Lapsis, ange de l'enfer

Réveil douloureux.

Pour ceux qui n'ont pas lu le dernier chapitre car ils ont suivis mon conseil pour âme sensible. Pour faire cours, Lapsis est allée voir Thomas qui  était entrain de se faire une injection douteuse.  Ensuite, après avoir découvert l'emplacement des portes du Paradis avec Simon, ils ont conclut cette histoire sur l'oreiller.

Cette semaine le chapitre sera étonnamment court car je n'ai pas de temps pour écrire. Ainsi que la semaine prochaine et celle d'après je n'aurais pas le temps non plus. Je suis vraiment désolée.

C'est quand je me réveille que je me rend réellement compte de ce qui s'est passé hier. Je sors du lit en catimini et ramasse le premier vêtement à ma portée pour me cacher, je fais tomber une arme de son support; ce qui réveille Simon.

-Bonjour mon ange.

Me dit-il avec un grand sourire joueur. Mon sang ne fait qu'un tour. Je ramasse une chaussure qui traîne et lui lance à la figure en lui criant.

-Mais ta gueule!

Il rit. Moi j'ai les nerfs. Je sors de la chambre pour me diriger vers la cuisine et récupère petit à petit tout mes vêtements. Je me sers un grand verre d'eau.

J'avais laissé mon téléphone sur la table, je le consulte. Mon sang se glace.

"Rdv maison ce soir, vidéo conférence avec L"

Aïe aïe aïe. Je crois n'avoir jamais été aussi dans les problèmes, pour être polie. Si le fait que je côtoie des humains peut se faire sentir par les démons je n'imagine même pas l'odeur que peut avoir un ange ayant...fricoter avec un humain. Je sais que je vais me faire prendre. Mais comment expliquer que ce n'était qu'un accident? J'ai tellement honte...oui honte, encore un de ces putains de sentiments humain. Mais je dois faire face. Face à la trahison que j'ai faite à ma famille...ou du moins ce que je considère comme ma famille; le regard plein de joie de mon frère, qui ne sait rien et le jugement insoutenable de Thomas. Mon lieutenant, mon ami. Je sais que je vais le décevoir.

Je suis en colère. Contre moi-même, contre Simon. Jamais ça n'aurait du se passer comme ça, rien de tout cela n'aurait du arriver.

Il passe la porte, torse nu. Il baille en passant la main de les cheveux. Je lui jette mon verre à la figure. Il l'évite et m'assène les mots que je ne veux pas entendre.

-Tu ne dois en vouloir qu'à toi même Lapsis. Après tout tu l'as dit toi même: je ne suis qu'un humain.

Il sort de la même façon dont il est rentré; en baillant et en traînant des pieds, il lâche un dernier.

-Bon je suis crevé, je retourne me coucher.

Il me laisse seule, seule avec moi même. Je prends entre mes doigts le pendentif de Thomas. Je regarde par la fenêtre et me remet en question. Suis-je digne de porter les armures de Lucifer?

Flash-back

Elle nue quand on l'a sortit de la cage, on l'enduit de crème avant de lui poser l'armure. Elle avait été spécialement été travaillée dans le métal des Enfers. On raconte que le métal est noire comme les ailes d'un corbeau et résistante à tout les feux. Mais à l'image de sa destinataire, elle était légère comme une plume.

Elle s'avança dans l'assemblée ou régnait tout les démons décorés de ces derniers millénaires. Elle n'était, toute fois, pas intimidée. Elle gardait le regard fixé sur le lointains. Les flammes entouraient l'arène et les démons hurlaient, ce n'était pas tout les jours qu'un ange rejoignait les rangs.

On lui ordonna de lever la tête, elle s'exécuta. Elle répéta en latin sa proclamation. Les démons s'étaient étonnamment tus dès le début du discours. Lucifer avait regardé sans mot dire du commencement jusqu'au dernier mot. Où il leva la main. Leurs regard se croisèrent; le roi était impassible et la princesse s'essayait à suivre l'exemple.

Après les dernières paroles dites pour l'adoubement. Un uniforme officiel lui fût tendu. Elle le prit, inclinant la tête pour remercier. Et pu se diriger par la sortie où elle vit Thomas. Elle s'autorisa à sourire. Cela faisait cinquante ans qu'ils ne s'étaient plus vu; pour pouvoir devenir soldat de l'armée de Lucifer elle avait du passé des épreuves les plus éprouvantes les unes que les autres. Elle n'y serait jamais arrivée sans lui.

Il lui ouvrit ses bras pour la prendre. Il s'en fichait du protocole. Il n'était pas qu'un instituteur pour elle, mais surtout un ami. Pour lui, elle était une princesse.

Voilà Voilà.

Donc comme expliqué plus haut, je ne saurais pas poster de Chapitre les 2 prochaines semaines (même si je vais essayer d'au moins en poster un)

Désolée pour le retard, hier je n'ai pas été chez moi de la journée.

Mais vous pouvez quand même voter, commenter ou même partager mon histoire.

XOXO