Adem: Yemma,

Il l'appelait aussi Yemma il l'a considérait comme telle.

Adem: laisse, s'il te plaît, smeh pardonne cette hmara d'avoir pleuré comme une idiote.

Je lui ai souris malgré son insulte je savais ce qu'il aller demander a ma mère.

Adem: Yemma laisse la dormir le week-end. S'il te plaît je lui prêterai mes habits.

Ma mère c'est baisser afin d'être à son niveau.

Yemma: ti a raison c'est hmara est vraiment idiote, mais parce que ti m'a demandé gentiment mon fils. Elle peux.

Je commencer à sautiller de partout et j'ai fait plein de câlins à Adem.

Et c'est jour là que j'ai ressenti des sentiments amoureux à son égard.

-FIN DU FLASH-BACK-

Mais pas aussi fort que se que je ressens à l'égard de Zayr.

Adem: oui d'ailleurs a l'ancienne tu m'aimait.

Je reviens dans le monde réel la phrase de Adem que je n'avais a penne écoute retentit dans mes oreilles.

Moi: t'a dis quoi ?

Adem: laisse tomber.

Il rajoute un rire moqueur. Je suis dans l'incompréhension totale, je n'avais réellement pas entendu se qu'il a dit. Mais bon ça ne devait pas être si pertinent sinon il l'aurait répété.

{...}

Je vous passe une semaine.

Intéressant mais c'est passé à part les larmes qui coulaient tous les jours le savoir loin de moi mais tue de l'intérieur. Cela me faisait du mal de savoir queil m'avait lâché mais je ne comprenais toujours pas ce qui lui a pris. J'avais toujours cette impression que cette personne qui m'avait parlé n'était pas réellement lui, que si mots il ne le pensait pas. Il est pas comme ça. Je le sais. Les nuits je dormais pas malgré que je sois chez Adem. Cela m'était difficile de penser à autre chose plusieurs fois Adem m'a vu pleurer, mais je la m'étais sur la cause du manque de mon père, et lui aussi me manquai.

Je ne préférais ne rien lui dire il aurait pu en déduire qu'il ne me méritait pas sauf quel me méritait et je le méritais.

Ou non.

Aujourd'hui je vais au travail j'ai emménagé chez moi hier soir, elle est belle ma maison et je suis contente, Pour mentir en train d'intérieur j'ai pleuré, vous savez pas à quel point ça fait du mal de se rendre compte que la personne qui a choisi cette maison avec vous, vous déteste au point de vous tromper alors que vous l'aimiez.

J'ai craqué encore comme toutes les nuits encore.

Bon passons à autre chose. Aujourd'hui j'ai travailler, je devais partir chez Aya pour lui raconter tout ce qui c'est passé dans l'histoire. En parlant d'Elle  je sais pas si je vous l'ai déjà dit mais, Sofiane et partis voir c'est parents pour la khtob askip sa c'est bien passé.

Donc elle me racontera en même temps. Je sonne, et elle m'ouvre. Ont ce fait la bise et le rentre. Je vois c'est parents et comme je les considères comme les miens je les Salam, ils ont été présent pour moi à la mort de mon père Allah y rhamo et au départ de ma mère. Ils m'on soutenu même si je vous l'ai pas trop dit. Bon je vois Sofian sur le canapé il était entrain de parler avec le père de Aya de base, mais il se lève pour me Salam.  

Sa se voyait Aya elle était bad stressé.
Elle me chuchote:

Aya: vn ont s'assoit dans la cuisine.

Je le suis et on s'apprête à aller dans la cuisine. Je me suis assise sur une de ces chaises. Et elle a commencé à me raconter son stresse et le fait que Sofiane et elle allait bientôt se marier. Même si je sais que c'est mal d'envier et de jalouser quelqu'un je le reconnais les paroles de Aya me procure énormément D'enthousiasme pour elle mais d'un autre côté de la jalousie, car elle a eu cette cette chance de trouver le bon, fidèle. Mais pourquoi pas mon côté aussi.

Ont discutait, quand je sens le grincement de la terrassa qui était dans sa cuisine grincer, je me retourne, et vis sont visage.

Il avait perdu toute sa beauté, c'est cernes était remarquable, et son manque de nourriture aussi, mais je ne préfère pas m'attarder là dessus.  Il était en face de moi.

Zayr...

Selma - ce que je ressens {RÉÉCRITURE}Où les histoires vivent. Découvrez maintenant