That's why I love you, again.

By xOutsider

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« Allô c'est moi, tu te souviens ? » C'était juste un vulgaire message sur un vulgaire répondeur. Et pourtant... More

Allô, c'est moi.
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By xOutsider

- Elle, dit-il en pointant la maison dans laquelle nous étions tout à l'heure

Je restais sans voix. Il n'y avait pas que moi à cacher des choses ici. Étrangement, je ne posa aucune questions, cela ne m'intéressait pas de demander de grandes explications à Antoine. Je pris mon bus, laissant celui que je considérais il y a juste quelque heures comme simple « Drogué ». Il n'y avait eu aucun contrôleurs, la chance me souriait pour une fois. J'entrais dans la maison, il était maintenant peut être 18h ou plus, voir moins. En réalité, le temps filait entre mes doigts, et je n'arrivais à le stopper. Il y avait une chose que je ne devais oublier, ce soir je bossais à 20h précise, et je ne devais manquer cela pour rien au monde. C'était mon seul sursis, la seule chose qui pouvait encore me sauver. Alex était affalé dans le canapé, Noam, lui n'étais pas en bas.

- Noam il est où ? Demandais-je

- Re-bonjour, déjà, et il est couché, il était très fatigué je crois, dit-il

Comment pouvait il être déjà couché ? Il n'était pas aussi tard que ça, tout de même.

- Il est quelle heure ? Demandais-je paniquée

- 19h34 exactement, dit-il en regardant sa montre

Beaucoup plus que 18h.Merde. Il ne pouvait pas être cette heure là, le trajet ne m'avait pas paru aussi long. Le temps m'échappait beaucoup trop. J'étais paniquée, et Alex sembla le détecter.

- T'inquiètes, j'ai tout prévu, je t'emmène, dit-il en montrant des clés de voitures.

- Mais je n'ai pas ma tenue, et Noam, on vas pas le laisser se...

- J'te rappelle que tu l'a laissé seul toute la soirée d'hi...

- Merci de me rappeler que je suis irresponsable, dis-je

- Aaah Ana, tu me fais rire toujours à vouloir inverser les rôles, dit-il en riant. Bon sinon on y vas maintenant ?

- Ma tenue, je n'ai pas eu celle qui faut

- Tiens, il y avait ça dans la boîte au lettres, répliqua-t-il en me tendant un paquet. Par contre, tu leur a dis pour ta situation familiale ?

      Il avait les sourcils froncés, comme si quelque chose l'inquiétait à l'évocation de mon nouvel emploi. Je devais mentir, pas pour moi, mais pour le rassurer lui.

- Non, non, ils ne savent pas, c'est peut être mieux non ? Dis-je

- Oui, oui, c'est mieux, il ne faudrait pas qu'ils apprennent pour ta mère, dit-il on insistant sur le '' pour ta mère ''.

- Oui, oui, ne t'inquiète pas tout est sous contrôle.

       Après cela, nous étions partis, je m'étais changé à l'arrière de la voiture, en prenant soin de ne pas me faire voir par Alex, après tout, il restait un mec. J'avais pris mon service, et avait nettoyé les chambres libres qui Demain allaient être louées. Le ménage je savais le faire, ma mère était intransigeante là dessus, et que beaucoup d'autres d'ailleurs. Mais il était malheureux de ce dire, qu'aujourd'hui toute cette éducation, ne servait que lors de la mort du professeur causé par son élève. Triste réalité.

         Alex était venu me chercher deux heures plus tard, je ne sais pas comment je pourrais le remercier un jour. Cela me fait peur. J'ai peur d'être redevable de quelqu'un et de devoir des dettes, d'être sans arrêt sous pression, et d'être manipulable à souhait. Mais c'était Alex, et pour tout ce qu'il avait pu me confier, je ne pouvais le laisser. C'était comme si, pour une fois je voulais de pas décevoir quelqu'un. Je m'étais endormie presque instantanément une fois que mon lit m'avait englouti. Et je sombra dans un monde où tout pouvait reprendre une vie normale, un monde dont seul mon imagination et subconscient pouvait encore y croire. Cette imagination représentait l'espoir, tout autant que lui.

******************************

Quelques jours plus tard :

        Nous étions maintenant samedi après midi, mon frère était au foot avec Alex, pendant que moi je dormais un peu. Les services à l'hôtel me fatiguaient, les cernes semblaient déjà creuser leurs nids sur mon visages, je ne sais pas si j'allais pouvoir tenir le lycée et le travail, mais il me le fallait, pour me prouver que je pouvais le faire, pour lui prouver à elle.

           J'avais suivi les conseils de Joëlle cette semaine, je m'étais tu face à mon père. Un soir, il avait pleuré, il n'était pas bourré, alors je me suis forcée de le serrer dans mes bras, ça lui a fait du bien, à moi aussi. Il avait même pu garder Noam un soir après cela, j'en étais choquée mais heureuse. Seulement, hier soir, il a une fois de plus dérapé, après tout, rien ne pouvait être parfait dans la minute. Cela je l'avais appris, et malgré cela, je gardais espoir que mon père guérisse un jour, guérisse de sa mort.

           Aïden n'allait pas tarder, je pris une vieille veste en cuir à ma mère, une qui la représentait tellement, libre et folle de vivre. J'aimais mettre ses vêtements, que pourtant je n'appréciais pas vraiment, avant.  Je fermis à clé la maison, et m'assis dans l'herbe en attendant la venue d'Aïden. Aller à ce festival ne m'enchantais pas vraiment, pas seulement le fait qu'Aïden y sera présent avec moi, mais le fait qu'avec ma mère nous étions des habituées de ce genre d'évènement. J'avais peur de la réalité approchante, et du fait qu'un jour je devrais cesser de mentir. Et je repensa à ce qu'un célèbre auteur avait écrit dans le passé, " La vérité c'est une agonie qui n'en finit pas. La vérité de ce monde c'est la mort. Il faut choisir, mentir ou mourir. Je n'ai pu me tuer moi-même". Bizarement, ces phrases me représentaient, il était plus simple pour moi de mentir, que de révéler la vérité, et risquer de mourir de l'intérieur.

           Mes pensées se firent secouées par une grand brun.

- Ana, je suis là, tu me vois, où tu veux encore une fois m'ignorer, me dis Aïden.

- Commence pas, tu ne vas pas déjà me prendre la tête, répondis-je

- Ana, tu ne cesse de me prendre la tête, même quand tu n'es pas là, chuchota-t-il mais je pu tout de même le percevoir.

        J'ignora ses paroles, elles me monteraient à la tête sinon. Je regardais sa voiture, elle était un concentré de luxe, bien qu'elle ne soit pas grande, elle devait représenter à elle seule beaucoup plus que ce que je pouvais posséder, ou du moins avoir chez moi.

- Tu veux la conduire ? me demanda-t-il

        Ses paroles me firent une fois de plus frissonner, seulement cette fois c'était de peur. Les même images revenaient, de plus en plus fort dans ma tête. C'est sûrement bizarre à dire, mais elles semblaient cogner contre chaque paroi de mon crâne, me donnant la sensation que celui allait exploser.

- Je déconnais Ana, ne te mets pas dans un état comme ça, me fit-il un brin protecteur

- Ça se voit autant que ça que j'ai peur ? dis-je encore plus horrifiée

Son regard se fit alors perplexe, presque rempli de pitié.

- Pourquoi crains-tu autant que les autres puissent te voir avoir peur, voir même faible ?

- Parce que pour toi je suis faible ? Dis-je vexée

- Ana, tu n'es pas faible, mais si tu étais forte, tu saurais avouer ta douleur et faiblesses, tu n'aurais pas peur d'elles.

- De quelle douleur tu parle là ? Qu'est-ce que tu veux dire par là ?

- Montes dans la voiture.

Il voulait couper court à la discussion, et cela m'énervait. Pour une fois il contrôlait tout, je détestais ça. Le trajet se fit d'abord en silence, la plage se dressait peu à peu le long de la route, la musique semblait peu à peu faire entendre son échos. Nous avions dépassé le parking où nous nous arrêtions avant avec ma mere. Le parking le plus basique. En réalité, celui où nous allions avec Aïden, n'était pas l'habituel, il était réservé aux privilégiés. Réservé aux plus riches. Je n'aimais pas ça, me sentir mis en avant, me déplaisait au plus haut point. La musique ne devait pas devenir aussi commercial, du moins pas lors d'un festival. Il n'y a rien de mieux que d'être collés aux autres et hurler avec eux une musique que l'on connaît a peine, mais qui sur le moment, l'on connaît parfaitement. Être assis dans des fauteuils, sur des îlots en hauteur, et en robe de soirée, ce n'était pas ça vivre la musique. Aïden semblait lire le dégoût sur mon visage.

- Qu'est-ce qu'il y a encore ? Je te dégoûte à ce point, dit il mi vexé, mi-en colère.

- Non, mais je veux pas venir avec toi dans l'accès VIP, si je suis obligée de venir ici, autant profiter et vivre, vraiment, la musique.

- Pour une fois, ce que tu viens de dire est censé, et me plait, dit-il.

Je semblais déceler sur son visage comme un petit sourire, discret certes mais bel et bien existant. Grâce à moi, il allait pouvoir avoir une excuse, pour une fois ne pas être obligé de s'enfermer dans un monde, que si je comprends bien, il n'apprécie pas. C'est un comportement que je n'aime pas, mais que je ne peux juger, après tout je ne le connais pas. Une fois la voiture garée, nous descendîmes de la voiture, la musique semblait déjà battre son plein, elle semblait aussi m'appeler, je me surpris à courir légèrement vers l'entrée.

- Pour quelqu'un qui ne voulait pas venir, tu me semble bien enjouée, dit-il. En tout cas, c'est pas pour venir me voir que tu courirais comme ça.

- Pourquoi, tu voudrais que je cours vers toi ? Serais-tu déçu que je puisse préférer la musique à toi ? Dis-je en me rappochant doucement de lui

Ce jeu était dangereux et je le savais. Mais j'aimais bien ce genre de petit jeu, de drague peut-être. Seulement, je ne voulais rien, et c'était là le danger. Le jeu c'est sans règles, on peut en fixer, mais on ne se promets rien, cela me rassure. Je n'aime pas l'engagement, c'est sûrement pour ça que je n'ai jamais vraiment eu de vraies relations, je préfère m'arrêter avant. Les promesses ça déçois, un jeu, jamais.

- Ne joue pas à ce petit jeu, me dit-il tout en soufflant sur mon cou.

C'est comme si il lisait dans mes pensées, ou peut-être dans mes yeux, car il semblait les fixer, c'était une situation plutôt gênante qui me fit me renfermer sur moi même. Nous avions passées les barrière improvisées et marchions désormais sur le sable, j'enlevis mes chaussures, c'était sûrement moi classe, mais c'était tellement mieux. La musique pouvait vibrer à travers celui-ci, et alors la musique remontait en vous, c'était ma mère qui me l'avait appris.

Je culpabilisais d'être là et de pouvoir apprécier la musique dans sa totalité. Mais c'était plus fort de moi, elle m'entrainait, et les rythmes pourtant si durs et répétitifs de l'électro semblait m'envoyer dans un monde beaucoup plus doux. Je fondis la foule, et laissa la musique m'entrainer, je dansais ou me déhanchait peut-être, je ne sais pas, je laissais la musique faire ce qu'elle voulait de moi. Une bonne heure plus tard, Aïden me tira par le bras.

- Viens par là toi, je dois te surveiller, ordre d'Alex, et c'est pas en te collant aux autres que je vais pouvoir garder un œil sur toi, di-il en haussant le ton même si il semblait cacher autre chose

- T'as qu'à venir avec moi, plutôt que rester dans ton coin, dis je énervée

- Serais-ce une invitation à danser ? dit-il en riant

Je le frappais au torse.

- C'est pas vrai, t'es pas capable d'avouer que tu veux être en ma compagnier, et tu uses de méthodes pour que ce soit moi qui t'invites, dis je en riant. T'as gagner, viens...

Un sourire se dressa sur son visage, c'est fou comment un simple sourire pouvait rendre son visage aussi harmonieux.

- Viens on vas boire de l'eau, j'ai soif, dis-je

- Je te déteste Ana, tu ne fais que ce que tu veux

Son sourire s'effaça, mais le,mien apparu, comme un miracle. Aller au bar était une mauvaise idée, mais il était trop tard pour que je m'en rendes compte à tant.

- Anaaa !! Ca va ? fit-une voix derrière le comptoir.

Une chevelure blonde sortit de la pénombre, une ancienne amie à mère. Elle était bénévole au festival, et chaque année on venait au bar pour discuter avec elle et profiter, mais cette fois elle ne savait pas qu'iln'y aurait plus de mère et plus d'amie en face d'elle. Peu de gens savaient pour la mort de mère, au lieu de l'accident il n'y avait aucun témoin. La mère d'Alex étant avocate, avait tout fait pour faire taire l'histoire, pour me protéger étrangement.

- Ana, tu me reconnais quand même ? Mais où est ta mère ? Cela fait un moment que je n'ai pas entendu parler d'elle ? dit-elle tout en me regardant

Ma paix intérieure sembla s'éffondrer, mon visage prit alors une expression horrifiée, je le savais, je le sentais.

- Qu'est ce qu'il se passe Ana ? Tout vas bien à la maison ? J'ai entendu des bruits de couloir qui disait que tout n'allais pas trè...

- Tais toi, dis je haletante comme si je venais de courir un marathon entier.

Je m'éloigna très vite de cet endroit, presque en courant. Et m'assis sur le sable rafranchit par l'hiver approchant, seule et perdue face à la mer.

- Pourquoi tu ne veux pas avouer que ta mère est partie ? Me demanda Aïden qui m'avait désormais rejoins

- Qui t'as dit ça ? hurlais-je

- Alex, mais ne lui en veux pas, je voulais savoir la vérité, dit-il

- Il y a des vérités qui ne sont pas faites pour être dites, c'est comme ça, répondis-je sec

- Du coup pourquoi ta mère est partie ? Plus la peine mentir maintenant, dit-il

Alex m'avait tendu une perche en mentant à Aïden que je ne pouvais refuser, même si ce n'était pas tout à fait la vérité je pouvais me confier à quelqu'un désormais

- Mon père avait bu, cela faisait quelques temps qu'il déconnait, moi ce soir là, je n'ai pas accepté la détresse de ma mère. Elle est partie avec ses affaires, et m'a laissé seule avec mon frère et mon père alcoolique. Mais c'est de ma faute, tout est toujours de ma faute, dis-je en laissant couler des larmes

J'avais tout lâché d'un coup, en mentant certes, mais en essayant d'être le plus sincère possible. Paradoxable je vous l'accorde. Aïden séchait mes larmes, et me rpit dans ses bras. J'avais honte de m'avouer à lui de cette manière, c'est comme si quelque chose changeait entre nous. Ce sentiment de gratitude envers lui s'estompa rapidement et, je ne pu m'empêcher de le détester quelques secondes. Quelques secondes de trop, ces quelques secondes qui me poussèrent à lui poser la question fatale.

- Maintenant à toi d'avouer, dis-je en colère

- Avouer quoi ? dit-il surpris

- La mort, lui lançais-je

- Si tu parles de la mort de ma mère, je t'ai déjà tout dis, dit-il

- Non, je ne parle pas d'elle, mais de quelqu'un d'autre. Il s'est passé quoi cette nuit là quand elle est morte ?

- Putain Ana, t'es folle, je ne comprends rien, cria-t-il lui aussi

- Une de tes anciennes meilleures potes, il s'est passé quoi pour qu'elle meurt sous tes yeux ?

- Qui t'as dit ça ? dit-il calmement cette fois

- Antoine, dis je

- Je t'avais pourtant dis de ne pas le vo...

- Ne retourne pas la situation, le coupais-je. Pourquoi faut-il toujours que l'on crie entre nous, je déteste les cris, dis-je

Pour une fois, je ne mentais pas, je détestais crier depuis cette nuit là, et pourtant je le faisais sans arrêt. C'était comme si je m'infligeais une punition moi même.

- Viens avec moi sur sa tombe, dit-il

- Pourquoi tu me demande ça ? Tu sais que c'est horrible les cimetières, je n'ai jamais pu aller sur la tombe de ma mè...

- Sur quoi ? dit-il intrigué

- De ma grand-mère, mentis-je

Il ne semblait pas y croire à première vue, mais lâcha l'affaire, bien plus inqiuété par quelque chose d'autre.

- Elle détestait qu'on crie elle aussi, dit-il en équissant un sourire comme s'il venait de voir son fantôme. Viens avec moi, je n'y suis jamais allé, aujourd'hui je veux allé la voir. Mais je ne veux pas être seul, et puis elle déteste quand je suis seul.

Il parlait comme un bébé, comme si il était retourné à l'époque de la mort de cette inconnue pour moi, il devait être jeune. Beaucoup trop pour être confronté à la mort.

- Si tu viens je te dirais toute la vérité, ainsi plus de secrets, plus de raisons de crier. Et puis, prends ça comme un rendez vous, dit-il rieur en me regardant.

- Qui te dit que je veux avoir un rendez vous avec toi, je pense que tu m'en a assez fait voir de to...

- Tes yeux en crèvent d'envie, dit-il en me coupant la parole tout en se rappochant de moi.

C'était cliché, beaucoup trop pour moi, mais un frisson me parcoura la colonne vertébrale. Il se revela et me tenda la main, que je pris un certain temps plus tard, pour lui montrer qu'au fond je n'en avais pas vaiment envie, même si je crois, qu'à ce moment, une fois de plus je mentais, mais cette fois-ci, je me mentais à moi même.

// Nouveau chapitre désolé de ne pas en avoir posté plus tôt, mais je voulais prendre mon temps sur celui-ci même si il est loin d'être parfait. Laissez vos avis, et merci de mon continuer à lire malgré les pauses que je peux faire \\

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