Et à la fin?

épilogue

Onze mois ce sont écouler depuis l’enterrement.  J’ai fini ma part du travail. J’ai distribuer les lettres et envoyer  les vidéos. Donner quand c’était possible les objets qu’il voulais que je donne a tel ou tel personne. Pour finir j’ai terminer son roman. Alors non ce n'est pas un roman, je ne peux pas appeler cette prose ainsi. C’est bien plus. Je dirais plutôt que c’est un témoignage, une partie de sa vie qu’il nous lègue. Son testament. Je crois qu’il est prêt. Du moins je l’espère.  Tout comme j’espére qu’il l'aimerais si il pouvais le lire. J’ai bien pris le temps me plonger dans  ce que lui, avait rédigé, avant de me lancer  et  d’écrire le dernier chapitre et l’épilogue.  Et avant de l’envoyé a son amie correctrice professionnel qui doit finir le travail pour lui.  Vous avez des questions je suppose ? Ce que j'en ai retenu de cette histoire  par exemple ? Beaucoup de choses en fait. Qui peuvent paraitre bête lancer comme ça.  Mais tampis je vais le dire. J’ai retenu qu’il faut se dire les choses c’est important.  Qu’il faut aimer la vie,  même si elle n’est pas toujours facile . Il y aura toujours des hauts et des bas. Mais bon sang la vie est belle. Qu’il ne faut pas juger les gens sans savoir leurs vécu. Qu’il faut vivre et laisser vivre toute choses toute personne en harmonie. La mort de Clark est une leçon de vie, tout simplement. Alors oui on fera tous notre deuil. On pensera de moins en  moins souvent à lui. Cela fera de moins en moins mal.  Mais on ne l’oubliera pas. Des fois je penserai à lui, imaginant un monde où Lise et lui vivent leur happy end. En  ayant appris de leurs erreurs et discuter. Un monde où nous mangeons des barbecue dans le jardin, et où mon ami ne développe pas cette horreur. Alors je pense à toute ses familles qui traverse ce genre d’épreuve.  On oublie jamais  Ça reste là dans la tête dans le cœur.  Mais le deuil se fait doucement mais sûrement.  Je verse une larme. Elle coule sur ma joue. Son image me reviens. Merci d’avoir fait partie de nos vie mon ami. Jamais je n’oublierai.
Dans quelque années si j’ai des enfants, j’irai m’assoir à l’ombre d’un jeune érable.  Je leur raconterais l’histoire de Clark. Celle d’un homme bien. Que la vie et les gens n’ont pas épargné. Mais qui as toujours su garder un cœur gros comme ça.  Une histoire qui commencera par « Il était  une fois… »