Quand j'ouvre la porte de la voiture mon sourire disparaît au flashback, quand il m'a embarqué pour me ramener dans une cave. Je secoue mon visage à cette pensée qui me fait frissonner.

Mais qu'est-ce qui m'arrive aujourd'hui...

Je reprends un visage neutre car y'avait Zayr qui était là.

Moi: salam.

Zayr: Salam.

Il ne put décrocher un mot que la porte s'ouvre sur Aya en pyjama qui est presque essoufflée. Je souris en la voyant.

Aya: j'ai cru vous étiez partis.

Je souris, c'était amusant de voir combien elle fesais des efforts pour ne pas que nous soyons dans le hram lui et moi. Après je fesais la même chose avec Sofiane et elle, mais bon, en se moment je la voyais de moin en moin avec, surment le début d'une long histoire... Je souris en pensant à cela. Mais un nouveau flashback apparaît celui oui il me touche et me déshabille, j'essaye de rester neutre.

Zayr fini par démarrer. Je ne parle pas, j'en n'avais aucune envie puisque tout ce qui ce passe dans ma tête m'en n'empêche. Zayr n'arrêtait pas de me fixer, mais moi je n'étais comme plus la, car je combattais contre moi même.

Zayr: Selma sa va ?

Je redescends de mes fâcheux esprits, et regard Zayr, et fais un faible sourire qui sonnait faux pour ma part, j'espère qui ne l'on pas remarqué.

Zayr fini par se concentrer sur la route malgré c'est nombreux doutes qui eux sonnaient vrais. Mais je pense que c'est la dernière chose dont j'ai envie de parler. J'en n'aurais parlé à mon père.

Mais il est plus là Allah y rhamo...

Une larme lutte a coulé sur ma joue, mais je ne peux pas. Mais elle fini par couler mais je me retourne fesant penser que j'avais sommeil.

Après quelques minutes de trajet je suis devant mon travail, je Salam Aya qui était entrain de dormir derrière et Zayr. Il ne me croyait pas sa se voyait dans la façon de me regarder. Il finit par partir. Je me dirige vers le resto quelques flash viennent ce qui me montrent que je marchais en pyjama. Je secoue mon visage pour essayer de « revenir a la réalité ». Je rentre, il n'y avait personne aujourd'hui.

Quand je rentre dans la réserve je vois Mohemed, le meilleur collègue du monde ce gas. Ont n'a commencé à laver les assiettes ensemble. Il m'a raconté ce que j'ai raté hier comme j'étais pas venue. Il a tous pour me faire rire.

Mohamed: ahhh emplus c'est vrai j'ai oublié je vais me marier Samedi avec Sofia.

Je lui fais un câlin, j'étais très heureux pour lui il a vécu beaucoup de choses avec elle avant tout ça. Il m'a un peu tout raconté, et c'est drôle puisque parfois je lui donnait des conseils. Je suis heureuse mais mentalement et physiquement j'étais faible donc je le montre pas comme je voudrais le montrer.

Mohamed: sa va... Selma, ta l'aire fatigué.

Moi: oui j'ai mal dormi cette nuit.

Mohamed: mmmh.

Ont continue de travailler, au bout 1h30, les clients commence à venir, dans tous les cas ce resto et tellement connu qu'il est souvent remplis. Je donnais les commandes, avec mes flash backs qui ne voulais pas me lâcher. En marchant ma chef Mme Sayera m'arrête.

Mme Sayera: Selma sa vas ? Tu ma l'air épuisé.

Moi: oui tout vas bien.

Je continue ma marche mais. Un flashback me revient celui du moment où il a mis son truc derrière moi, et là ma tête fait un tour comme un remix entre le moment où je criais le nom de Allah et celui du moment où il fait ce qu'il a fait. Ma tête, moi, mon cœur ne peut plus le supporter.

Mohamed avait remarqué il s'approche de moi et sans qu'il ne puisse dire quoi que se soit mes yeux se referme doucement. Mon corps devient léger et je tombe dans c'est bras, sous les yeux de mes collègues, ils pousse un son de choque et se rue vers moi, tous, Mohamed me secoue de toute c'est force, je le sens. Mais a partir de ce moment je tombe dans mes profondeurs de mon sommeil.

Plus rien...

Z A Y R

...: ok chef, ont la dvonne pour quelle heure .

Moi: 17h, et si ça ce fait pas je vous bute un par Hyn.

...: vous inquiétez pas je vais le-

Moi: attendez.

Mon téléphone se met à sonné, je le prends et regarde qui veut essayer de me joindre. Je souris face au nom qui apparaît. Je reprends une tête neutre, et me tourne vers l'homme à qui je m'adressais y'a quelques secondes, et je lui fais un signe de s'en allé, il par et je prend l'appel.

Moi: oui.

...: eux bonjour, c'est une urgence j'ai-

Une voix d'homme...

Moi: t'es qui toi.

...: un collègue de Selma, elle c'est évanoui, vous pouvez-

Je raccroche et je me rue vers ma voiture, je sais que parfois je perds trop mon sang froid, mais bon. Je roule jusqu'à son travail au bout de 15minutes j'arrive en même temps vu comment j'ai roulé je pouvais que venir en avance.

Je rentre dans le resto, y'a un homme, flemme de le décrire je le ferais quand j'aurais vu Selma. Le gas m'indique où elle est. Je le suis, et oui je l'ai vu elle était affalée au sol sur les genoux d'une femme surment la chef. Je la porte et me dirige vers ma voiture sous le regard des clients.

J'avais la flemme de passer derrière le magasin, et je remercie la personne qui m'a appelé avant de rouler jusqu'à l'hôpital.

S E L M A

Une lumière blanche vient éclairer mon visage. Je cligne des yeux plusieurs fois avant de les ouvrir enfin, je bouge ma tête de gauche à droite et fini par croiser le regard de mon futur mari.

Zayr: Selma...

Je me redresse petit à petit, et fini par lui lâcher un faible sourire.

Zayr: POURQUOI QUAND JE T'AI DEMANDÉ CE MATIN SI T'ALLAIS BIEN TU MA PAS DIT QUE NON.

Un coup de tête d'intérieur viens soudainement me faire mal, une migraine.

Moi: Zayr pas maintenant, s'il te plaît.

Il finit par s'assoir sur la chaise qu'il occupait surment depuis un moment, et lâche un soufflement de fatigue et de soulagement. Après quelques secondes, affalé sur sa chaise près de moi, il se tourne doucement avec un visage plus calme et doux et me regarde.

Zayr: pourquoi t'es dans cette état, Selma...

Je le regarde, et je vois que cette question le ronge et qu'il veut absolument une réponse.

Moi: Enfaite....

Selma - ce que je ressens {RÉÉCRITURE}Where stories live. Discover now