Chapitre 52

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Une fois l'adieu prononcer, je me dirige vers la porte de l'entrée lorsque je tombe par terre, sans connaissance.
Mais que s'est-il passer ?

Plusieurs heures plus tard

Ou suis-je ?

Je lance un regard à droite, un regard à gauche. La seule chose que je vois c'est de la verdure. Je me relève tout doucement lorsqu'une douleur énorme à la tête se fit savoir. Je touche donc mon crâne avec ma main. Oh mon dieu mais je saigne !

Flashback
Je vais partir, ça y est! J'arrive devant ma porte d'entrée lorsque je tombe par terre. En tombant, j'aperçois ma mère avec un objet immaculé de sang. C'est à ce moment-là que je perdis connaissance.

Oh mon dieu, c'est encore un sale tour de ma mère. Sa n'explique toujours pas pourquoi je suis là.

Je décide donc de marcher un peux. Je regarde autour de moi, aucune route aux environs. Mais attendez ! Que fais-je dans une forêt ?! J'avance et j'avance lorsque je tombe de nouveau mais cette fois ci à cause d'une pierre. Au moment où je tombe, un autre flashback revint.

Flashback 2.

J'ouvre les yeux lorsque j'entends brièvement ma mère. " Elle est morte, je l'ai tuée ". Répétait-elle sans cesse. Je les ferme et les ouvrent plusieurs minutes plus tard. Je me retrouve dans un endroit noir. Je bouge comme si j'étais dans une voiture. J'entends ma mère parler à un homme. " Ça reste entre nous ! " dit-elle à cet inconnu. " Je te dois combien ? Comme pour la vidéo de l'hôpital je suppose ? " ajouta ma mère.

Plus j'avance plus je me souviens. Ma mère m'a cru morte après m'avoir assommé, du coup elle s'est débarrassé de mon corps. C'est horrible. Et la vidéo ? C'est elle aussi qui as monter le coup de la vidéo. Mon dieu...

Mes larmes se mirent à couler. Ma tristesse refaisait surface. Sa faisait longtemps que je n'avais pas pleurer. Oui car quatre jours sans pleurer était énorme pour moi.

Je pris une décision. Ne pas retourner chez moi. Puisque ma mère me croit morte, je vais en profiter. Je vais pour prendre mon téléphone pour appeler Brian. Mais problème ! Je n'ai pas mon téléphone. Je décide donc d'avancer. Je marche et je marche. Sa fait minimum deux heures que je marche. Je suis au bout de nerf. Fatiguée, j'avançais lentement lorsque j'aperçus une lumière brillante comme celle d'un phare de voiture. Je cours donc pour l'arrêter. Une fois sur la route, je me positionne devant la voiture tel une inconsciente. La voiture freine d'un coup sec.

-Moi : " Excusez-moi ! Vous n'avez rien j'espère... "

Je m'approchais du conducteur et vue que le conducteur était en fait une femme. J'aperçus l'heure, il était 5 heures 25.

-Vous vous rendez où s'il vous plaît ? Ajoutais-je en fixant la conductrice.

La femme me regarda de haut en bas et reprit sa route sans même prendre le temps de répondre à ma question. Je me retrouvais donc à marcher au bord de la route.

Sa faisait au moins deux heures que je marchais lorsqu'une voiture s'arrêta. Je ne reconnue pas la voiture mais je reconnu la personne à l'intérieure. En effet, c'était M.

-M : " Tu vas quelque part ? "

-Moi : " Tu me sauve la vie M ! Oui tu peux m'emmener au 44eme avenue Itrose? "

-M : " Oh mon dieux ! Qu'est-ce que tu as fait ? Qu'est-ce qu'il t'est arrivée?"
me dit-elle en examinant le haut de mon crâne.

-Moi : " Rien ne t'inquiète pas. C'est fini je pars au Canada avec Brian."

-M : " Mais ma puce, Brian est déjà partit. "

Ce n'est pas possible... C'est horrible... Je vais devoir rester ici ? Brian était ma solution de départ... Je devais partir au Canada avec lui... Il m'avait promis de m'emmener loin... Je sentais les larmes montées à mes yeux. Mais je ne pouvais pleurer devant M. Je savais que je pouvais mais je ne devais pas. Une fille forte ne pleure pas. Une fille forte ne pleure pas. Je me répétais cette phrase jusqu'à quel ai un sens. Mais je savais qu'elle n'en aurait jamais. Car je ne suis pas forte.

-M : " C'est ta mère ? Il se passe quelques choses dont je ne suis pas encore au courant ? "

Je ne répondis pas. Je préférais ne pas répondre si c'était pour dire un mensonge. J'en avais marre. Mare de tous ses mensonges. Mare de coller se sourire faux et hypocrite sur mon visage. Mare de mentir. Je baissai la tête.

-M : " Tu vas venir chez moi. Tu vas te laver et ont va s'occuper de ta plaie. "

-Moi : " Ce n'est pas la peine, je vais m'occuper de moi. "

-M : " Tu vas venir chez moi j'ai dit ! "

-Moi : " Ok... Mais je ne veux pas gêner tes enfants... "

-M : " Ils sont chez leur père et ils sont loin. Tu ne les gêneras pas. "

On se rendit donc chez elle. Une demie heure plus tard environs je me trouvais devant sa porte. Elle ouvra la porte et me fit signe de rentrée. J'entrais et mes yeux se posèrent sur le magnifique piano qu'elle possédait.

-M : " Tu c'est en jouée ? " me demandais t'elle en fixant le piano.

-Moi : " Un petit peux, mais je ne suis pas si douée que ça. J'ai appris seule lors de mes creux à l'école. "

-M : " Fais-moi écouter un peux. "

[Vidéo multimédia à écouter]

Je m'approchais donc du piano et je m'assois sur la banquette juste devant. Je commençais donc à jouer. Note après note, je voyais M me regarder émerveiller. Comme si ce que je faisais était extraordinaire... J'arrêtais donc de jouer et je la regardais.

-Moi : " Qu'est-ce qu'il y a ? "

-M : " Pourquoi t'es-tu arrêter ? C'était très beau ! "

-Moi : " Ce n'est qu'une mélodie que j'ai composée elle n'a rien d'extraordinaire. "

-M : " Pourquoi dis-tu ça ?! Tu n'as donc jamais confiance en toi ? "

-Moi : " Je dois allez au toilette. "

Je montais donc les escaliers pour me rendre aux toilettes. Une fois au WC, je réfléchissais à ce qu'elle m'avait dit. "Tu n'as donc jamais confiance en toi ?" La réponse en cette question était non. Je n'avais pas de confiance en moi. Je n'en avais jamais eux en fait.

L'histoire De L'Ado XOù les histoires vivent. Découvrez maintenant