Le mektoub...

Lui: allo...

...:...

Lui: oui.

...:....

Lui: maintenant ?

....:...

Lui: ok j'y vais.

Il me regarde d'un air coupable.

Zayr: est-ce que ça te dérange de passer chez moi je dois chercher un truc.

J'hausses les épaules après tout ça me dérangerait pas vraiment de revoir Khelti.

Nous nous garons devant un palace carrément mash الله. C'était trop beau, vraiment c'est trop beau. C'est incroyable a voir c'est trop. Mais me dites pas qu'il habite ici. Wsh il est devenu riche enfaîte.

Ont sort de la voiture. Il me demande si je veux rentrer et purée sa maison était incroyable. Mash'Allah. Je rentre et visite l'endroit de loin avec mes yeux.

Je cherchais du regard la mère de Zayr je ne voyais rien et n'entendait rien. Même pas un son a par nous.
Zayr lui était entrain de rechercher sur sa table des documents.

Moi: Zayr, elle est où kehlti ?

Il ne se retournais pas, trop occupé à chercher c'est papiers.

Moi: Zayr elle est kehlti Salia ?

Toujours rien.

Moi: Zayr je te parle.

Je m'approche de lui et l'attrape par l'épaule pour qu'il me calcule, mais quand j'ai vu son regard sa m'a refroidi. Il ne pleurait pas non.

Mais il avait les yeux rouge, il se retenait. Et il était pâle. Je ne voulais pas et je ne pouvait pas le voir comme ça.

Moi: Za-

Zayr: Elle est parti.

Non, non, putain non. Il se trompe il se trompe. Je ne comprenais pas de quoi il parlais, c'est sûrement qu'il a mal construit sa phrase.

Moi: comment ça elle est parti.

Moi: COMMENT ÇA ELLE EST PARTI ZAYR.

Zayr: Selma ma mère est morte.

Et la, et la.

Je fond. Pas elle. S'il vous plaît. Je me suis écroulé au sol. Mes mains commençaient a trambler, et j'avais des gros coup de vertige, je n'arrivais plus à respirer correctement, je me sentais étouffée.

J'avais une crise d'angoisse...

Ça ne mettez pas arrivé depuis un pti moment, mais c'est dernier temps j'ai reçu beaucoup trop de pression pour pas en faire une, mais je me doutais que si elle se déclenche elle serait plus grosse que la moyenne. Car y'a eu trop d'accumulation et à par la prière rien ne me calme.

Vraiment rien ni personne.

Je tremblais, pleurais, et suffoquais. Tout cela en même temps. Zayr c'est abaissé à mon niveau et c'est accroupi, il essayer de m'aider mais voyait que j'étais carrément sur point de mourir.

Il me prends en sac à patate et me ramène dans une salle, c'était surment sa chambre. Il me pose directement sur le lit.

Zayr: t'a mal où ?

J'avais du mal à répondre. Mais je fesais de mon mieux.

Moi: a...au c...coeur.

J'avais l'impression qu'il allait ce déchirer en deux, mon cœur me faisait terriblement mal. C'est battement était tellement accéléré que j'avais l'impression que c'était la fin.

Il sort de la chambre et part dans une autre pièce, j'entendais l'eau couler. Et quand il revient, il revient avec un coran et c'est ablutions. Cette action me fais sourire de bonheur. Il s'assoit près de moi, et me demande d'un geste si il pouvait me touchée pour toucher la partie du cœur. J'aquiesce. Il pose sa main, et cela me fais frissonner, mon anxiété ce calma juste au toucher de sa peau.

Avec ma main je recouvre la sienne qui était sur mon cœur et je la serrais fort. Il a ouvert le coran et a commencé à récité, et Mash' الله qu'elle belle voix vraiment. Sa m'a fortement adoucie, الله + Zayr sa calme mon anxiété sa j'en suis sûr.

{...}

Je me réveille grâce au lumière du rayon de soleil de la chambre de Zayr, je m'étais endormi ici c'est vraiment. Je regarde dans les alentours et je vois Zayr assis sur le canapé de la chambre en attendant mon réveil surment. Je descends du lit et prend une couverture avant de la mettre sur lui. Mais celui-ci m'attrape la main et me tire vers lui. J'ai cru qu'il dormait.

Oh la hmara j'y ai cru.

Zayr: tu peux pas t'empêcher de prendre soin de moi.

Moi: et toi non plus.

Zayr: parce que ce toi et pas une autre.

Argh cette phrase...

Selma - ce que je ressens {RÉÉCRITURE}Where stories live. Discover now