Chapitre 4

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Mon corps était complètement rempli de puissance et de force et je le sentais ! Grablak était fasciné.

-Oh ma fille ton pouvoir est incroyablement.

Ça me gênait qu'il m'appelle sa «fille» , mais je n'ai pas eu envie de le blesser dans son ego, et encore moins qu'il me blesse.

Pendant plusieurs semaines, les entraînements étaient intensifs Ariuge m'apprenait à donner des coups et à les encaisser sans mes pouvoirs. Il m'arrivait d'utiliser mes pouvoirs accidentellement et le pauvre Ariuge en souffrait.
Grablak m'a appris lui a me servir de tous ces pouvoirs ,il m'avait appris qu'avec seulement mes mains je pouvais créer une arme ,j'ai réussie a faire sortir deux épées, mes mains aux coudes étaient bleu et je pouvais les faire apparaître et disparaître à volonté,mais malheureusement il arrivait que sans le vouloir elle disparaissent, c'était un peu normal que cela m'arrive étant donné que j'apprenais tout juste à me servir de la pierre , mais à chaque fois je me sentais découragée quand cela m'arrivait,Grablak mettait toujours une main sur mon épaule et me disait des choses rassurantes.

-On ne peut pas toujours réussir, il arrive qu'on échoue, mais cela ne veut pas dire qu'il faut abandonner, mais veut plutôt dire qu'il faut recommencer.

Ariuge m'a appris à piloter un vaisseau à partir d'une simulation qu'il y avait dans une des pièces du vaisseau,c'était comme un jeu vidéo, mais... Très dure... Il m'arrivait très souvent de m'écraser et je ne savais pas quand j'allais enfin être apte à conduire un vrai vaisseau.

-Déjà cinq semaines, le temps passe vite.

Ariuge avait l'air content de mes, soit disant progrès, mais pourquoi je ne l'étais pas moi ?

-Oui, cinq semaines, je ne tiens même pas mes épées à chaque essai et je ne sais toujours pas piloter un vaisseau durant plus de vingt minutes.

- Haaaa ! Ne sois pas si dure envers toi.

Grablak me plaisait de plus en plus, il était rassurant et m'avait tellement appris. Ariuge a mis une main derrière mon dos et m'a dit.

- Ne t'en fais pas, on ne fait pas des montagnes en cinq semaines, les grandes choses prennent du temps.

Grablak aussi a voulu contribuer à la gentillesse.

- Et puis tu tiens très bien la télékinésie, t'a réussie cela en seulement deux semaines, bientôt, tu sauras utiliser ta télépathie mieux que moi.

C'est vrai que la télékinésie était là choses que j'arrivais le mieux jusque-là. Nous étions dans une sorte de salon où deux grands canapés étaient face à face, Grablak prenait l'entièreté d'un seul, entre ces deux canapés une table basse, à ma gauche plusieurs grandes baies vitrées. Comme toute la pièce de ce vaisseau elle était extrêmement hautes, le vaisseau dans lequel j'étais était le vaisseau qui avait recouvert Paris le jour où tout, c'était passé, le vaisseau était donc immense. Je n'ai jamais demandé où était passé toutes les créatures, je n'en avais pas envie et cela ne me regardais pas. Et ma mère où était-elle ? J'ai été très occupé ces jours si, que je n'ai pas demandé.

- Grablak où est ma mère ?

Il regardait vers les grandes baies vitres un bras posé sur le dossier du canapé.

- Sincèrement Diana, je ne sais pas

Je me suis levée du canapé et j'ai regardé Grablak et Ariuge.

- Mais vous pouvez la trouver ne me dites pas le contraire. Dans cet immense vaisseau, vous ne pouvez pas me dire qu'il n'y a aucun moyen. J'ai vu Ariuge utiliser cette ordinateur avec un hologramme en forme de sphère dans cette pièce avec des ordinateurs, Siri à côté, c'est un débutant.

Ariuge regarde Grablak d'un air étrange.

- C'est qui Siri ?

J'ai regardé avec pitié Grablak qui était assis sur le canapé à m'écouter.

- Je t'en prie.

Grablak, c'est le levé du canapé et je l'ai vue partir,j'ai donc commencé à le suivre,Ariuge s'est levé à son tour et a commencé à nous suivre. Il avait l'air de se diriger vers cette salle dont je lui ai parlé. Nous étions dans cette immense pièce pleine d'ordinateurs et d'hologrammes, toujours une baie vitré immense. Tous ces ordinateurs servaient à quoi ? Il est clair qu'ils n'ont pas toujours été que eux deux dans ce vaisseau, mais où était passé tout l'équipage ? Grablak s'est assis sur le siège qui était en face de la sphère et un ordinateur à sa gauche. Il me demande.

-Quel est le nom de ta mère ?

-Amanda Silva.

Grablak commençait à écrire sur l'ordinateur et je me suis souvenue.

- Ah non, attendez, c'est son nom de jeune fille....

Grablak me coupe la parole.

- Il y a trop d'Amanda Silva sur Terre.

- Et bien son nom de femme marié en plus sera peut-être plus facile ; Vincent.

- Toujours pas.

- Ajoutez son adresse, je ne sais pas, ne me dis pas que c'est si compliqué que ça !

J'étais agacé, c'était comme s'ils n'avaient aucune envie de savoir où était ma mère, qu'ils ne voulaient pas m'aider.


- Quelle est son adresse ?

Je lui ai donné l'adresse de la maison dans laquelle j'habitais, d'ailleurs, ça me manquait,j'aimais tellement cette maison en bord du lac elle était si belle, si grande, si lumineuse, l'été, je me posais dans le jardin et je lisais un livre, je lisais et relisais toujours « Les Hauts de Hurle-Vent » et mon piano qui était dans ma chambre. C'est comme si mon passé était loin derrière moi et que tout ce que j'avais vécu, c'était un chapitre clos pour moi et que je ne pouvais plus jamais le revivre.
Grablak avait l'air d'avoir trouvé ma mère, il avait accès à mes caméras de sécurité, à son numéro de portable à sa carte de crédit, rien n'était un secret pour lui. Toutes les informations sur ma mère depuis sa naissance jusqu'aujourd'hui étaient à sa portée.
Je me suis précipitée vers l'ordinateur ; j'étais excité.

-Je peux faire une vidéo pour la lui envoyer ?

Ariuge avait l'air tellement inquiet.

- Tu es sûre de vouloir lui envoyer une vidéo ? Ça serait dangereux pour nous que ta mère sache que tu es dans un vaisseau dans l'espace.

- Si tu as peur que ma mère dise quoi que se soit à la police, tu n'as pas à t'inquiéter, et puis la police vas faire quoi hein ? Elle va venir en volant avec leurs voitures ? Ne t'en fais pas pour ça.

Ariuge m'a expliqué comment envoyer un message, Grablak lui était agacé et c'est levé du siège, j'ai pris sa place et je l'ai regardée partir . Qu'est-ce qu'il peut être condescendant quand il s'y met. J'ai à nouveau prêté attention à Ariuge qui était penché vers l'écran de l'ordinateur lui il était généreux à vouloir m'aider. Il s'est redressé et a comme il le fait si bien, a mis sa main sur mon épaule. Je ne lui prêtais pas la moindre attention, j'étais concentré sur l'ordinateur et il m'a dit.

- Je sais que ta famille te manque beaucoup, mais s'il te plaît, ne nous oublie pas, n'oublie pas tous les efforts que nous avons accomplis jusque-là. Ne nous abandonne pas, tu es et tu le seras toujours à ta place ici.

Et il est parti, je me suis posé un instant pour réfléchir à ce qu'il m'avait dit et il était vrai qu'ils n'ont pas était inutile dans ma vie, mais je devais parler à ma mère et lui dire que je suis en vie, que tout va bien et que je suis en bonne santé.
J'ai alors commencé la vidéo.

-Salut maman, tu dois te demander où je suis ...

SUPREME BLUEWhere stories live. Discover now