Selma - ce que je ressens {RÉÉCRITURE}

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salam aleykoum wa rahmatullah wa barakatuh 💕

Que allah vous ouvre les portes du paradis.
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Ma foi était parti d'un coup j'étais plus moi j'étais Selma mais pour moi cette Selma était morte. Quelques secondes quelques minutes en une fraction de miliminutes j'avais tout perdu tout.

Qu' الله me vienne en aide.

Quand il a fini son « boulot » il est parti, je me suis allongé sur le sol très très difficilement avec les bleus les coups et tout les restes. Je me suis levé et j'ai essayé s'ouvrir la porte mais elle était restée bloqué. Je me suis rallongé dans une coin j'ai essayé de mettre mes vêtements mais il était déchiré, je l'ai met par dessus moi pour faire office de couverture, je me suis mise en boule et j'ai pleuré sans m'arrêter, j'étais tellement mal.

Mon cœur saignait.

{...}

Je me suis réveillé grâce au rayon du soleil, mais ? Dans une cave il y'a pas de soleil. J'ai ouvert les yeux et j'ai vu que j'étais sur le sol, il qu'il y'avait des gens autour de moi. Je comprenais pas ce qu'il ce passait. J'ai regardé comment j'étais.

Moi: ho putain.

Et là je me suis presque effondrée sur en larmes. J'étais en soutien gorge culotte en plein milieu de mon quartier. Non c'était un cauchemar ce n'était pas possible.

Imaginez la douleur, la douleur que ça m'a fait me faire violé la veille et me faire humilié le jour. Je suis mise en boule sous le regard des TDMS qui était entrain de me traiter de « pute » et d'autres ce moquer de moi. J'étais tellement mal. J'ai pleuré tellement pleuré, j'ai mis les bouts de vêtements qui étaient à mes côtés sur moi, mais ont voyait presque tout.

...: qu'est-ce qui ce passe là?

Je reconnaissais cette voix.

...: Selma ?

Je relève mon visage et je vois Zayr. Une autre humiliation pour moi. Tout s'enchaînait.

Zayr: Ho putain Selma.

Il a enlevé sa veste en vitesse, et la posé sur moi, comme elle était assez grande elle m'arrivait aux genoux, presque. quand les gaz du quartier ont compris qu'il me connaissais il ont arrêté, il m'a pris sous son aile, et nous sommes parti sous les regards. Nous rentrons dans mi. bâtiment et nous montons les escaliers de chez moi son bras autour de mon cou, pour que la veste soit bien mise. Sur le coup j'y avais pas pensé mais son parfum était incroyable.

Arrivé devant chez moi mes pleures non fait que grossir, j'avais honte de rentrer chez moi j'avais honte d'être une Ben Khelif mon nom de famille n'était pas digne de moi. Je me suis arrêtée à deux marche près de ma maison. Mon cœur battait tellement.

Zayr: Selma ? Ça va ?

Moi: non non, non non, sa vas pas.

Je me suis effondrée sur la marche d'escalier. Et j'ai pleuré toutes les larmes de mon corps. Je n'avais pas à cacher ma haine et ma douleur. J'avais mal. Trop mal. C'était la pire chose qui pouvait m'arrivez, j'avais mal partout.