Chapitre 24

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◻Bonne lecture◻

Quand Mendoza eut remarqué que c'était Gaspard qui avait kidnappé Laguerra il serra les poings de rage.

PDV: Mendoza

Tu me le payeras très cher Gaspard!!!

Je vais te retrouver et comprendre comment tu as fait pour la capturer, elle était certes blessée mais tout seul tu n'aurais jamais réussi un si gros coup en si peu de temps...

******

Mendoza était totalement perdu dans ses pensées et il n'entendit pas les garçon l'appeler.

E: Mendoza you hou!!

M: Hein...euh oui Esteban.

T: On voulait savoir ce que tu en pensais.

E: Oui penses-tu que Gaspard a aussi enlevé Zia?

Ah oui Zia, c'est tout de même bizarre, les deux filles le même jour, on a vraiment pas de chance...

M:Je ne penses pas que ce soit lui Gaspard n'a pas de raison de s'en prendre à Zia mais ce serait plus un coup d'Ambrosius ...

T: Il serait venu à Chambord!!!

L'atlante haussa les épaules

E: Oui c'est logique, il a le double médaillon!

M: Il faut commencer par retrouver Zia, Laguerra attendra....

Ses acolytes le regardèrent stupéfiés.

P: Tu la fais passer après?

S: Tu...tu tu l'aime plus?

Le capitaine se pinça l'arrêt du nez en signe d'agacement.

M: Rooh vous commencer à m'énerver vous deux, bien sûr que je l'aime encore mais elle sera plus apte à ce débrouiller que Zia! Allez, allons chercher des indices près de la porte d'orichalque.

Ils recherchèrent longtemps et finirent par trouver.....et bien rien en fait.

Alors ils décidèrent de partir à l'aveugle avec le condor pour passer l'Afrique au peigne fin, une tâche longue.

Le condor volait depuis quatre heures, le soleil allait se coucher et il fallait se poser alors Esteban fit atterrir l'oiseau d'or près d'une toute petite ville situé au nord de l'Afrique. Avant de descendre Mendoza donna les consignes.

M: Nous n'avons rien à manger, je part avec Esteban en ville! Sancho et Pedro vous restez avec Tao et vous surveillez le condor!

S/P: A vos ordres capitaine!!

Le marin et l'atlante partirent donc en ville. Sur le chemin Esteban profita que Mendoza soit seul pour lui parler.

E: Mendoza? Tu penses qu'on va les retrouver?

M: Je ne sais pas Esteban, tu t'inquiètes pour Zia non?

E: Euh...oui, fit il gêner, mais pour Laguerra aussi!

Il le regarda surpris.

M: Pour Laguerra?

E: Oui, tu sais je l'ais accepter et Zia aussi, on veut que tu soit heureux Mendoza.

Le marin regarda le jeune garçon ému et passa sa main dans ses cheveux.

M: Merci mon bonhomme....

Il arrêta la conversation, ils venaient d'enter en ville.

C'était une grande ville avec des rues très étroites et bondés de monde, les marchants commençaient à fermer leurs épiceries et les tavernes se remplissaient. Dans tout ce cahot il leur faudra être prudent pour ne pas se perdre.

Ils entrèrent chez un marchand de fruits avec l'impression qu'un danger rodait pas très loin. Et ils avaient raison car quand ils ressortirent ils tombèrent nez à nez avec une personne encapuchonné dans un manteau noir. Mendoza ne vit pas son visage mais ce lança à sa poursuite à travers la ville suivit d'Esteban.

L'homme ne courait pas vite mais connaissait la ville contrairement à nos héros et il eut tôt fait de disparaître dans une impasse.

Le bretteur arriva trop tard, il ne vit pas l'homme disparaitre dans son trou. Heureusement Esteban qui arrivait se prit les pieds dans une cale en bois ce qui éveilla les soupcons du marin.

M: Là il y a une trappe, notre homme a du disparaître dedans.

E: Allons y!!!

Mendoza s'accroupi à la taille du garçon

M: Non Esteban, c'est trop dangereux reste ici, tu monteras la garde et si je ne reviens au bout de vingt minutes, va chercher les autres au condor.

Et il disparut sous terre.

****

Vingt minutes passèrent et Mendoza n'était pas remonté, Esteban décida donc d'allez le rejoindre mais sans prévenir les autres.

L'atlante descendit une échelle en bois et arriva dans un labyrinthe sous terre. Il faisait très noir et la seule lumière était procuré par des torches disposaient à une dizaine de mètres chacune. Il partit donc presque à talon à la recherche de Mendoza.
Au bout d'un dizaine de minutes il aperçut une lumière pâle au bout du tunnel, il se mit à courir vers elle quand il entendit Mendoza crier.....


À suivre



Voici mon chapitre!
J'espère que mon histoire vous plaît toujours!
Bonne fin d'après-midi 😘



Mendoguerra depuis le débutWhere stories live. Discover now