Chapter 38 - excessive jealousy

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« Jalousie excessive »

J'avais l'impression de devenir complètement fou

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J'avais l'impression de devenir complètement fou. Putain, ce n'était pas possible, j'avais forcément mal vu. Camilla ne pouvait pas avoir embrassé ce connard d'Ethan ? Pas lui ? Merde, sept milliards de personnes sur cette foutue planète, et il avait fallu qu'elle embrasse ce connard en particulier, celui qui avait entraîné la chute de notre couple ? Mais qu'est-ce qui ne tournait pas rond chez elle ?!

A peine avait-elle passé la porte de la maison que je m'approchai d'elle, le regard noir de rage. Heureusement que nos parents étaient tous les deux au travail, et que John faisait encore la sieste, parce que je n'étais plus du tout en capacité de contrôler mes réactions,

— Ethan ? Sérieusement ? la réprimai-je.

Elle haussa les épaules d'un air désinvolte, retirant ses chaussures à talons.

— Putain, mais tu te fous de ma gueule ?

— Quoi ? lança-t-elle finalement.

— Pourquoi ?

— Pourquoi quoi ?

Elle parlait calmement, beaucoup trop calmement, alors que moi, je bouillonnais. Je n'en avais rien à foutre qu'elle voit un autre mec, qu'elle se trouve quelqu'un d'autre pour passer du bon temps. Mais pas Ethan.

— Pourquoi lui ?

— Qu'est-ce que tu cherches à savoir, Scott ?

Cette conversation ne menait à rien, et putain ça me rendait encore plus dingue !

— Tu te fous de ma gueule ?! Ethan, merde ! Comment est-ce que tu peux encore ne serait-ce que lui parler ?

Elle retira sa veste. Elle prit ensuite ses chaussures à la main et les emmena dans sa chambre. Je la suivis à la trace. Elle n'allait certainement pas s'en sortir comme ça.

— C'est un ami, répondit-elle finalement en rangeant ses affaires.

Je croisai mes bras contre mon torse en haussant les sourcils.

— Un ami ? Vous aviez l'air vachement amis quand vous vous rouliez une pelle dehors !

Elle fit volteface vers moi une fois ses affaires rangées. Cette fois, elle me fusilla du regard et pointa un doigt dans ma direction pour m'accuser.

— D'abord, on ne s'est pas roulé une pelle, on s'est simplement embrassé.

— C'est pareil ! la coupai-je.

— Et ensuite, j'embrasse qui je veux.

— Sauf les connards de première.

— Excuse-moi, mais de vous deux, pour le moment, c'est toi qui te comporte en connard !

We put a spell on us • Tome 3 [ TERMINÉE ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant