44.

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LE PACTE, 44.
























Je suis arrivée à l'hôpital toute paniqué. Je n'arrivais même pas à demander aux infirmiers où était Nelson. Je courrais partout à la recherche d'un bonne nouvelle. Un médecin est venu vers moi et m'a conduise dans la chambre de Nelson. Je me suis approchée lentement de son corps relier à plusieurs fils. J'avais tellement mal pour lui. Je n'aurai jamais cru devoir vivre une tel situation un jour par rapport à lui.

Mes larmes coulaient seules. Il n'était pas encore partis mais il respirait grâce aux machines reliés à lui. Le médecin me toucha l'épaule par preuves de soutient.

– Madame je suis désolé pour votre mari.

– Ce n'est plus mon mari, enfin, nous avons divorcés.

– Excusez-moi. Dans son testament, la personne chargé de décidé pour lui s'il a un accident un jour, c'est vous.

– Je- je ne penses pas être en mesure pour cela Monsieur. Vraiment pas maintenant.

Je suis sortie de la chambre et me suis dirigée vers la sortie de l'hôpital. J'avais besoin d'inspirer de l'air frais. J'en avais véritablement besoin. Si je n'avais pas été égoïste. Si j'avais écouté mon coeur au lieu de ma raison. Si j'avais suivi l'homme de ma vie, si seulement je n'avais pas signé ces foutu papiers. Si seulement.

Il ne me reste seulement que des regrets à présent. Comment vais-je annoncer à mes enfants que par ma faute leur père est décédé ? Comment vont-ils grandir avec cette idée dans la tête ? Ils vont me haïr à vie. Mon Dieu, qu'ai-je fais pour mériter la mort de mon mari, sincèrement.

Je baissa ma tête en arrière et essuya mes larmes. Je suis ensuite retournée dans l'hôpital me prendre un café. J'en ai besoin. Je suis retournée près de son corps, sans vie. Avec une question en tête : le laisser respirer grâce à des machines en espérant ou ouvrir les yeux et le débrancher maintenant ?

Pourquoi m'avait-il choisi ? Il savait que nous n'étions plus ensemble, pourquoi, mon Dieu.

Je l'ai embrassé une dernière fois puis je suis sortie de la chambre. Le médecin m'avait donné un dossier à remplir pour son débranchement. Je ne vais pas continuer de me voiler la face plus longtemps. Son heure à sonner. J'ai signé le formulaire et l'ai rendu un l'infirmière. Toute une équipe est entrée dans la chambre et ils ont commencés à débrancher chacun des fils reliers à Nelson. Plus aucun fils ne lui était relié. Je devais maintenant lui faire mes adieux. Pour toujours. J'ai pris sa main, et l'ai posé contre mon coeur.

– C'est la pire décision qu je n'ai jamais prise de toute ma vie mon amour mais, en essuyant mes larmes, je ne peux pas continuer de te voir souffrir sur ce lit sachant que tu pourrai être mieux aux côtés de Dieu, là haut. J'ai fais cela pour ton bien mon amour. Et j'espère que tu me pardonnera. Je t'aimais, depuis le premier jour et je te jure que je n'ai jamais cessé de penser à toi. Même lorsque j'ai fuis à Paris, ou lorsque je t'ai trompé avec Kenon, je n'ai cessé de penser à ton mon amour. Tu es l'unique homme de ma vie Nelson Nzuzi. Repose en paix, je t'aime.

Les infirmiers lui ont injectés une substance dont je ne connais pas l'utilité. Son corps est devenu de plus en plus terne. Nelson venait de mourir à l'âge de 39 ans.

Nelson.

J'étais juste dans le coma, mais Li- Linda m'a fait tué.

Le pacte. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant