Résonance macabre...

114 16 80
                                    


C'est bon... J'ai fait d'elle mon esclave sexuelle. Je l'ai baisée pour la première fois. C'était tellement bon que je suis revenu pour un troisième round. Elle a voulu me frapper avec une batte. Trop mignon. Demain, je verrai comment elle finit. Avec ma torture psychologique.

** 

Ça fait si longtemps Carla... Cinq longues années, ta fille te remplace très bien. Je l'ai même foutu enceinte. Je lui ai fait avorter malgré elle. Eileen s'est améliorée très vite. À croire qu'elle est née pour faire ça. Ce n'est pas pour rien que je l'ai choisie. C'était un investissement sur le très long terme. Il est tout à fait rentable.

Eileen est la pute parfaite. Son coup de langue est magique, mieux que toutes les femmes que j'ai baisées. Son corps, sublime, il faudrait  juste que je lui donne un peu plus à manger. Plus ça va, plus Fernando et le doc me font chier avec Eileen. Je suis sûr qu'ils se sont entichés d'elle. Normal, elle est tellement mature et jolie pour son jeune âge. Moi-même je suis accro. Ma soumise, ma création, ma poupée.

Il n'y a pas une seconde où je ne pense pas à la foudroyer. Dès qu'elle rentre dans mon champ de vision, mon instinct sexuel me hurle de me vider en elle. C'est comme ça...

J'ai arrêté de l'enfermer dans la cave, en deux ans elle m'a prouvé que je pouvais lui faire pleinement confiance. Pas une seule fois elle a tenté de me tuer. Sans moi, elle n'est rien. Sans elle, je me perds.

Je la laisse même seule les journées. Elle fait le ménage, la cuisine, s'occupe en regardant la télé ou en lisant. Elle n'a juste pas le droit au téléphone et à internet. C'est trop dangereux. Elle ne doit pas avoir de connaissances sur l'extérieur. Il faut qu'elle soit dépendante de moi. 

Totalement.

Le soir je reviens de ma journée, comme d'habitude. Un silence anormal règne dans la maison, je sens une légère brise d'air. C'est bizarre.

— Eileen ?! m'écrié-je, inquiet.

Putain de merde, j'ai pas posté d'hommes devant la maison. Je me suis dit qu'elle ne tenterait plus. Si elle est partie...

Je me dirige vers la cuisine, une mare de sang, je crois d'abord qu'Eileen s'est suicidée. Mon cœur s'arrête. C'est alors que je remarque que le cadavre est celui d'un homme, je suis rassuré. Elle est à côté, la tête baissée, son corps tremble. 

— Putain de merde il s'est passé quoi ici ?

Elle ne bouge toujours pas, j'en déduis que c'est pas elle. Je me dirige vers la source de ce courant d'air. La baie-vitrée est brisée, le verre est éparpillé en totalité dans le salon. Elle a été cassée de l'extérieur.

— Je sais que c'est pas toi qui a voulu t'échapper Eileen, les bouts de verre sont pour la plupart dans la maison.

Je m'approche du cadavre. Elle n'y est pas aller de main morte. Je regarde son visage. Oh putain de merde. Mon âme hurle de rire. La vie est si bien faite, comment ce fils de pute m'a retrouvé ? Le frère de Logan, l'oncle d'Eileen.

Elle a tué le dernier membre de sa famille. Si ce n'est pas magnifique ! Dans tous les cas, je m'en serais occupé. la vie est juste si drôle, si ironique.

Eileen se plonge seule dans la solitude.

À cause de moi elle a même tué. J'adore. Elle aura tout vécu cette petite. Ça ne fait que fortifier son charme.

Bon, j'ai la trique. Je vais demander qu'elle me suce. À côté du cadavre de son oncle !

C'était parfait...

N'y pense plusOù les histoires vivent. Découvrez maintenant