Chapitre 56 : l'après nuit féerique (1)

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Pdv de Caden

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Pdv de Caden.

En bâillant, je tends les bras, mes muscles s'étirent et le concassement de mes os fit entendre. Je n'ai pas aussi bien dormi depuis très longtemps. En sentant l'espace vide à côté, j'ai écarquillé les yeux.

« Non ! Elle s'est encore échappée ? » Me demandais-je alors que mes pensées se disputaient sans fin. Je supposais toutes les raisons pour lesquelles Erin n'était pas à mes côtés ce matin. Les doutes ont commencé à faire surface dans mon esprit, mais ont rapidement été remplacés par les arômes d'œufs et de saucisses.

Retournant les draps, je saisis mon caleçon et je le mis. Je me suis mis à suivre le parfum appétissant jusqu'à la cuisine. Et là Je me suis mis à sourire quand j'ai vu Erin.

Elle se tenait là à laver la vaisselle, son dos face à moi. Les belles longues chignons noires d'Erin lui tombaient à la taille. Le t-shirt surdimensionné qu'elle avait embrassé sur le haut de sa cuisse, coiffait ses fesses. Je savais sans aucun doute qu'elle ne portait aucun sous-vêtement et cela le rendait encore plus chaud. Excusez-moi, mais cette fille me rend dingue...

Ses jambes blanches et lisses restaient découvertes et ses ongles roses ondulaient au rythme imaginaire de la musique.

Elle était si belle, magnifique et enchanteur. Je n'imagine plus ma vie sans elle, cette fille me rend fou.

Je marchais lentement derrière elle sans faire de bruit, comme un tigre sur le point de se jeter sur sa proie. Erin jappa quand elle sentit mes deux bras se faufiler autour de sa taille et la tirer contre ma poitrine nue.

« Bonjour mon soleil » je lui marmonnais contre le crissement de son cou.

Erin sourit avant de fermer le robinet. « Bonjour mon amour, Je t'ai fait le petit déjeuner. As-tu déjà faim ?»

« Hmmm ... Tu me mets petit soin... J'ai tellement faim.» Ma main droite glisse le long de sa taille pour plier ses cuisses. « J'ai faim d'une tout autre chose. » J'embrasse le côté de son cou.

Erin rit doucement avant de fermer le robinet. « Chéri... » Me disait-elle en souriant. « Je suis sérieuse. »

« J'ai très faim de toi mon cœur. » lui disais-je en la dévorant des yeux.

« Caden, toute la nuit on a fait que çà... Arrêtons comme çà pour aujourd'hui. » Dit-elle alors que je forçais son corps à s'affaisser, ses jambes s'écartaient plus largement, ce qui permettait à ma main d'avoir un meilleur accès. « Nous devons d'abord manger. »

Je lui ai mordu l'épaule droite. « Je suis... »

Erin crie dans une douce plaidoirie. Son corps tremble contre moi alors que je continue à toucher, embrasser et mordre sa peau. Je ne pouvais pas en avoir assez d'elle. Peu importait qu'il y a moins de deux heures de notre dernier ébat, je la voulais encore.

J'ai poussé mon disque contre le craquement de son derrière, mon élan devenant de plus en plus puissant à chaque poussée. Mes doigts effleuraient légèrement sa cuisse, rencontrant très souvent ses lèvres, la faisant gémir. À chaque contact, je laissais ma main reculer pour plier sa cuisse, ne lui laissant pas la satisfaction dont elle a envie.

Je savais déjà qu'elle était mouillée et prête pour moi, mais je la voulais plus humide et encore plus chaude qu'elle ne l'était maintenant. Je voulais qu'elle sollicite mon toucher autant que le sien. Ma main gauche se faufile sous son grand t-shirt pour pincer son sein gauche. Avec mon ongle, je passe mon doigt autour de son aréole en évitant son mamelon sensible. Sa respiration devenait plus forte et plus rapide, l'avant de son corps reposait contre le comptoir de l'évier.

« Caden » me soufflait-elle à bout de souffle.

« Oui, mon cœur » je murmurais dans ses oreilles.

Elle ferme les yeux et sa tête tremblait. « Chéri. » me marmonnait-elle.

Je la colle contre l'évier, « Dis-le mon cœur » je réponds d'une voix enrouée. « Dis-moi combien tu me veux. »

Elle saisit ma main droite qui était entre ses cuisses. Plaçant avec force mes doigts contre sa chaleur humide, elle me demande: « S'il te plaît Caden, je te veux tellement en moi. »

Elle n'a pas eu à demander deux fois.

En quelques secondes, je la fis plier contre le comptoir de l'évier, ma banane claquant dans sa chaleur de soie humide. Les seuls bruits dans la cuisine étaient les cris d'Erin, mes gémissements et l'écho de nos frottements physiques.

« Caden je suis sur le point de jouir » criait Erin. Sur ce, je la serre plus fort et plus vite. « Je suis ... je ... » je mordis sur son épaule, « jouir ... »

La paroi vaginale d'Erin se contracte contre moi, son corps frissonnant, ceci sonnait le ko d'Erin.

Avec deux autres escarpins, je sortis d'elle et Nous nous sommes appuyés l'un contre l'autre, heureux que le lavabo soit suffisant pour supporter notre poids.

L'embrassant, je lui murmure: « Alors, maintenant on peut bouffer notre deuxième petit déjeuner. »

Erin a besoin d'amourWhere stories live. Discover now