Salut Kelly !

Je souriais aux garçons alors que les trois garçons câlinaient Bradley.

- Si vous devez vous marier... Je veux pas créer d'ennui mais... qui sera le témoin ? Demandait Connor.

Je rigolais subitement. Il était vrai que la situation à laquelle Bradley s'était lui-même confrontée devenait subitement complexe.

Bradley se séchait rapidement les yeux, soufflant en levant les yeux au ciel. Je continuais à rire alors que Bradley souriait à nouveau.

- Le chien peut ramener les bagues. Je suis sur que ça plaira à Lory.

Je hochais la tête en souriant. Subitement, un gros tas se plaçait à mes côtés, posant son haut du corps sur ma poitrine. Je ne voyais plus l'écran mais que des poils. Elle avait bien sûr entendu son nom quand Bradley l'avait prononcé.

Les garçons rigolaient à travers l'écran.

- Ma beauté ! Tu es toujours aussi magnifique ! Tu ressembles à un chien policier ! J'espère que tu prends bien soin de ta maîtresse.

Je tâchais de décaler un petit peu le berger allemand de mon corps alors que je revenais à caliner mon doudou vivant.

- Tu ne m'as jamais fait de compliment comme ça à moi ! Disais-je faisant mine de bouder en retroussant ma lèvre inférieure.

- Tu veux toi aussi que je te complimente sur ta capacité à être un bon chien policier ? Disait Bradley en souriant.

Je partais dans un fou rire alors que le chien aboyait à côté de moi. Je tâchais de me calmer alors que les garçons s'étaient éclipsés. Je devenais sérieuse quand Bradley se faisait appeler par Tristan pour aller travailler.

Je me mordais la lèvre alors que mon petit-ami faisait signe qu'il arrivait dans deux minutes.

- Je vais devoir te laisser ma belle. Je reviens vite. Trois semaines.

- J'ai hâte ! On viendra te chercher avec Lory.

- Je tâcherais de ne pas oublier la bague.

Je rougissais face à cette remarque. J'aimais tellement cet homme que l'idée de me marier avec lui me comblait déjà de bonheur. J'avais pour sûr des préparatifs en tête.

Je soupirais alors qu'il embrassait l'écran. Je faisais de même.

- Je t'aime honey, me disait-il.

- Moi aussi je t'aime ! Bon courage pour ta journée.

- Fait de beaux rêves chérie.

- Toujours quand je pense à toi, lui avouais-je.

Je voyais Bradley rougir puis l'écran devenait noir. Je soupirais, cela dit en souriant. Je branchais finalement mon téléphone -qui n'avait plus que dix pour cent de batterie- pour le reposer éteint sur la table de nuit.

Je me tournais vers mon cadeau offert de Lory, quand elle avait trois mois. J'eteignais la lumière, entourant le chien de mes bras. Mon sourire sur mes lèvres ne me quittait pas.

Le chien soufflait bruyamment avant de s'habituer à mes bras. Elle tendait ses quatre pattes sur la place de Bradley. Son dos se collait à toutes ma largeur du corps. Mon amour de chien.

Nous finissions par nous endormir seules dans ce lit deux personnes. Nos respirations accordées plus ou moins et des rêves plein la tête.

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ATTENTION !! JE RISQUE D'AVOIR DU MAL À ÉCRIRE À CAUSE DE MES PARTIELS QUI APPROCHENT. Donc je me calme sur l'écriture d'imagines.

Alors ! Vous avez trouvé la chanson ?

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