Cette histoire parlera de Lucy, une étudiante du secondaire (belgique) de 15 ans qui un jour se trouve de force dans une organisation illégale qui marie les jeunes occidentales à de riches hommes du monde entier en quête d'Exotisme afin de les espio...
La peur avait laissé place à la haine. Je ne craignais plus Mark ni quiconque. Peu importe ce qui m'attendait, je n'allais pas me laisser aller et pleurer de nouveau, j'ai été trop sensible jusqu'à maintenant. Peut-être que si je faisais ce qu'ils me disaient, il me libéreraient? Toutes mes tentatives avaient échouées pour le moment alors plutôt allé dans ce sens là.
L'avion allait bientôt atterrir. Mark était au téléphone et parlait en Russe. Combien de langue connait-il? Il ne cessait de m'impressionner. Je n'avais pas remarquer mais ces yeux étaient d'un noir profond, près ce que envoutant et ces cheveux, bien que mal coiffé, était très beau. il me coupa dans ma contemplation en se tournant vers moi.
- Je vais te détaché, je te le rappel ne fait p...
- Pas de bêtises, oui j'ai compris. Le coupais-je.
Il n'a pas semblé apprécier. Il me détacha, ce qui fit un bien fou. Mes poignets étaient devenus douloureux à force d'être enchainé à maintes accoudoirs. je n'eus à peine le temps de pouvoir les masser qu'il me dit de me lever.
Nous descendîmes de l'avion. À l'arrivé nous attendait un autre homme accompagné de ce qui semblait être une sorte de major d'homme. Je dois dire qu'il était plutôt beau (pas le major d'homme hein).
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Quelque chose dans son regard me rappelait celui d'un dragon. Il semblait assez arrogant, lorsque nous arrivâmes tout près de lui il me regarda de la tête un pied, un sourire aux coins des lèvres. Il ne dédaigna même pas adresser une parole à Mark. Il me prit par le bras avec force et me traina jusqu'a une voiture noire avec les vitres teintées. Il me poussa dans la voiture et se tourna vers Mark.
- Le Boss t'appellera si il a encore besoin de toi, aussi non tu sais quoi faire.
En prononçant ces paroles, il lui tendit un téléphone, prépayé à mon avis. Il ferma la porte et fit le tour de la voiture pour ensuite y entrer, se plaçant juste à côté de moi. La voiture démarra et je vis Mark s'éloigner de plus en plus tant la voiture avança. La panique me prit de nouveau, que m'arrive-t-il donc? C'est un repère dans toute cette histoire turbulente que je venais de perdre. Je me retourna vers le type, qui me regardait avec mépris. Je ne pus prononcer une parole qu'il mit un sac noir en tissu sur ma tête. Je ne voyais plus rien. Qu'allait il m'arriver? Est ce que j'allais mourir aujourd'hui? Une boule au ventre commença à prendre place en moi et je me mis à pleurer. Ça en était trop pour moi.
- Juste histoire de précaution, si tu t'échappes, il ne faut pas que tu puisses conduire quiconque où nous allons en ce moment.
Il semblait amusé, je ne sais pas de quoi. Je n'entendais que le bruit des voitures autour de nous. Une autoroutes vue le nombre de celles-ci. Il quitta ce chemin pour passer par une route de campagne, je n'entendais que le bruit de la nature. Nous roulâmes encore 30min jusqu'à ce que la voiture se stop. Il m'enleva le sac et me dit:
- Ne fait rien de bête, suis moi et fais ce que je dis et il ne t'arrivera rien.
Il ne semblait plus du tout amusé. Il m'amena jusqu'a une énorme salle. Plusieurs chaises étaient disposées en ligne. J'en compta 5. Les deux premières étaient déjà utilisé par deux jeunes filles, à peu près de mon âge. Je n'étais donc pas seule. Il me plaça sur la troisième chaise et m'attacha les poignets aux accoudoirs. Il parti et je dus attendre 10 min avant d'être rejoins par un jeune garçon, de mon âge également qu'on attacha à la quatrième. La 5 ème quant à elle était vide, ainsi que la salle où nous étions. un grand silence pesait sur nous, ça en devenait près ce que insupportable. Je voulus articuler quelque chose lorsque j'entendis des talons claqués sur le sol. La femme s'assis sur une chaise derrière un bureau en face de nous et nous regarda. Lorsqu'elle posa le regard sur moi et me sourit, je reconnus cette hypocrisie, c'était celle de Huǒlóng.
