Chapitre 4

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◻ Bonne lecture ◻



Au petit matin ils furent surpris de se réveiller la tête l'une contre l'autre. Laguerra rougit et Mendoza s'embrouilla les mots. Le simple mot bonjour devenait difficile à prononcer  correctement. Ils finirent par ce remettre à l'aise. 

Très vite ils entendirent un bruit de moteur au dessus d'eux. Ils se camouflèrent dans l'une des crevasse de la cascade.

La belle bretteuse pencha discrètement la tête pour apercevoir l'objet de ce bruit. Bien sûr elle avait reconnu ce simple bruit l'oppresser. Ambrosius était arrivé.

Ils n'avaient pas le temps de changer de cachette l'alchimiste accompagné de Gaspard et Tyrias étaient à quelque mètre d'eux. Ils n'avaient plus qu'à se fondre le mieux possible entre ses roches humides. Car s'ils étaient trouvés ils e pouvaient résister par aucune manière. Le fouet, l'épée comme le pistolet étaient impossible à manier...

Les trois hommes se rapprochés. Les espagnols coupèrent leur souffle, ils pouvaient entendre leur cœur résonné dans leur poitrine tel un tambour. Finalement ils étaient bien trop obsédé par l'escalier qu'ils ne les virent pas. 

Ambrosius s'empressa d'examiner les marches d'orichalque avec d'étranges symboles. Il posa le pied sur la première marche mais suspendit son geste il marmonna.

-Non, Gaspard passez devant!

-Mais maître Ambrosius c'est peu être dangereux...

-Eh alors si Laguerra ne s'était pas échappée et si elle serais toujours ma prisonnière alors elle serait passé devant. Mais elle est partie avec ce chien de Mendoza...

-Pourquoi aurait elle libérée Mendoza il est stupide et sans honneur?

-Elle l'aime, je l'avais remarqué mais.... Bon vous allez m'obéir? Posez ce pied et avancez.

Le marin finit par obéir et posa son pied avec un semblant de peur. Rien ne se passa. Il avança de nouveau et là une dalle s'enfonça déclenchant un mécanisme et une poutre sortit du mur. Ils se baissèrent de justesse. Dans leur crevasse les deux bretteurs regardé la scène en souriant. Ils auraient bien voulu voir leurs ennemis sombrer dans gouffre.

Leur attention fut déviée par un éboulement de cailloux et de poussière signifiant l'arrivé de personnes. Mendoza et Laguerra sortirent de leur cachette en prenant le plus grand soin de ne pas se faire repérer et rejoignirent le nuage de poussière.

 Ils avaient raison c'était  belle et biens les deux enfants ainsi que les marins et le petit perroquet.

Le jeune atlante ne cacha pas sa surprise et sa joie. Il courut dans les bras de Mendoza aussitôt suivit de Zia. Laguerra se tenait en retrait mais elle fut vite repérée par l'atlante.

-Que fait elle ici?

Le marin s'empressa de répondre.

-Elle est de notre côté maintenant.

Pedro et Sancho répliquèrent.

-Oui c'est ça et aussi de celui d'Ambrosius.

-Ou-oui c'est tr-trop facile...

La jeune inca s'énerva.

-Esteban Mendoza à ses raisons et je suis sur qu'il dit vrai et en attendant Ambrosius prend de l'avance!

L'atlante répondit donc.

- D'accord tu as raison mais Mendoza nous devra des explications, nous ne savons même pas où il était passé...

Le capitaine acquiesça et la petite troupe courut vers les marches d'orichalque.

Quand il y arrivèrent Ambrosius étaient en pleine réflexion. Quel signe allait avec serpent.

L'alchimiste allait commander à Gaspard de poser son pied sur trahison mais Zia l'en empêcha. 

-C'est savoir qui va avec serpent car pour les muens le Serpent représente le savoir.

Le nain au cheveux de feu eut un sourire narquois.

-Tiens tiens chère Zia tu me semble forte à ce petit jeu. Passe devant nous.

Mais le fils du soleil protesta.

-Pourquoi elle ferait ça?

Le marin bègue lui répondit l'effrois dans la voix.

-Par parce...

Pedro l'aida.

-Parce que on a un olmèque ave une arme derrière nous....



A suivre...





Voici mon petit chapitre, j'espère qu'il vous aura plu.

Je vous souhaite une bonne fin de journée😘

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