Les Changeurs de Destins - Le...

By LovelyBurns

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Des êtres traversent le temps et l'espace pour changer le destin de certaines personnes. Aider le "héros", ch... More

Avant - propos
Prologue
Chapitre 1 - Des cris et de l'huile
Chapitre 2 - Bal et Baiser
Chapitre 3 - Messager et déclaration
Chapitre 4 - Révélation et Raison
Chapitre 5 - Mystère et alliance
Chapitre 6 - Mariage et Départ
Chapitre 7 - Route et Château
Chapitre 8 - Magie et Pantalon
Chapitre 9 - Cartes et Joker
Chapitre 10 - Combat et Mariage
Chapitre 11 - Maîtresse et Fils
Chapitre 12 - Savoir et Bibliothèque
Chapitre 13 - Les murs et les regards
Chapitre 14 - Messages et Réunion
Chapitre 15 - Froideur et Jalousies
Chapitre 16 - Forêt et Changements
Chapitre 17 - Disputes et baisers
Chapitre 18 - Noms et Choix
Chapitre 19 - Le regard de l'ourse et le corps de cheval
Le regard ambré
Chapitre 20 - Bébés et Prison
Chapitre 21 -Entraînement et mutisme
Chapitre 22 - Cris et Clé
Chapitre 24 -Tristesse et Désir
Chapitre 25 - Lien et Agathe
Chapitre 26 - La douleur de Zircon et le retour d'Onyx
Chapitre 27 - Lettres et Révélations
Les fraises et cerises
Les Cartes
Chapitre 28 - Peur et traîtrise
Les Changeurs de Destins - Grimvice
Chapitre 29 - Souvenirs et Solutions
Vacances
Chapitre 30 (partie 1) - Plan
Chapitre 30 (partie 2) - Plan
Chapitre 31 - Grotte et mensonges
Chapitre 32 - Le héros
Chapitre 33 - Antidote et Alliance (partie 1)
Chapitre 33 - Antidote et Alliance (partie 2)
Chapitre 34 - Annonce
Epilogue
Merci !

Chapitre 23 - Piège et Démasqué

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By LovelyBurns

Dans le chapitre précédent :

À petits pas, je refermai la porte puis découvris avec surprise un petit bonhomme assis à terre.

« Léandre, que fais-tu là ? » demandai-je, étonnée.

Le petit se jeta dans mes bras en m'avouant que je lui avais manqué. Je resserrai ma prise en essuyant ses quelques larmes qui restaient sur le visage. Je l'embrassai puis lui dis que je voulais marcher un peu. Avec ma démarche bancale, nous arrivâmes devant un escalier situé au bout du couloir. Les torches étaient encore allumées me donnant une bonne visibilité malgré le silence effrayant. Je descendis les marches ne sachant plus où elles menaient.

« Et si on allait voir l'Ourse ? » soufflai-je à mon acolyte.

Léandre ouvrit grands les yeux avant de faire mine de réfléchir. Il acquiesça enfin de la tête, mais avec une certaine hésitation que je prenais pour une légère peur. J'allais enfin pouvoir revoir Agathe et surtout lui parler.

***

Main dans la main, nous marchâmes en direction de la forêt, mais plus on avançait, plus je sentis Léandre se tendre. Je ne savais pas s'il avait peur de la forêt à cause de l'incident précédent, ou peur d'Agathe qui était une ourse. J'essayai de le rassurer en lui parlant doucement, mais après quelques minutes, je soupirai face à sa ténacité. J'espérai simplement qu'il ne ferait pas une crise de panique en voyant Agathe.

Malgré la nuit noire avec pour seul éclairage la timide lune, j'arrivais à me repérer. Je possédais une vision nocturne plus aiguisée qu'un simple humain. J'aurais dû être énervée, mais j'étais seulement surprise par ce nouveau don qui était bien pratique.

Je m'arrêtai au même endroit où nous avions croisé Agathe la première fois, mais il n'y avait personne cette fois-ci. Je criai son nom encore et encore tout en m'aventurant un peu plus loin dans la forêt. Malheureusement, aucun grognement ne me rendit mon appel. Déçue, je repartis vers le château.

« Léandre, qu'as-tu ? demandai-je, agacée par son attitude étrange.

– Je... Je suis désolé maman.

– Mais pourquoi mon coeur ? » répliquai-je en m'asseyant à sa hauteur.

Le petit garçon ne me répondit pas. Il pinçait ses lèvres tremblantes comme s'il avait réellement peur de moi. Je ne comprenais pas son attitude jusqu'à ce que j'entende des bruits de sabots. J'ouvris grands les yeux avant de soupirer.

« C'est un piège, n'est-ce pas ? C'est ton Père qui t'a demandé de rester derrière la porte de ma chambre, pas vrai ?

– Ne sois pas fâché, murmura-t-il d'une voix peinée.

– Ce n'est pas contre toi que je suis en colère. Tu n'as fait qu'obéir aux ordres de ton Père, » soupirai-je.

Léandre s'excusa encore et encore, mais je séchai ses larmes en lui montrant un grand sourire. Ce n'était pas sa faute après tout. Son Père avait fait exprès d'envoyer Léandre avec moi pour voir où j'irai dès que j'aurais été libérée. Le salaud avait même envoyé des centaures pour me suivre jusque dans la forêt. Ce n'était pas étonnant qu'Agathe ne se montre pas avec toutes ces créatures m'encerclant.

Les centaures chassaient la viande, et Agathe en était une. J'espérai sincèrement que Zircon trouverait un moyen de parler à Adonis à propos de sa meilleure amie. Elle ne devait plus rester aussi seule entre des arbres et d'autres animaux pour seuls compagnons. Je pouvais aussi plaider sa cause à Adonis, mais avant cela, une scène de bataille entre moi et mon mari se préparait.

Il allait me payer son envie de m'attacher, ainsi que toutes ses vérités qu'il me cachait depuis bien trop longtemps à mon goût. Mais je voulais tout lui révéler en face à face, c'est-à-dire sans ce maudit masque que je détestais. D'après ce qu'Adonis m'avait dit, il avait sûrement quelques cicatrices qui parsemaient ses joues et son front. Rien de bien grave, mais il semblait avoir été très touché par son changement de visage. Peut-être qu'il était extrêmement beau avant d'être défiguré. Je me demandai aussi comment il avait hérité de ses cicatrices. Une sérieuse bataille avait dû l'ébranler.

Je soupirai tandis que nous traversâmes le pont-levis dans un silence palpable. Je marchai avec Léandre pour l'accompagner dans sa chambre. Je m'endormis avec lui sachant qu'Adonis me surveillait de près. Je sentais presque sa présence derrière la porte de la chambre.

« Alors ? Qui est le Pendu d'après toi ? demandai-je tandis que Zircon et moi restâmes les bras croisés devant les cartes de Tarot dans l'immense salle blanche.

– Aucune idée... souffla-t-il une main sous le menton.

– On est censé faire quoi maintenant ? soupirai-je avec exaspération.

– Mettons un nom au hasard. C'est la dernière carte donc voyons ce qu'il se passe après avoir tout rempli même si c'est faux.

– Si un monstre apparaît, c'est toi qui te battras contre lui, » le prévins-je.

Il éclata de rire avant de mettre Esé sous la carte du Pendu.

« Qui est Esé ?

– C'est le petit à qui tu as donné naissance. »

J'hochai la tête, puis d'un coup la plume disparut ainsi que certaines cartes. Seuls le Fou, le Chariot, le Pendu et la Force restèrent. Nous nous regardâmes étonnés avant que je ne prenne la plume qui avait réapparu. J'échangeai les noms de chaque carte pour voir si elle s'évaporait, mais elles restèrent présentes.

« Peut-être qu'Adélaïde n'est pas la Force et Adonis n'est pas le Chariot, alors qui est-ce ? » souffla Zircon avant que la pièce blanche ne disparaisse.

Je clignai des yeux avant de les ouvrir. Léandre n'était plus à mes côtés et les rayons du soleil me chatouillaient déjà. Je m'étirai avant de sortir de la chambre du petit garçon. Je fus surpris de trouver l'homme aux longs cheveux blonds devant moi.

« Yinéka, laissez-moi vous reconduire vers votre chambre, dit Nomos en baissant la tête.

– Bien sûr, c'est gentil à vous, mais que faîtes-vous ici ?

– Adonis m'envoie vous quérir. Un grand festin se prépare.

– En quel honneur ?

– Le vôtre.

– Je ne comprends pas, dis-je en entrant dans la chambre où la baignoire était déjà remplie d'eau chaude.

– Il veut se faire pardonner, je suppose. Adonis ne sait pas se comporter face à une femme. Et certainement pas devant vous Yinéka. Pouvons-nous dire que la peur irrationnelle de vous perdre l'a amenée à vous garder près de lui ? Oui. Adonis est un bon Roi. Comme l'a été son Père, mais les démons de son passé le hantent toujours à notre grand regret. J'avais espéré que ses blessures seraient guéries, cependant ce n'est pas le cas. Je vous prie de l'excuser Yinéka. Pour sa maladresse, pour ses peurs, pour son passé. J'espère que vous aurez la force de dépasser toutes ces hantises Ambre. »

Après son discours plus qu'intense, il s'en alla en me laissant sans voix. Je réfléchis un instant à ses paroles puis me plongeai dans la baignoire. On disait souvent qu'on pouvait connaître une personne en simplement regardant et parlant avec ses amis proches. Étant donné que Régis, Nomos et Amédé se trouvaient à la réunion, je pouvais me baser sur leurs personnalités pour comprendre ce qu'était Adonis.

Amédé et Nomos m'avaient jusque là affirmé sur la bonne intention de leur Roi ainsi que sur sa peur qui gâchait tout. Il ne me restait plus qu'à discuter quelques instants avec Régis, mais je savais qu'il me farcirait les mêmes propos que les deux autres.

Que faire ? Pardonner Adonis ? Aussi facilement ? Il n'en était pas question. Qu'est-ce qu'il se passerait la prochaine fois ? Il m'avait déjà faite prisonnière et cela ne recommencerait plus. En plus de cela, il me faisait suivre. Je n'avais même pas pu parler avec Agathe. À cause de lui.

La colère reprit mon esprit tandis que je me frottais. Soudain, des jeunes femmes entrèrent et m'aidèrent à me préparer. Elles avaient apporté une magnifique robe ainsi que du maquillage et du parfum. Je les fixai sans dire un mot et elles n'ont plus restaient muettes. Je soupirai avant de me laisser faire. J'avais besoin de toute mon énergie pour ce festin en mon honneur. Lui crier dessus publiquement ne lui ferait certainement pas plaisir, mais s'il me poussait à bout en faisant semblant que tout se passait bien entre nous, j'allais hurler ma colère. Il m'emmènerait sûrement dans la chambre, mais au moins je pourrais lui révéler le fond de ma pensée, à savoir qu'il était un salaud possessif. Je n'avais pour l'instant pas d'autres qualificatifs pour le nommer, mais j'en trouverai bien sous le coup de la colère. Une très chère amie ces derniers temps.

Une fois prête, je marchai jusque dans la salle du trône et m'installai à table à ma place habituelle. Le déjeûner se passa comme hier avec Adonis qui vint, qui parla, puis qui s'assit sans m'adresser la parole. Mon état s'empirait à chaque bouchée de viande que j'ingurgitais. Je savais qu'il le sentait, comme tous les centaures présents dans la salle. Je fus surprise de trouver Claire assise à côté d'Amédé. Même si elle était mal à l'aise, elle essayait et c'était le principal.

« Ambre... » souffla Adonis, mais je l'ignorai et continuai de manger.

En regardant devant moi, je vis Emeline et Zircon à ses côtés. Tous deux ne parlaient pas, mais j'aperçus les regards discrets de mon ami. Je ne savais pas ce qui lui passait par la tête, mais être réprimandé par Adonis ne l'avait pas mis de bonne humeur.

« Arrête de le regarder, gronda la voix d'Adonis me surprenant.

– Quoi ? demandai-je en le regardant dans ses yeux gris colériques.

– Arrête de le fixer comme si...

– Comme si quoi Adonis ?

– Comme si tu l'aimais, finit-il par dire en serrant les poings.

– Joker est un ami comme Amédé est un ami. Je ne vais pas coucher avec lui parce que je le regarde un peu, » murmurai-je entre les dents.

Adonis lâcha un rire sans humour où il se moquait ouvertement de moi. Je n'en pouvais plus, un nerf éclata puis les autres suivirent. Je me levai rouge de colère et énonçai des insultes sans queue ni tête avant de réussir à faire voler son masque. Enfin je vis le visage de mon mari qui était trop abasourdi pour éviter mon regard.

Défiguré. Des cicatrices ornaient ses pommettes, mais le plus horrible était la peau lâche due à des brûlures. Ses traits prirent un air étonné avant de s'enfuir sous un masque sans émotion. Mais il avait sûrement vu mon visage prendre la couleur du dégoût pendant une seconde. Un visage que je regrettais dès l'instant où je le lui avais montré.

Je restai de marbre tandis qu'Adonis s'enfuit loin de moi. Son dos me narguait puis la porte se referma sur lui. En poussant un soupir vibrant de souffrance, je fermai les yeux et posai une main sur mes paupières. Même ainsi, je voyais encore son visage brûlé. Calciné.

J'avais pourtant vu son corps et ses innombrables cicatrices qui le recouvraient, mais la plupart s'étaient ternis avec le temps pour ne devenir que de vilaines petites coupures. La plus grande cicatrice ornait son dos en travers, mais ce n'était pas laid. Je ne trouvais pas que c'était horrible à voir. Mais son visage. On pouvait aisément qualifier son visage de laid, voire d'horrible.

Je laissai couler des larmes de peine, puis de rage. Comment pouvait-on s'en prendre à quelqu'un de cette façon ? Comment pouvait-on le défigurer à ce point ? C'était inhumain.

Mes lèvres tremblantes, je lâchai des sanglots bruyants, mais je n'avais que faire des autres en ce moment. Je n'arrêtai pas de penser à Adonis. C'était pour cela qu'il gardait un masque, pour cacher son visage. C'était pour cela qu'il avait peur, peur de me perdre quand je le verrais.

« Ambre, ce n'est pas ce que tu crois. Adonis est un bon chef, il nous a toujours soutenus, il est quelqu'un de bien à l'intérieur, plaida Amédé en bas des marches.

– Qui lui a fait ça ? demandai-je la voix tremblante par la colère en le regardant dans les yeux.

– Ambre ?

– Répond à ma question !

– Je... ne peux pas. Ce n'est pas à moi de vous dire...

– Arrête avec ça ! Dis-le maintenant ! criai-je plus fort, les ongles me griffant la paume des mains.

– Votre père, souffla-t-il en guettant ma réaction.

– Q-quoi ? demandai-je confuse, les joues striées par les larmes.

– Votre père a enlevé Adonis il y a plusieurs années parce qu'il était un centaure, un monstre pour les humains. Il l'a gardé captif et l'a torturé pendant des années avant que nous ne réussissions à le libérer. »

Je tombai à genoux ne tenant plus et laissai mes pleurs faire leur chemin sans cacher ma peine. Il y avait donc une bonne raison à ce qu'Adonis tue le père d'Ambre. C'était un monstre, le véritable monstre de l'histoire. Enfin, j'ouvrais les yeux sur cette affaire sordide.

L'être humain pouvait faire des choses tellement inhumaines. Simplement parce que le père d'Ambre et d'Alexandre ne connaissait pas les centaures. La connaissance est importante pour ne pas avoir peur. Mais le près d'Ambre n'avait pas cherché plus loin que leur apparence mi-homme, mi-cheval. Non, il les avait condamnés rien qu'à leur apparence, leur croyance, leur tradition différentes des siens. Il avait jugé sans connaître.

Je sentis des bras m'entourer. Ils m'emmenèrent en dehors de la pièce. Je suivis l'homme à mes côtés tel un fantôme. Nous arrivâmes dans ma chambre, Adonis n'étant pas présent. Je m'assis sur le lit dans un silence idiot.

« Tu aurais pu me dire qu'il était vraiment défiguré, ça m'aurait évité d'être aussi...

– Même si je te l'avais dit, tu n'aurais pas pu éviter le regard de dégoût, dit normalement Zircon. N'empêche c'était pas très sympa de m'avoir accusé de coucher avec toi. Il semblerait que le Roi soit jaloux.

– Normal qu'il éprouve de la jalousie. Il croit que je ne l'aimerais pas avec ce visage défiguré, déclarai-je en me mouchant le nez.

– L'aimez-vous encore ? demanda Amédé en entrant dans la chambre avec Claire dans ses bras.

– Bien sûr, dis-je en souriant. De toute façon, je suis liée à lui jusqu'à ce que la mort nous sépare.

– Même après la mort Ambre. Vous serez ensemble aux côtés de la Déesse. »

Je regardai Zircon d'un air entendu. Je ne serais pas avec Adonis. Après la mort, je serais près des Moires pour être de nouveau propulsée dans un nouveau monde dont je ne connaîtrais rien. Je souris à Amédé puis lui demandai où était mon mari. Il me répondit avec un air triste qu'il voulait être seul pour l'instant. Je regrettais tellement mon mouvement de dégoût.

Après quelques heures où je restais avec Amédé et Claire, je vis le jeune centaure se figer. Claire me rassura en m'avouant qu'il était ainsi quand il recevait un message télépathique. J'hochai la tête et attendis qu'il revienne parmi nous. Son visage triste ne me plaisait pas.

« Il veut que vous partiez. Ils vous donnent un cheval avec des provisions ainsi que des gardes pour vous escorter jusqu'à un royaume voisin où sont tous les survivants de votre seigneurie. J'ai essayé de lui parler, mais il ne veut rien entendre. Je suis désolé.

– Vous pouvez refuser de partir non ? demanda Claire.

– Je ne pense pas que le Roi soit du même avis. Il vous fera partir.

– Mais pourquoi ? demandai-je, abasourdie.

– Votre visage doit le hanter en ce moment.

– Dis-moi où il est, je vais le voir, annonçai-je en me levant.

– Je ne sais pas si...

– Amédé, tout de suite ! »

Il s'exécuta avec un soupir, mais je savais qu'il préférait me savoir ici plutôt que loin du château. J'étais en sécurité derrière ses remparts. Dans ce château.


Sinon, Adonis est enfin démasqué ! :3 Je pense que le chapitre suivant aura une petite scène romantique à moins qu'il y ait enfin la nuit de noce ! Je réfléchis encore x) Pas mal de révélations aussi, je sens qu'Adonis va raconter sa vie (enfin je l'espère à moins que ma cervelle n'en fasse qu'à sa tête...).

Il y a quelques soucis avec les cartes de Tarot que je rectifierai plus tard. Je suis en pleine révision (et période de stress) pour les examens, donc il n'y aura pas de chapitre la semaine prochaine.

Je pense que l'histoire va finir en moins de 30 chapitres les amis...

(Concernant les remarques de certaines (le fait qu'Ambre devrait être joyeuse que Léandre l'appelle maman ou qu'il faudrait approfondir les décors dans le chapitre du bal par ex), j'en tiens compte et je rectifierai tout ça après les examens)

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