Deuxième rendez-vous avec les deuxième boss

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Quand elle rentra chez elle, Orphely nettoya son appartement et prit un bain mousseau pour se mettre dans la future ambiance qui l'attendait. Elle enfila une longue robe couleur or avec une coupe au niveau des cuisses pour bouger confortablement. Elle prépara un gâteaux au yaourt avec un coulis d'ananas, le fruit préféré d'Orwell -elle s'en rappelait parce qu'elle l'avait vu en manger plusieurs fois quand ils étaient en maternelle. Quand elle le sortir du four, elle entendit la sonnette de son appartement. Elle enfila rapidement des chaussures plates et alla ouvrir.

Orwell se tenait droit devant elle, un sourire charmeur illuminant son visage et vêtu d'un t-shirt à manche court gris, un pantalon noir et une paire de baskets noires.

-Bonsoir, Orwell, dit-elle en souriant et en s'écartant pour le laisser entrer.

-Bonsoir, Orphely, répondit-il en entrant.

Elle referma la porte derrière lui et quand elle lui fit face, Orwell se baissa vers elle pour lui faire la bise, enflammant sa poitrine.

-C'est le dîner, dit-il en lui tendant les sacs en papier qu'il avait dans les mains.

-Oh, merci! Elle les prit et alla les poser dans la cuisine. Orwell la suivit en regardant son appartement.

-C'est jolie chez toi.

-Merci! J'ai dépensé toute ma première paye dans la déco.

-Tu as de bons goûts.

Orphely découvrit les plats pour voir ce que c'était et elle haussa ses sourcils.

-Un boil de fruits de mer?

-Oui, ça ne te convient pas? Il s'inquiéta. Tu es allergique?

-Oh non, mais j'ai jamais goûté.

-Tu seras surprise alors. C'est vraiment bon.

La secrétaire dressa les fruits de mer dans un plat et mit le tout au four pour le garder au chaud. Puis elle prit deux verres et sortit une bouteille de champagne de son réfrigérateur.

-Tu aimes le rosé?

-Oui, c'est parfait.

Elle versa le champagne dans les coupes et en tendit une à son deuxième patron qui l'accepta. Ils trinquèrent et burent une gorgée.

-Allons dans le salon, proposa Orphely.

Il s'installèrent sur le canapé en faux cuir noir et sirotèrent leur champagne tout en discutant.

-Ça me fait bizarre de te voir ici... avoua Phely.

-J'imagine. Ça me fait bizarre à moi aussi.

-Ah bon? Pourquoi?

-Je ne m'attendais pas à ce que tu acceptes. Je ne sais pas trop comment agir...

-Si tu es stressé tu vas me faire stressé aussi!

-Ahah, non, je ne le suis pas. T'inquiètes.

Ils burent une nouvelle fois de leur boisson.

-Tu sais, dit Orphely en déposant sa coupe sur la table basse, j'ai appris quelque chose sur toi aujourd'hui.

-Ah ouais?

-Apparemment, tu es un vrai tyran au boulot.

Orwell sourit en touchant sa barbe. Orphely se retint de crier. Il était trop attirant quand il faisait ça.

-Il faut bien que je me fasse respecter.

-Au point qu'on te traite de tyran? C'est pas vraiment flatteur.

Ps: J'aime ton corpsWhere stories live. Discover now