Imagines |Commande Fermée|

224. Matt Donovan

Thème : Amour

1) Oui on retourne dans l'amour
2) Je pense être la première personne à faire un imagine sur Matt, car j'ai cherché... Et Nada ! 😂 Donc vive la simplicité
**********

Je  marchais en direction de la voiture. Vitres fermés, blouson fermé collé au corps, neige sur le toit, bottes. Il n'y avait aucun doute, la Virginie avait accueilli l'hiver à bras ouvert. Cela changeait du temps ensoleillé ou pluvieux.

En face de la voiture, je voyais le conducteur trifouillait quelque chose. Puis une alarme résonnait fortement autour de la voiture. Je sursautais, manquant pour la première fois de la journée de tomber. Je soufflais, envoyant un regard noir à mon chauffeur.

J'arrivais donc au côté droit de la voiture, côté du passager. J'ouvrais la portière et m'engouffrait dans l'habitacle, chaleureux et confortable.

- Je ne te salue pas Matt, j'ai failli me casser une jambe, lui disais-je allrs qu'il avait vu toute la scène.

- Je t'aurais accompagné en voiture de police,  disait-il en haussant les épaules tout en rigolant.

Je lui cognais son épaule face à moi, la droite, et faisais mine de bouder dans mon coin, les bras croisés sur ma doudoune beige.

Matt sortait de la propriété en marche arrière pour finalement rejoindre la route. La discussion s'enclenchait automatiquement. Je regardais à l'extérieur, le paysage blanc qui me faisait temps rêver.

- Comment tu vas ? Me demandait-il.

- Rien de nouveau, comme d'habitude, avouais-je un peu tristement en haussant les épaules, et toi ?

- Ok, on recommence. Qu'est-ce qui va pas ? Me demandait-il plus sévère.

Je soupirais, si je disais tout ce qui n'y allait pas dans ma vie. Ce n'est pas d'un livre dont j'aurais besoin, mais d'une encyclopédie en plusieurs volume. Je regardais Matt, concentré sur la route, mais je savais qu'il mécoutait attentivement.

- Je me sens à l'écart de tout. Que ce soit avec Elena, Bonnie ou Caroline. Elles peuvent toutes se défendre sans compter que leurs copains les défendent aussi. J'ai peur que s'il doit m'arriver quelque chose, je ne compte plus pour elles, que je sois abandonné. Je ne veux pas m'éloigner d'elles. Mais elles n'arrêtent pas de me rabaisser en me disant que je ne pourrais rien faire.

Matt écoutait tout mon discours, les sourcils froncés. Mon mal-être était surtout du fait que je n'aimais pas ma vie tranquille. Je ne désirais pas non plus être surnaturel mais je voulais servir à quelque chose. Ne pas être mise de côté.

J'expliquais à Matt mon désir de voyager, où de finir rapidement mes études pour enfin faire quelque chose de ma vie. Rester lassive à Mystic Falls, rentrer avant qu'il ne fasse nuit, être craintive de tout... Ce n'était pas une vie.

- Je te comprend, je sais ce que c'est. Tu as l'impression d'être un vieu chiffon que l'on sort une fois par mois quand les accidents sont fait et que tu dois nettoyer.

- Je dirais une fois par an, avouais-je en jouant avec mes doigts.

- Et moi je te le dis, elles font ça pour te protéger. Elles veulent que tu sois la même. Entre nous tous, tu es celle qui touche le plus à l'humanité. Les filles savent que c'est important puisse qu'elles ont des responsabilités plus importantes aujourd'hui. Si elles te tiennent éloignées, c'est en partie pour cela.  Et moi aussi, j'aime le fait que tu sois éloigné de tout ce monde car tu es toujours en vie. Et qu'est-ce que je ferais sans les blagues et les gamelles de ma meilleure amie.