Chapitre 49

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Je voudrai dédié ce chapitre à mes deux plus grandes lectrices, celles qui me font rire, mourir de rire même et surtout qui me touche profondément par leurs si beaux commentaires! Merci infiniment 💖💖💖 

Dédié à @MCOrchidee et @Bertille_3 



◻Bonne lecture◻

Deux mois après la merveilleuse annonce Mendoza et Laguerra continuaient leur voyage paisiblement. Ils longeaient maintenant la côte espagnole et ils devraient accoster dans trois jours à Barcelone.

Le couple de bretteur était dans sa chambre. Mendoza limait sa lame tandis qu'Isabella lisait un livre assise sur son lit. Elle avait dut abandonner son corset et son pantalon pour une robe afin de pouvoir respirer car son ventre s'était bien arrondit. Il était maintenant impossible de ne pas remarquer sa grossesse. 

Elle ferma son livre de médecine et s'avança vers Mendoza. Le marin leva les yeux et ne put s'empêcher de sourire en voyant sa femme. 

Elle était resplendissante, sa robe de velours rouge tombait magnifiquement jusqu'à ses pieds, ses épaules nues étaient recouvertes de ses cheveux lâchés légèrement ondulées toujours aussi beaux.

M: Tu as fini ton livre?

L: Oui, c'était très intéressant mais ça m'a un peu stressé.

M: Ah bon pourquoi?  

L: Je t'expliquerais une autre fois je voulais savoir ce que tu voulais qu'on fasse une fois à Barcelone. 

M: Euh... Au départ on voulait partir en Amérique mais...

Il caressa doucement le ventre d'Isa.

M: Une petite chose va nous empêcher de reprendre la mer!

Isabella sourit amusée et s'assit sur les genoux de son mari.

L: Alors? Que désire faire le capitaine?

M: Je pense qu'il faut mieux attendre la naissance chez toi, au château au moins tu seras en sécurité et le bébé aussi! Ca te va?

L: Je suivrais tout les ordres du capitaine Juan Carlos Mendoza!!! 

Le couple explosa de rire et sortit sur le pont.

Deux jours plus tard ils posaient enfin les pieds sur la terre espagnol dans la belle ville de Barcelone.

Les rues grouillés d'habitant, tous venaient achetés les marchandises apportaient des terres d'orient. Epices, étoffes de soie, pierres précieuses, les marchands venaient chercher leurs commandes et discutaient les prix entre eux. 

A cause de cette foule le couple prit près d'une demi heure à sortir du port. Une fois des les grandes rues de la villes ils purent respirer. Cette demi heure passer entre des personnes pressés et des chevaux avait été pour eux qui aimaient la liberté et les grandes horizons une véritable épreuve. 

Pour reprendre posément leur esprit ils décidèrent d'aller rendre visite à Paula qui habitait dans Barcelone même.

Arrivé devant l'immeuble Isabella eut un mouvement de recul et commença à faire demi tour. Mendoza la rattrapa et lui attrapa délicatement la main. 

M: Isa! Attend ne part pas!

L: Je suis pas prête Juan! Que va t'elle penser? 

M: Il faut un début à tout et rappelle toi ce qu'elle nous a dit le jour de notre mariage! Je suis sûr qu'en te voyant elle te sautera au cou! 

Laguerra prit alors une grande respira et main dans la main ils toquèrent à la porte.

Une seconde interminable à leur yeux s'écoula avant qu'un petit garçon ouvrit la porte de bois. 

M: Bonjour bonhomme!

Alejandro:  B-bonjour...Oh mais c'est tata Isa!!!!!!!

Quand le petit garçon reconnut sa tante et son oncle de cœur il courut  dans leur bras. Alarmé par le cri de son fils une jeune femme entra dans la pièce et en voyant sa sœur chérie, accroupit et serrant son fils elle manqua de lâcher sa fille qu'elle tenait dans ses bras.

Pa: Isabella? Juan? C'est bien vous?!

L:Oui c'est bien nous!

A c'est mot la belle bretteuse se leva révélant sa  grossesse à Paula qui écarquilla les yeux à en faire peur à ses enfants!

Pa: Je...je rêve! Tu es ENCEINTE??????

Le couple espagnol explosa de rire et le sourit aux lèvres Isabella expliqua.

L: Non non tu ne rêves pas même que tu es la première à l'apprendre après Juan.

Pa: Attend une minute il faut que je m'asseye.

Une fois dans le canapé Paula s'exclama.

Pa: Je savais que tu allais finir par venir me l'annoncer mais franchement je ne m'attendais pas à te voir maintenant! Dans ta dernière lettre tu étais en Inde et tu voulais reprendre l'aventure, aller avec Juan en Amérique  et là je te vois à Barcelone avec un petit bidou et une robe!!!

De nouveau Mendoza éclatèrent de rire et durant trois bonnes heures ils restèrent chez elle à discutaient des derniers mois passés. 

Seulement à 19 heures ils décidèrent de quitter les lieux car le jour commençait à baisser. Le mari de Paula leur proposa de les conduire en calèche au château car cette fois-ci il était dangereux pour Isabella de renter à cheval.

Il les déposa à l'entrée de la grande allée selon la demande de Laguerra. Même si ils devaient faire une bonne quinzaine de minute de marche avant d'atteindre le domaine, elle voulait se faire la plus discrète.  

Plus ils se rapprochaient du château plus la belle espagnole ralentissait. Mendoza commença à s'inquiéter.

M: Ca va? Tu es trop fatiguée? Tu veux faire une pose?

L: Non, non ça va ne t'inquiète pas je vais très bien et le bébé aussi j'appréhende juste de revoir Nany et Luis...

En disant cette phrase elle s'était arrêté pensive.

L: Je sais que Nany aimait profondément ma mère...je sais que je suis le portrait...de ma mère...et j'ai peur que ma grosses ne fasse remontait en elle comme en moi de trop mauvais souvenir....

Elle caressa tendrement son ventre et versa une larme sur sa joue rosée.

Mendoza la prit dans ses bras et la rassura.

M: Je suis sûr que tout ira bien. Même si cela fait remonter beaucoup de souvenirs ta présence et cette nouvelle que nous leur apportons les réjouirons, j'en suis sûr.

L: Peut être...de toute manière nous n'allons pas passer la nuit dehors.

Le marin sourit et main dans la main ils reprirent la route....


A suivre....





Voici le chapitre que je vous avez promis !

J'espère qu'il vous aura plu...

Bonne soirée 😘



975 mots

Mendoguerra depuis le débutOù les histoires vivent. Découvrez maintenant