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Salam mes oukthys💓

Vous avez vu je me suis dit non j'ai pas le droit j'ai pas le droit de faire ça, mais c'est ma chronique c'est moi qui décide. Vous avez intérêt à commenter c'est vraiment une dinguerie ce que je fais.

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Tiktok: @moietmoi0.9

📸: @mes_oukthys.

Que allah vous ouvre les portes du paradis.

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Et c'est à ce moment-là que je me souviens d'une phrase qui était dans le livre, « ton mari fais tout pour toi, alors pourquoi toi tu devrais pas lui rendre en faisant ce qu'il veut aussi ».

J'allais avancer ma tête, mais j'y arrivais pas, j'ai un truc qui me bloquait, Zayr lui avait compris mon geste mais il savait pas quoi faire donc il a continué, il s'est penché vers moi, et il m'a embrassé.

C'était pas un baiser brutal mais plutôt un baiser tendre, qui me rassurait. Et je lui rends car ça reste dans les 2 sens.

C'était bizarre, dis comme ça mais mon ventre il a fait tellement de trucs d'un coup ça m'a fait tellement du bien. Carrément je me suis senti soulagé. Genre là, là, mais je me sentais trop bien. En fait, c'est parce que je savais que j'étais en train de bonnes mains, et je savais que ce qu'on faisait n'était pas hram. Carrément, c'était conseillé.

J'étais dans les bras de Zayr pas d'un autre.

Mais ouais, j'étais en train d'embrasser mon mari, d'embrasser Zayr pour la première fois. C'est à ce moment-là que je comprends qu'en faite j'ai eu peur de sa pendant quelques temps pour rien. Et franchement j'ai pas envie d'attendre quatre mois et de le faire de force parce que mon mariage va se casser mais le faire parce que j'en ai envie parce que lui aussi.

Quand on arrête, il me regarde, il sourit légèrement, son sourire me donnait tellement de bonheur. Il analyse mon visage de tout les côtés, il regardait même mon nez. Nos visages étaient toujours aussi proches. Il me lance un regard que moi seul pouvait comprendre et j'hoche simplement la tête lui faisant comprendre que je suis d'accord que je suis consentante.

Quand il me ré-embrasse il me touche légèrement le dos mais j'ai un flash back me revient à l'esprit ça commence par Yacine me serrant le bras pour ne pas que je m'en n'aille. Je frisonne d'un coup ce qui arrête directement les gestes de Zayr.

Il me regard avec incompréhension, je lui souris pour lui dire que ce n'est rien. Il reprend avec quelques secondes d'hésitation. Il encercle ma taille avec ces bras mais le flash back de la deuxième personne qui a essayé de me violer devant mon lieu de travail, cette homme a essayé de me prendre ma virginité alors qu'il n'était pas mon mari. J'arrête soudainement tous mouvement, j'avais plus l'impression que c'était mon mari, mais un autre qui me touchait. J'attrape automatiquement la main de Zayr. Il se braque dès qu'il comprend que il y a un truc qui ne va pas.

Zayr: Selma ? Sa va ?

Je lui souris et je l'embrasse direct Pour essayer, au moins de faire semblant que je vais bien, mais je me sens vraiment pas bien. J'ai le cœur qui fait que s'accélérer de peur. Mais quand je m'arrête, et que je vois le visage de Zayr ce n'est pas son visage, que je vois, ni celui de Zafar entrain d'arracher mes habits. C'était plus fort que moi. J'arrivais plus.

Je gifler Zayr. Je n'y arrivais pas, j'ai cru que c'était lui. J'ai cru que c'était Zafar.
Il ne bouge même pas d'un poil en même temps ma gifle n'allait rien lui faire. Mais ce qui lui fait quelque chose, c'est que je l'ai gifle pour aucune raison.

J'ai tellement peur que je l'ai repoussé violemment. J'ai toujours cette impression que c'est lui, j'ai l'impression que c'est Zafar.

Moi: DÉGAGE T'APPROCHE PAS DE MOI DÉGAGE.

Je me met à courir comme une folle vers la chambre. J'ai même presque failli tomber dans les escaliers en courant comme une hmara.

Zayr na rien dit il a pas encore assimilé ce qui viens de ce passer. Je suis rentré dans la chambre, et j'ai claqué très fort la porte en m'écroulant devant la porte. Et je mise à pleurer. Je me sentais trop mal, de ce que je venais de faire mais à chaque fois que je vois son visage je vois Zafar, Yacine, et l'autre.

Je ne sert vraiment à rien, c'est beaucoup trop grave je ne suis vraiment qu'une putain d'imbecile. Je me lève sur un coup de stresse ma main ce met a trembler vaguement et mon cœur s'accélère vaguement.

Début de crise d'angoisse.

Je me lève et par dans la salle de bain et je me met à mettre de l'eau sur le visage pour me réveiller une bonne fois pour toute de ce cauchemar. Mais sa ne marchai pas.

Car c'est la réalité Selma.

Je me regarde dans le miroir et je vois subitement l'hombre de ces trois hommes derrière moi. Je me met à tapé le miroir jusqu'à qu'il ce casse. Mes mains étaient en sang mais je ne m'arrêtais pas pour autant. Je continue à casser le miroir même si il était déjà en miette.

Zayr viens par derrière et m'arrête les mains mais je n'arrêtais pas de me débattre pour autant. Je continuais sans relâche.

Mais il était beaucoup trop fort pour moi. Je me retourne et le regarde et ce n'était pas mon marie mais le visage de ces trois hommes qui était devant moi. C'était un boomerang un coup c'était l'un puis l'autre. Je le repousse.

Moi: ne t'approche pas de moi !!!!

....

Moi: Zafar tu me touche encore et je me tue.

Zayr: Zafar...

Moi: NE T'APPROCHE PAS DE MOI, J'AI DIS !!!!!!

Zayr: ce n'est pas Zafar, Selma.

Il me prends d'un coup les deux épaules et commence me les secouer je ne me débattais pas j'étais littéralement épuisé.

Zayr: T'ENTENDS C'EST PAS CE FILS DE *** CEST PUTAIN DE MOI.

Moi: ya... Yacine lâche moi...

Je me remet à me débattre d'un coup de je m'éloigne de Zayr. Puis je prends un des gros bout de verre. Et je la position devant le cou de Zayr, pour le menacer.

Moi: approchez vous de moi, et je vous tue.

Je voyais plusieurs visages en boomerang sur celui de mon mari je n'avais même pas la tête à penser que c'était mon Zayr.

Moi: NE VOUS APPROCHEZ PAS DE MOI.

Zayr: Selma c'est moi.

Il prends mon bras et l'abaisse petit à petit pour ne pas blesser qui que ce sois.

Et s'en n'avoir aucune possession de mon corps je prends le bout de verre dans ma main et le coupe la main. Je lâche le bout de verre. Et de fatigue je m'écroule au sol. Mes pupilles ce ferme petit à petit. Et je fini par être dans un noie total.

C'était peut-être mon heure.

Z A Y R

Selma - ce que je ressens {RÉÉCRITURE}Où les histoires vivent. Découvrez maintenant