Chapitre 51/L'épreuve de la vie

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◻Bonne lecture◻


Le lendemain Mendoza et Laguerra allèrent à Barcelone et achetèrent quelques vêtement de garçon. Une fois les emplettes fini ils avaient rejoint le château et avaient tous rangés. Cette fois tout était près et le couple pouvait enfin souffler. 

Laguerra avait beaucoup parlé à Nany de ses doutes et de ses peurs. Elle l'avait bien rassuré et ce soir là quand Isabella se coucha elle était enfin rassurée.

Seulement au petit matin, alors que le jour venait de se lever Laguerra se leva et alla dans la salle de bain.  Ne sentant plus sa femme à ses côtés Mendoza se leva inquiet.

Il toqua à la porte de la salle de bain. 

M: Isa, ça va ?

Elle l'ouvrit, laissant apercevoir un visage paniqué. 

L: Je...je crois que je viens de perdre les eaux....

Le cœur du marin se mit à battre fortement en entendant ses mots et en voyant Laguerra s'appuyait contre la porte pour faire face à une contraction. 

Il l'aida à aller jusqu'au lit et partit chercher Nany. 

Quand il revient dans la chambre avec la nourrice Isabella pleurait silencieusement. Son visage était marqué par la douleur des contractions qui s'intensifiaient de minute en minute. Sur ses joues des larmes semblables à des perles coulaient sans bruit.

Mendoza faillit pleurer en la voyant dans cet état. Il s'approcha d'elle et la prit dans ses bras en la rassurant.

M: Tout va bien ce passer mon Isa je te le promet!

L: Je...

Sa voix fut couper par une contraction. Elle attendit qu'elle passe pour finir sa phrase tout en reprenant son souffle.

L: Je...je...sais...pas....j'ai peur....et... je n'arrive....pas...à controler....ma peur.... 

Mendoza essuya ses larmes pendant que Nany lui avoua.

N: Tu sais Isabella ta mère n'a pas survécu à l'accouchement parce qu'elle avait une petite santé. Elle était souvent malade. Elle savait qu'elle n'allait pas survivre. Elle l'avait senti c'est pourquoi elle avait écrit des lettres, et qu'elle avait demandé à ton père de te chérir pour elle.....

Les larmes de Laguerra se firent de plus en plus nombreuses, la nourrice le voyait mais elle continua pour son bien, elle devait savoir la vérité.

N: Et puis, un mois avant ta naissance elle est tombée gravement malade, elle a passé la fin de sa grossesse alitait ne pouvant pas bougé, elle savait qu'elle ne te verrait pas grandir d'ici bas mais d'en haut. C'était une femme très forte d'esprit, comme toi, elle ne pleura  jamais de sa situation, elle voulait que durant la grossesse tu sentes tout son amour pour toi.... 

Isabella commença alors à se reprendre cessant petit à petit le flux de ses larmes. 

N: Toi tu es forte Isabella! Tu vas donner naissance à un enfant en parfaite santé et surtout tu vas le voir grandir, tu vas l'élever avec ton mari! J'en suis certaine!

M: J'en suis sûr aussi mon Isa!

Et il lui embrassa tendrement le front. Enfin, son visage semblait moins tourmentait par la peur!

Ensuite la nourrice demanda à Mendoza de sortir comme ça ce faisait à l'ordinaire mais Isabella contesta.

L: Je veux....qu'il reste Nany....sans lui je n''y arriverais pas... j'ai besoin de Juan...

Mendoguerra depuis le débutWhere stories live. Discover now