FBI:meurtres étranges.

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Pour commencer, désolée d'être absente pour le moment. Mais entre, mon cernier chapitre supprimer je ne sais pas comment, les attentats de Paris et mes examens qui arrive à grand pas, je ne sais plus gérer. Donc j'ai essayé de ré-écrire un maximum de ce chapitre. Il n'y en aura ensuite plus avant les vacances de Noël car je dois étudier. Je vais ensuite travailler d'une autre façon. En effet, je vais écrire mes chapitres dès que j'ai le temps pendant les vacances, mais je ne publierai plus de chapitre de milieu de semaine. Sur ce, bonne lecture. :)

C'est sûr, j'étais contrariée après Simon. Mais je n'osais rien dire. Il était tellement mal, que je ne voulais ni exposer mon avis, ni lui remonter le moral. Je ne suis pas la pour lui remonter le moral et l'écouter se plaindre. Je suis un ange certes, mais pas son ange gardien. Je suis un ange de l'Enfer.

Nous nous dirigeons donc, en silence vers la ville la plus proche, là ou Simon avait entendu parler de ces meurtres répétitifs qu'il trouvait un peu étranges...en arrivant, nous avons revêtis costumes noirs et chemises blanches afin de nous faire passer pour des agents fédéraux. Nous entrons dans le commissariat. 

-FBI, nous enquêtons sur les différents meurtres encourus ces dernières semaines.

Dit Simon en sortant son insigne. Il m'incite à faire de même, je m'exécute.

-Agents Fran et Uni.

Dit-il.

La secrétaire, sceptique, prend nos badges pour les analyser. Elle finit pour nous les rendre.

-Le bureau du commissaire se trouve au fond à gauche.

Je béguais un remerciement tandis que Simon, avec plus d'assurance, demande.

-Nous allons avoir besoin d'un pass pour pouvoir entrer dans la morgue.

La vieille secrétaire aigrie, remonte ces lunettes en écailles sur son nez. Simon lui lance un regard charmeur.

-S'il vous plaît, mademoiselle.

La dame prend les pass et me les remet.

-C'est madame. Et sachez, monsieur, qu'ici nous n'aimons pas beaucoup les fédéraux.

Je la remercie et pousse mon "collègue" vers le bureau. Il parait décontenancé. Il se ressaisit avant d'entrer dans le bureau du policier; l'homme est au téléphone et nous fait signe de prendre les dossiers et nos dit muettement de repasser plus tard.

Nous sortons donc avec les dossiers que nous lisons dans le couloir avant de nous diriger vers la morgue.

-Les rapports d'autopsies montrent clairement qu'ils sont morts de crises cardiaques alors que...

-Alors qu'ils ont tous été égorgés.

Me coupe Simon.

-Un égorgeur de cadavre? On n'a rien à voir avec ça Simon...

-Non, il doit y avoir un autre lien. Une constante.

Nous lisons les dossiers, sans succès. Simon soupire en poussant la porte de la morgue après avoir présenté le badge.

-Pourtant je ne vois pas; toute les victimes ont des âges différents, n'ont rien à voir entre eux, et de sexe différents.

-Combien de victimes?

Je demande.

-Six. Avec un intervalle entre les morts, complètement aléatoire. 

Je m'approche d'un des cadavres et l'examine.

Lapsis, ange de l'enferOù les histoires vivent. Découvrez maintenant