Through the book | J.JK |

XXV-Vingtcinquieme chapitre

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Vingt-cinquième chapitre
Nos sincères condoléances

- J'aimerais savoir, comment tu as fait pour arriver ici. Qu'est-ce qu'il s'est passé avant que tu franchisses le livre ?

Je suis à présent seule avec Victoire, assise auprès d'elle sur le bord du matelas de mon lit. Le matelas de la salle de soins étant inconfortable, je lui ai proposé de venir s'allonger sous mes draps pour plus de confort. Il est maintenant l'heure de l'interrogatoire, ça fait donc quelques minutes que j'ai commencé à lui poser des questions sur la situation actuelle.

- J'étais auprès de la reine, dans ses appartements, lorsqu'un tremblement s'est fait ressentir. Un tremblement assez inhabituel je dois dire. Votre mère a ordonné à ce qu'on l'informe de ce qu'il se passe et Marlow est arrivé précipitamment, il a essayé d'articuler entre ses respirations saccadées, qu'il y'a eu un évadé.

Le tremblement s'est fait entendre même là-bas. Ils ont tous été informé de l'évasion.

- Je ne comprenais pas de quel évadé il parlait, du moins, à ce que je sache nous n'avions pas de prisonniers au palais.

Elle ne connaissait pas l'existence de l'Exil, tout comme moi avant que j'arrive ici.

- Et ensuite ? Je demande.

- J'ai voulu avoir plus d'informations et Marlow m'a juste emmené dans la bibliothèque pour que je puisse venir vous prévenir. Je ne comprenais pas vu que je ne savais pas où est-ce que vous vous trouviez. Et je me suis réveillée ici, où j'ai croisé la jeune femme qui était avec vous tout à l'heure.

- Elle s'appelle Antéa, je lui souris, ma grande sœur.

Elle écarquille les yeux, n'en croyant pas ses oreilles. Je ris doucement à sa réaction et lui répond :

- C'est ma grande sœur, elle a été envoyé ici par mon père.

- Oh ! Mais comment cela se fait-il que je ne connaisse même pas son existence ?

Je reste un moment à la regarder puis baisse les yeux. Sa question ma prise de cours, je ne sais pas quoi répondre, moi même je ne connais pas la réponse.

- Le roi a remplacé le personnel du château il y'a cinq ans de cela, brise le silence une voix féminine nous faisant tourner le visage vers la femme qui se trouve dans l'encadrement de la porte. Il a fait en sorte que le nouveau personnel soit d'un pays étranger pour que personne ne puisse rappeler le passé.

- Bonjour Isis, je la salue.

Elle sourit puis s'engouffre dans la pièce pour se placer debout à mes côtés.

- Le personnel étant étranger, aucun ne sait ce qu'il sait passer, ainsi que la cause de votre amnésie, poursuis Isis. Il n'y a que le servant du roi qui est resté.

- Marlow, je parle.

D'où le fait que je n'ai jamais eu le droit de sortir de l'enceinte du palais. C'est dur à admettre, mais mon géniteur est très intelligent. C'est à la fois admirable et effrayant. En parlant de mon géniteur-