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On nous a donné, notre chambre, on aurait dit une suite d'hôtel. Enfaite il y avait deux chambres avec chacune une salle de bain et entre les deux chambres, il y avait une sorte de salle d'entrainement, des tapis étaient disposé au centre, et sur les côtés étaient disposé des meubles de rangement portant différentes armes, toutes en bois. 

On entrait dans cette suite par la salle d'entraînement, c'était tellement luxueux.

- Je vais me coucher, je suis fatigué. Lui lançais-je.

Il me fit signe et entra dans sa chambre lui aussi. Mon lit était immense et la salle de bain comportait tellement de produits de beauté. Ma garde robe débordait de vêtements luxueux et de sport, tout plus stylé les uns que les autres appart... une sorte d'uniforme? Il y avait mon nom. C'est bizarre, on n'a pas besoin de ça à l'université. Quelque chose vibra. C'était un téléphone posé sur ma table de nuit, apparement c'était le mien. J'avais reçu un message.

- Même salle de réunion, maintenant. (inconnu) 

j'alla de suite dans cette salle de réunion que j'avais quitté à peine quelques minutes avant. J'entra et vis Lucas déjà assis. Je tourna la tête pour voir, non pas l'homme de tout à l'heure mais Johnny. 

- Assieds-toi.

Je m'exécuta de suite.

- Il y a eu une erreur, vous n'allez pas à l'université mais au lycée. 

J'en restai choqué bien que c'était beaucoup plus logique. On n'allait jamais être crédible à l'unif avec nos gueules de gamins de 16 ans. 

- On à un petit problème à régler dans un des meilleurs lycée de Tokyo et vous êtes les seules qui peuvent être crédible.

on était donc pas les seuls apprentis espion ici.

- Vous vous ferez passer pour les enfants adoptifs d'un riche ambassadeur russe. Je peux pas vous donner plus d'informations pour le moment mais ça suivra. Tentez juste de pas vous faire cramer.

Il nous passa des fiches à tout les deux, il y avait nos horaires, notre carte d'identité ainsi que quelques infos sur nous entant que descendance de l'ambassadeur Russe. 

- Vous êtes arrivez tôt ce matin, donc vous commencerez les cours dès cette après-midi. Des questions.

Personne ne répondit.

- Bon, vous pouvez disposer. 

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- 私はあなたに新しい仲間を紹介します。

On était là, Lucas  et moi, en face d'une vingtaine de Japonais. Je ne comprenais rien à ce que la prof  me disait jusqu'à ce qu'elle me parle en anglais, ce que je compris tout à fait :

- Veuillez vous présenter devant toute la classe en anglais, la plupart sont très doué, ils n'auront pas de mal à vous comprendre.

Je m'adressa donc à la classe tout en parlant anglais.

- Bonjour je m'appelle Katerina et mon frère se prénomme Rafael. Des noms de code bien sûr. Nous venons de Russie et ferons de notre mieux pour apprendre vos coutumes et loisir. 

Je restai froide, un vraie russe quoi. Il n'y avait rien d'autre à ajouter et nous allâmes donc nous installer au fond. On nous scrutait, c'est vrai que 2 blonds aux yeux bleus ça ne passe pas inaperçu ici. Les cours passèrent très lentement, lors de la pause on se dirigea dans la salle de sport, on devait rejoindre le club de combat de l'école afin de continuer à s'entrainer. On entra et les élèves membres était déjà présent. Le prof nous appela en anglais, il était étranger.

- Hey les nouveaux, vous allez commencer. Au centre.

Je ne m'attendais pas à un début aussi rapide. J'étais la seule fille et j'entendis donc des rires vendirent de mes camarades. Ils ne savent pas à quoi ils s'attendent. On se plaça face à face, nous serrâmes la main puis nous mimes en position de combat.

- 3, 2, 1... Partez!

Je n'hésita pas une seconde et frappa franco, il esquiva et chargea à son tour. Notre combat dura au moins 20 min, et était plutôt sauvage. Je saignais du nez et l'oeil de Lucas commençait à gonfler. On nous avait formé comme ça, ne pas abandonner, on était de vrais bêtes. On ne s'essoufflait pas et nos camarades commençait à être effrayé. Le prof siffla:

- STOP! Stop. C'est bon vous vous êtes assez battus et vous n'y êtes pas allé de mains mortes dis donc. Dit il en regardant nos nouvelles blessures.

On en avait l'habitude, et depuis je ne ressentais même plus la douleur. J'aurais pu continuer ce combat encore longtemps. 

- Allez à l'infirmerie tout les deux, j'insiste.

On avait impressionné tout le monde. Ils nous regardait tous entre admiration et peur sauf un. Il rigolait, c'et quoi son problème? 



Wedding businessOn viuen les histories. Descobreix ara