Chapitre 27

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Je me dirigeais donc dans la cuisine pour préparer à manger. Arrivée sur place, je me dirigeais pour ouvrir le congélateur. Et la, en ouvrant, un steak haché tomba et ma mère déboula dans la pièce. Elle péta un câble, me jeta par terre, et me roua de coup. Coups de poing, coups de pied et pour finir coups de ceintures.

Moi : " Arrête, arrête s'il te plaie! Maman s'il te plaie.. "

Elle ne m'écouta pas et continua de me frapper encore et encore. Elle était déchainer. Je la suppliait encore mais elle continua encore plus. J'avais de plus en plus mal, mais elle continuais sans cesse. Jusqu'au moment ou quelqu'un tapa. C'était la police à la porte. Ma mère m'affirma que si j'osais parler, elle me fracassera encore plus que se soir. Elle ajouta qu'il faillais que j'aille m'allonger dans ma chambre. Je partis faire genre que je dormais. Ma mère ouvra et les policiers lui expliqua que c'est une voisines qui les avaient appelées car elle avaient entendu des pleures. Ma mère leurs expliqua que c'était la télé qui était trop forte et que je dormais dans la chambre. Elle les invita à entrer venir voir si il n'était pas convaincu mais ils entrèrent pas. Pourtant si il l'avais fait, il auraient remarquées la ceintures et mes goutes de sangs par terre.. Mais non. Sa auraient été trop beau... Je fini par m'endormir vraiment, Malgré les douleurs des coups que j'avais reçut une heure plus tôt.

Le lendemain matin, je me réveilla avec, sur mon visage, des larmes de mascara le long de mes joues. Oui car j'avais pleurer toutes la nuit. J'avais pleurer à cause de ma douleur physique mais mentale aussi. Oui car les coups font mal mais les mots et les gestes blessent tout autant.
Je vais donc dans la salle de bain. Je me déshabille et rentre dans la douche. J'allume l'eau chaude et froide, pour rendre l'eau a la bonne température et la fait couler. Je met ma main dessous et me rend compte qu'elle est parfaite, je peux enfin la mettre sur moi. Je me met donc sous l'eau, le pommeau de la douche au dessus de mes cheveux et la met sur mon visage. Je ne me sens pas bien du tout.Je suis assise dans la douche et je pleure. Encors et encors. Mes larmes coulent et ne s'arrête pas. Je fini ma journée en pleurant et la commence en pleurant. Voilà ma vie..

Après avoir passer plus d'une demi-heure dans la douche, je sort enfin. J'ai les yeux rouges et gonflés, sans compter mes joues rouges a force d'essuyer mes larmes et donc de les frotter. Je suis donc devant le miroir. Je fait peine à voir! J'ose même pas me regarder et tourne la tête face au miroir. J'ai honte. Honte de moi. Je ne devrai pas pleurer! Je devrai être une fille forte et devrai passer au dessus! Mais je n'y arrive pas. Enfin du moins, je n'y arrive plus.. Je décide donc de cacher ma tristesse. J'étale du fond de teins sur mon visage, ajoute un peux de poudre. Pour mes yeux, du crayon noir et du mascara et un petit rose a lèvre pour ma bouche. Arrivée dans la cuisine, je trouve ma mère. Je ne la regarde même pas. Je marche la tête laisser et l'évite.

Ma mère : " Il faut que tu aille acheter du tabac pour que je puisse faire mes cigarettes et que tu aille faire deux trois courses a la supérette! " me dit elle énervée.

Moi : " Puis-je déjeuner avant? " lui demandais-je avec un voix toute douce.

Ma mère : " Non! Tu fais se que je te dit et tu ferme ta gueule! "

Elle me donna l'argent et m'indiqua de prendre un sac de course. Je fila dans ma chambre, pour prendre mes écouteurs et sortit de chez moi. Je mis mes écouteurs et alluma ma musique. Quand je croisais des personnes que je connaissais, je souriait pour faire "genre" que j'allais bien. Mais au fond, j'étais au plus bas. Chez moi j'étais traitée comme une merde sans compter que je me faisais tabasser. Comment voulez vous que j'aille bien?.. C'était impossible. J'avais beau mentir à tout le monde comme quoi j'allais bien, mais je ne pouvait me mentir à moi même. 

L'histoire De L'Ado XOù les histoires vivent. Découvrez maintenant