216. Steve Rogers

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Thème : Mission

Information : Je suis un peu lente sur les imagines car je tente de prendre de l'avance dans mes lectures pour écrire des imagines le week-end 😁 M'en voulait pas ! Ce sera bénéfique pour plus tard !
Il me reste deux grands livres de 400 et et 550 pages, donc ce sera encore un peu long 😅
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Je marchais, au loin le Capitaine géré les différentes équipes pour couvrir le plus de terrain. Ainsi que le maximum d'ennemi.

Je préparais mes mains, prenais mes armes, les rechargais. Je leur retirais quelques poussières. Mais je voyais qu'il n'y avait rien, car j'utilisais mes armes prêt de tout les jours. Si ce n'était pas en mission, c'était en entrainement. Et si ce n'était pas en entrainement, ils étaient sous mon oreiller.

Depuis le massacre de New York et de Sokovie, j'avais cette manie à me protéger de tout. Que ce soit un peut de poussière, je nettoyais rapidement. Que ce soit une blessure, je la soignais immédiatement et la recouvrais.

C'était simple, je ne voulais pas être faible, que l'on voit mes faiblesses, où que l'on blesse mes amis. D'autant plus que depuis quelques mois, le Capitaine et moi nous entendions très bien. Il comptait plus que tout pour moi.

- Hé Talia.

Je relevais la tête, découvrant Steve marchant à mes côtés. Son costume lui allait toujours, moulant sa carrure et ses muscles. Les couleurs de l'Amérique laissaient ses yeux bleus s'y refléter et briller.

- Désolé, tu disais ?

- Je voulais que tu restes à mes côtés quand nous auront trouvés l'entrée.

Je hochais la tête, ne trouvant rien à redire. Nous allions nous protéger l'un l'autre. Je découvrais une grande porte, les différentes équipes continuaient d'arpenter les environs.

Mais tout était bien calme.

- C'est vraiment étrange. C'est... calme. On entend les oiseaux, disais-je en jetant un regard vers les arbres derrière nous.

Le Capitaine me faisait signe d'avancer, ouvrant la porte pour nous faire entrer. L'odeur du renfermé et de l'humidité rendait l'endroit hostile et mauvais.

Nous entrions, les armes et le bouclier sortit. Je m'avançais vers une caisse, vide de tout objet important. Seul des confettis de polystyrène remplissait la boite.

Je me baissais, pour voir la petite étiquette indiquant l'expéditeur. Seul le pays y était inscrit. La Chine.

- Ils faut croire qu'ils ont tout emportés, disait le Capitaine.

- Une minute, lui disais-je en signe de se taire.

Je suivais, un petit bip. Un bip aigu qui m'intriguait. Je me dirigeais vers un mur, une petite grille d'aération donnait sur la pièce d'à côté. Je soupirais.

Le bip devenait de plus en plus aigu. Au moment où je comprenais, le Capitaine me prenait la taille, m'écartant du mur, son bouclier derrière moi, ma tête contre son épaule. Je soupirais en reprenait vite conscience, nous étions au sol, nous protégeant du mieux que l'on pouvait. De la poussière deplâtre sur nous.

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